Rhinocéros est la pièce la plus riche de Ionesco. Elle ne perd rien de l'esprit d'innovation, de provocation, des premières pièces. Comme elles, celle-ci mélange les genres et les tons, le comique et le tragique. Mais l'innovation principale qui s'introduit ici est la réflexion sur l'Histoire, à travers le mythe. La pièce est une condamnation de toute dictature (en 1958, on pense au stalinisme). Ionesco condamne autant le fascisme que le communisme. C'est donc une pièce engagée : 'Je ne capitule pas', s'écrie le héros.
Le rhinocéros incarne le fanatisme qui 'défigure les gens, les déshumanise'. On sent l'influence de La Métamorphose de Kafka. Dans une petite ville, un rhinocéros fait irruption. Par rapport à lui, les personnages prennent diverses attitudes. Certains se transforment en rhinocéros ; un troupeau défile. Seul Bérenger résiste à la marée des bêtes féroces, symboles du totalitarisme.
Pour expliquer le succès du Roi se meurt, on a dit que c'est un classique. Il montre l'homme ramené à sa condition fondamentale. Donc à l'angoisse devant la mort. Cet homme qui parle avec les accents du roi Lear est néanmoins notre contemporain. Il est tellement notre contemporain que son histoire - une existence qui a oublié ses limites - reflète exactement la célèbre 'crise de la mort' qui secoue l'Europe de l'après-guerre. Le Roi se meurt n'est pourtant pas une pièce triste. D'abord, parce que l'humour n'y est pas absent. Ensuite, et surtout, parce que Ionesco propose les remèdes pour sortir de la crise. C'est également cela, une grande oeuvre classique : une leçon de dignité devant le destin.
Tout le monde la connaît. Peu peuvent l'expliquer. C'est ce que fait à merveille Emmanuel Jacquart, éditeur du Théâtre de Ionesco dans la Bibliothèque de la Pléiade. Il commence par retracer l'historique, la genèse de la pièce, à partir de L'anglais sans peine de la méthode Assimil. Les répliques se sont naturellement assemblées, et l'ensemble a produit ce que l'auteur appelle une 'anti-pièce', une vraie parodie de pièce, sans ambition idéologique particulière.
Dans cet illustre chef-d'oeuvre, l'esprit de dérision prend le contre-pied de la tradition. Une série de sketches désopilants jusqu'au dénouement tonitruant et digne des surréalistes, telle est la pièce dont nous étudions les secrets en la replaçant dans la tradition de l'antitradition, de la modernité en évolution.
La leçon est l'une des pièces les plus jouées et les plus lues d'Eugène Ionesco. Elle commence comme une satire hilarante de l'enseignement, pour faire allusion ensuite à de savantes théories linguistiques ; le ton, alors, change : la farce se termine en tragédie lorsque le professeur tue son élève. Mais cette tragédie est, elle aussi, parodique : chacun lui donne le sens qu'il veut.
Jeux de massacre ne raconte plus l'agonie d'un homme comme Le Roi se meurt : toute une ville passe ici de vie à trépas. À travers l'allégorie de la peste qui incarne le mal absolu, la mort qui frappe chacun sans distinction, Ionesco nous montre une hécatombe.
Comme les têtes grimaçantes des jeux forains, les fantoches burlesques de cette danse macabre de l'âge atomique tombent tous, les uns après les autres, tandis qu'un moine noir, figure de la mort, traverse silencieusement la scène en contemplant, indifférent, le désastre.
Dans cette pièce, Pierrot-Delpech voyait, en 1961, 'la plus accomplie des tragédies modernes'. La troisième pièce d'Ionesco, créée en 1952, reprise en 1956, connaît maintenant un succès qui ne se dément pas. Le sujet des Chaises est, nous dit l'auteur, 'le vide ontologique' ; mais c'est aussi un drame personnel, le miroir d'une conscience. On y retrouve la nostalgie de l'enfance, le sentiment de culpabilité, l'horreur de la vieillesse et de la mort. C'est encore une comédie qui, bien souvent, excite le rire par ses clowneries, ses calembours, ses parodies, ses pirouettes. C'est un ballet : celui des chaises amoncelées dans le mouvement accéléré d'un tourbillon fantastique, et qui demeurent vides. Les vieux font semblant de recevoir une foule d'invités, jusqu'à ce qu'un seul personnage apparaisse enfin sur la scène : hallucination ? vérité du théâtre ? L'Orateur tant attendu est sourd et muet, et la scène demeure vide, encombrée de chaises.
Le seul roman écrit par Ionesco. A trente-cinq ans, un homme fait un héritage et se retire de la vie. Il ne cesse de s'étonner de ses congénères qui continuent à s'agiter, à se battre même, à aimer, à croire. La recherche de l'oubli, la nostalgie du savoir que nous n'aurons jamais, le sentiment de notre infirmité et du miracle de toute chose, font de cet individu banal un être qui a la grâce, un mystique pas tellement loin de Pascal.
Dans l'imaginaire collectif, Macbeth, ce roi d'Écosse qui régna à la fin du XIe, représente depuis Shakespeare l'archétype de l'ambitieux qui, poussé par sa femme, tua le roi légitime pour monter sur le trône et multiplia meurtres et exactions.
Avec Macbett, pièce qui témoigne de sa vision amère des grands drames qui ont bouleversé le XXe siècle - nazisme et communisme qu'il a toujours renvoyés dos à dos - Ionesco crée une oeuvre burlesque dans laquelle la politique n'est que le jeu absurde d'un fou, le caprice d'un paranoïaque satanique. Plus que jamais son théâtre apparaît comme une 'farce tragique', sous-titre dont il qualifie lui-même Les Chaises, l'une de ses premières pièces.
Ce livre reproduit un album tiré à deux cents exemplaires qui avait paru en Suisse, en 1981. Il se composait de quinze lithographies, gravées sur la pierre de la propre main de Ionesco, accompagnées de commentaires et d'un long texte d'introduction.
Ionesco y raconte et y explique ses rapports avec la peinture et le dessin, la signification qu'il donne au noir et blanc. 'Je me dis une fois de plus, encore, après l'avoir dit tant de fois, on ne peut rien écrire, on ne peut non plus rien dessiner sans une sincérité totale, naïve, mais il est bien difficile d'arriver à cette sincérité. En dessinant, j 'essaie ou je tâche de dégager mon esprit de tout ce qui l'encombre, de tous les soucis, de toutes les vanités, que ce soit bon ou mauvais, ce que je fais cela n'a pas d'importance.'
Chemin faisant, de même que la pierre du graveur se creuse, la méditation de l'écrivain l'emporte à réfléchir sur le sacré, sur le scandale de la mort. Il pense aussi à des amis disparus et soudain surgit une image de femme, abandonnée, éperdue, un roman tragique, en quelques lignes : 'A-t-elle pu surmonter sa douleur? A-t-elle pu trouver une raison de vivre? Où est-elle?
En écrivant Voyages chez les morts, Ionesco revoit son passé, comme au· travers d'un songe, expérience rare dans l'histoire de la scène. Lors de cette descente aux enfers moderne, où nul n'est là pour guider les âmes, l'écrivain convoque un à un ses morts. Le personnage principal se meut dans un univers aux frontières poreuses, semblable à celui des rêves, où les souvenirs se confondent, malgré leur précision, tandis que les lieux et les êtres ne cessent de se transformer.
Ce cheminement mythique de Jean, au cours duquel il croise toutes les figures de son passé, dont celles du Père et de la Mère, symboles, chez Ionesco, de tant d'angoisses ou de remords, est aussi une interrogation spirituelle et douloureuse sur l'existence de l'au-delà.
Récits de rêves, opinions, souvenirs, réflexions morales, notes sur la littérature : ce Journal en miettes n'est pas un journal habituel où seraient consignés, au jour le jour, les événements d'une vie. C'est, en quelque sorte, à une entreprise contraire que se livre ici Eugène Ionesco : raconter, non pas chaque jour ce qui arrive, mais chaque jour ce qui n'arrive pas.
Un homme cherche à surmonter la crise permanente qu'est la pensée de la vie et de la mort, à résoudre les interrogations, triompher de l'angoisse, à y voir clair, et note ses obsessions, ses doutes, ses refus. L'enfance ressurgit dans le présent, les images oniriques recouvrent soudain le réel, le passé se confond avec l'avenir : peu à peu, miette par miette, se reconstitue une chronologie intérieure au-delà de la chronologie, au-delà du portrait les silences, les mystères, comme le négatif d'un homme et d'une oeuvre.
Tueur sans gages, pièce au titre cruel, commence comme un conte de fées, se poursuit comme un drame policier et se termine sur une tragédie.
Le conte de fées, c'est la découverte par Bérenger de la 'cité radieuse', merveilleux quartier de sa ville construit pour le confort de ses résidents, où il retrouve un instant le soleil de son enfance ; le drame policier, c'est la présence dans cette cité d'un assassin qui tue chaque jour plusieurs habitants et que Bérenger, qui compte sur l'aide de la police, veut faire arrêter ; la tragédie, c'est la poursuite de plus en plus solitaire de Bérenger, que tous abandonnent, et qui finit par se trouver devant le monstrueux tueur borgne qui lève sur lui son couteau.
Voici une des pièces préférées de Ionesco. Il y a mis ses deux vies, celle qu'il a eue, marquée par l'enfance solitaire, par la famille désunie à cause du père, par la conscience de la lourdeur du monde mais aussi par l'illumination des années 1926-1927 ; et celle qu'il eût voulu avoir, dans la réconciliation avec le père, la fin de toutes les pesanteurs et le retour de la lumière. Il y a mis en outre la défense de son théâtre et le refus des conformismes. D'autres aspects ne sont pas mineurs : l'éloge du théâtre 'non réaliste', la critique des conventions. L'intrigue n'est guère résumable : l'itinéraire qui mène Choubert, homme doux et timide, du mariage à une mort cruelle en passant par une descente aux enfers, et des moments d'illumination magique, est à la fois loufoque et symbolique, drôle et tragique. On y rencontre un policier, un psychanalyste, un bourreau, Nicolas d'Eu. On y rencontre surtout l'auteur : 'J'arrachai mes entrailles', a-t-il dit de l'écriture de sa pièce.
'Il se leva, mit son chapeau de feutre orné d'un crêpe noir, son pardessus gris-fer, prit sa lourde serviette bourrée qu'il laissa tomber avant d'avoir fait un pas. Celle-ci s'ouvrit dans sa chute. Nous nous précipitâmes, en même temps. D'une des poches de la serviette, des photos s'étaient échappées, représentant un colonel en grand uniforme, moustachu, un colonel quelconque, une bonne tête plutôt attendrissante. Nous mîmes la serviette sur la table, pour y fouiller plus à l'aise : nous en sortîmes encore des centaines de photos avec le même modèle.
"Qu'est-ce que cela veut dire ? demandai-je, c'est la photo, la fameuse photo du colonel ! Vous l'aviez là, vous ne m'en aviez jamais parlé !"'
Les récits de ce recueil constituèrent le point de départ de quelques-unes des plus célèbres pièces de Ionesco (Rhinocéros, Victime du devoir). Comme dans son théâtre, leur réalisme précis rejoint tout naturellement le fantastique, l'imaginaire.
'Rêver c'est penser et c'est penser d'une façon beaucoup plus profonde, plus vraie, plus authentique parce que l'on est comme replié sur soi-même. Le rêve est une sorte de méditation, de recueillement. Il est une pensée en images. Quelquefois il est extrêmement révélateur, cruel. Il est d'une évidence lumineuse.
Pour quelqu'un qui fait du théâtre, le rêve peut être considéré comme un événement essentiellement dramatique. Le rêve, c'est le drame même. En rêve, on est toujours en situation. Bref, je crois que le rêve est à la fois une pensée lucide, plus lucide qu'à l'état de veille, une pensée en images et qu'il est déjà du théâtre, qu'il est toujours un drame puisqu'on y est toujours en situation.'
'Vingt ans après', ou presque. C'est en 1977, en effet, qu'Eugène Ionesco accorda ces Entretiens à Claude Bonnefoy. Malgré l'écart temporel, se dessine un Ionesco très proche, vivant, contradictoire, s'expliquant et s'interrogeant sur l'écriture théâtrale et romanesque, sur les liens entre le rêve, la création et la vie. À la fois sceptique et plein d'espoir, un homme en questions sur le rôle de la littérature et du théâtre dans la vie d'un écrivain, dans la vie d'un homme.
'Rien ne me décourage, pas même le découragement', écrit Ionesco. C'est donner le ton de ce livre, fait de textes récents (le plus ancien date de l'automne 1977). Ionesco écrit aussi : 'Je ne sais pas qui je suis, je ne sais pas ce que je fais ici.'
Ces articles, ces chroniques, ces interviews émeuvent par leur insistance même à dire et redire le désarroi, l'absence de signification, la présence réelle des démons, le déclin de l'Occident, devenu véritable déroute, la peur de la mort.
C'est pourquoi la politique et la polémique cèdent toujours la place à l'obsession de l'enfance, aux rêves, aux souvenirs, aux fantasmes. Qui d'autre sait apporter autant de sincérité pour dire simplement son angoisse. Pour répéter, avec toute la force de l'ingénuité, les étonnements et les émotions d'un éternel enfant.
'Antidotes est un recueil d'articles, de polémiques et de pamphlets que l'auteur a choisis parmi les différents articles écrits au cours de ces douze dernières années dans différents quotidiens et périodiques. L'auteur se sentait bien isolé, il y a quelques années encore, il y a même encore deux ou trois ans, parmi les "intellectuels" groupés sous les étendards du gauchisme. En fait, l'auteur de ce livre n'est ni à droite ni à gauche. Ces alternatives doivent être dépassées. L'auteur se sent beaucoup moins seul aujourd'hui dans son esprit de dissidence. De jeunes penseurs ont pris des positions qui confirment l'attitude d'Eugène Ionesco, avec des arguments nouveaux, philosophiques et plus techniques.
La politique étant, bien entendu, l'art d'organiser des rapports sociaux tels que les hommes puissent vivre en s'entre-déchirant le moins possible, elle ne doit pas être l'organisation pour l'organisation. Son rôle étant d'assurer le fonctionnement des institutions et des différents contrats sociaux, dont la finalité serait justement le dépérissement du politique, au sens où nous l'entendons actuellement, elle doit aboutir à son propre dépassement et garantir les conditions nécessaires à toutes les formes de la connaissance et de la création, car la culture, loin d'être un épiphénomène, constitue l'expression de toute vie humaine. La politique ne saurait être en aucun cas un but, elle est un moyen. Moyen à l'emprise parfois excessive contre laquelle s'élève également l'auteur de ce livre.'
Eugène Ionesco, 1977.
Ces nouvelles pages de journal intime font suite au Journal en miettes publié il y a vingt ans.
Aujourd'hui l'auteur se sent vieux, souvent malade. L'approche de la mort l'épouvante. Il est déchiré par le doute : pourquoi cette rage de l'écriture ? pourquoi cette gloire universelle ? pourquoi ce monde ?
Au jour le jour, celui qui a fait rire et frissonner le monde entier à travers son théâtre de l'absurde ose se mettre à plat, comme on déplie le plan d'une contrée étrange et terrifiante. Possédé par un démon fait d'orgueil et d'humilité, il s'interroge sur son travail, sa peur de tomber dans la misère, son amour pour sa femme Rodica qui lui a tout sacrifié et pour
sa fille Marie-France, ainsi que sur ses élans vers la Foi.
Autant d'angoisses l'aidant, sans la moindre pudeur et même avec une cruauté sauvage où ne manque pas un humour terrible, à creuser jusqu'au désespoir l'analyse d'un artiste qui cherche encore et toujours son identité.
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