Les Cinq Paradoxes de la modernité

À propos

Dès le début du XIXe siècle Hegel jugeait que la gloire de l'art était derrière lui, dans le passé, et il annonçait rien de moinsque la fin de l'art. Est-ce à cette fin, toujours différée depuis près de deux cents ans, que nous assistons aujourd'hui ? Ne serait-ce pas plutôt à la faillite des doctrines qui voulaient "expliquer" l'art donc lui assigner un "but" et penser son histoire en termes de "progrès" ? Telles sont les questions qui sont au coeur des Cinq paradoxes de la modernité. Et s'il y en a précisément cinq, c'est que, depuis Baudelaire, l'histoire de l'art a connu cinq crises majeures correspondant à autant de contradictions non résolues.
Les lecteurs qui ignorent les rudiments de l'histoire récente des beaux-arts trouveront là un guide sûr. les autres y trouveront une perspective originale (baudelairienne) propre à éclairer les soubresauts actuels de la "postmodernité".

Rayons : Sciences humaines & sociales > Philosophie > Philosophie généralités > Essais / Réflexions / Ecrits sur la philosophie

  • Auteur(s)

    Antoine Compagnon

  • Éditeur

    Seuil

  • Distributeur

    ePagine

  • Date de parution

    25/02/2014

  • Collection

    Sciences humaines (H.C.)

  • EAN

    9782021157659

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    192 Pages

  • Action copier/coller

    Non

  • Action imprimer

    Non

  • Partage

    Dans le cadre de la copie privée

  • Nb Partage

    6 appareils

  • Poids

    5 765 Ko

  • Diffuseur

    Média Diffusion

  • Entrepôt

    ePagine

  • Support principal

    ebook (ePub)

Antoine Compagnon

Né en 1950, Antoine Compagnon a enseigné à la Sorbonne et à l'université Columbia de New York. Il est depuis 2006 professeur titulaire de la chaire de Littérature française moderne et contemporaine : histoire, critique, théorie au Collège de France. Il est notamment l'auteur de La Troisième République des lettres (1983), Les Cinq Paradoxes de la modernité (1990) et Les Antimodernes, de Joseph de Maistre à Roland Barthes (2005).

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