Frédéric H. Fajardie Les Foulards rouges Au Palais-Royal, un homme surgit, sauvant la vie du cardinal Mazarin. Il est comte, général d'artillerie, et s'appelle Loup de Pomonne, seigneur de Nissac. Nul ne l'a vaincu à l'épée, aucune armée ne l'a jamais défait. A la demande de Mazarin, Nissac monte une petite troupe, « Les Foulards rouges », curieux mélange d'aris-tocrates et de galériens.
Sabotages, missions secrètes, duels au clair de lune, guets-apens, tombes profanées, enlèvements, trésors exhumés, rien n'y manque, pas même la lutte acharnée entre deux femmes éblouissantes de beauté, pour gagner le coeur de Nissac.
En cette époque étrangement moderne où les dames montent à cheval, l'épée au côté, et se battent en duel, où deux très grands écrivains français - le cardinal de Retz et La Rochefoucauld - luttent pour la Fronde, un autre péril menace... Le visage caché par un masque d'argent, un homme appelé l'Ecorcheur terrorise villes et campagnes et va croiser la route de Nissac.
D'une plume élégante, Frédéric H. Fajardie signe une splendide épopée, entre thriller historique et roman de cape et d'épée, avec l'ambition déclarée de chasser jusqu'au souvenir du mot « ennui », nous faire trembler, rire, pleurer, rêver... et passer quelques nuits blanches avec un livre romantique et captivant.
Par amour pour Jeanne, jeune femme désenchantée, Stéphan et Paul, deux anciens militaires, vont lancer la plus grande opération de plasticage de tous les temps. Jeanne a souffert de voir son père humilié par la société. Stéphan et Paul vont lui offrir une revanche posthume : "La vie est une opération de commando, c'est une razzia sur l'amour, l'amitié, la tendresse, la bagarre, le pouvoir...". Masqués de cagoules, ils vont s'attaquer à une banque, à un P.M.U, à une clinique, aux usines Renault, au ministère des Finances, et même au Sacré-Coeur.
Livre fondateur d'un romantisme noir et anarchique, La nuit des Chats bottés est une oeuvre emblématique, un règlement de comptes phénoménal, saluée à sa sortie par une presse unanime.
A Paris, un monstre assassine des femmes en série. Vu l'état des cadavres qu'il abandonne aux services municipaux de la voirie, il doit être animé d'une force prodigieuse. L'inspecteur Kasbarian et son chef, le principal Stievet, mènent l'enquête. Une enquête très éprouvante. Mais ces deux-là sont philosophes. Publié initialement en 1981 dans la collection Fayard noir puis réédité chez NéO, Gentil, Faty ! réjouira les amateurs de Fajardie, qui donne ici à lire un thriller d'une violence convulsive.
« Toepfer bondit.
Il avait entrevu la silhouette près de la Rolls, juste avant l'ex- plosion.
Il savait, quelque part en lui, que tout était superflu et qu'en cet instant son patron grillait déjà, mais on l'avait dressé à ne jamais laisser échapper une proie.
Passant en courant près d'un épais massif de laurier, il flaira le danger, avec une seconde de retard.
Il fixa dans son esprit, pour une brève éternité, la silhouette d'un homme mince, de type balkanique et correctement vêtu.
Il reconnut même l'arme.
Un croc de boucher qui se planta dans son oeil gauche. »
Juin 1940... La Wehrmacht déferle sur la France. Civils et mi- litaires s'enfuient. Bientôt, une colonne blindée nazie s'ap- proche d'un des derniers ponts encore intacts du côté d'Or- léans. Sur la rive nord, une compagnie de Sénégalais défend les abords du pont. Sur la rive sud, une poignée de volontaires armés d'un canon antichar s'apprête à une résistance déses- pérée.
Parmi ces hommes, le sous-officier Henri Dragance, écrivain dans le civil et ancien combattant antifasciste de la guerre d'Espagne. En dépit de son humour, de ses réelles qualités mi- litaires, de ses airs désabusés, de sa vie de bohème et de ce détachement que donne parfois la notoriété, Dragance, petite cinquantaine, est en réalité un homme fragile et vulnérable.
Sur la dernière barricade qui défend les routes du Sud, l'écri- vain fera la connaissance de l'une de ses lectrices passionnées, Sylvie, jeune femme d'origine polonaise, mal mariée et mal- heureuse dans sa condition étouffante de petite-bourgeoise. Le coup de foudre entre ces deux êtres que tout semblait séparer sera immédiat.
S'appuyant sur des documents historiques, ce livre souligne également le sort atroce que les nazis réservaient aux Séné- galais et celui, guère plus enviable, que certains civils fran- çais firent subir à leurs compatriotes qui voulaient résister. Juin 1940 annonce la barbarie nazie et la lâcheté de Vichy.
Parti enterrer son frère, tué d'une balle de 11,43, le caporal Frédéric Klein se fait cueillir à la gare par trois inconnus qui cherchent à lui extorquer le secret de "l'appareil". A peine remis de la séance, il découvre le cadavre éventré d'une femme dans son lit, puis se fait canarder par un sniper, grenader par un motard, pendant qu'un troisième larron tente de l'écraser avec sa voiture... Au terme d'une course d'obstacles menée ventre à terre, où nul n'aura le loisir de reprendre son souffle, le querelleur en question ne sera pas celui qu'on croit.
Publié initialement en 1983 dans la collection "Sueurs froides", chez Denoël, et introuvable depuis de nombreuses années, Querelleur est un roman en forme de sprint, d'une violence haletante, une mécanique qui s'emballe dès les premières pages et nous laisse, pantelants et ravis, secrètement horrifiés, sur une pelouse normande, en compagnie de magnifiques pur-sang : "Même si, peu à peu, inexorablement et à tout jamais, l'herbe devient rouge."
"Pourquoi un dingue pousse-t-il des gens sous des rames de métro ? Comment une superbe jeune fille peut-elle tomber amoureuse de moi - et perturber mon enquête ? Pourquoi la maffia s'en mêle-t-elle ? Moi, commissaire Padovani, un foutu flic avec une drôle d'équipe : pourquoi me refile-t-on toujours les affaires les plus dures, celles où, comme les feuilles mortes de la chanson, les cadavres se ramassent à la pelle ?"
1692. Il a trente ans, il n'a connu que trois brèves aventures mais rencontre en même temps deux femmes exceptionnelles qui se disputent son amour. Il est l'ultime descendant du peuple de l'Atlantide, et compte parmi ses ancêtres un templier. Il est duc, mais pauvre. Il commande un escadron de cavalerie, dit des « Opérations spéciales». Telle est, en pleine guerre de la ligue d'Augsbourg, la situation de Tancrède de Montigny, duc de Bamberg. À ses trousses : le « Feu follet », meilleur tueur à gages d'Europe; un général des mousquetaires, une des plus fines lames du royaume ; le grand maître des Teutoniques, à la tête de la terrible organisation du Conseil des Troubles, ainsi que les chefs de neuf armées coalisées contre la France. Bamberg, lui, ne peut compter que sur ses rudes compagnons et une audace à toute épreuve ! Fajardie accumule comme à plaisir les chevauchées et les délires feuilletonesques. Il sait donner du panache à son récit qui a le bon goût de ne jamais se prendre au sérieux. Hubert Prolongeau, Journal du dimanche.
1967. À l'époque, le «Secret Défense» fonctionnait encore, si bien que vous ignorez tout de cette fantastique histoire.J'étais jeune et riche, «Cravache d'Or» et crack-jockey des courses d'obstacles. Une vie de rêve. Et puis je l'ai vu, un matin : un grand cheval appelé «Hard to Beat». En une seconde, j'ai compris deux choses : primo, que ce cheval serait le plus grand champion de tous les temps... secundo, que les ennuis allaient commencer.Entre les hippodromes d'Auteuil, d'Aintree et de Cheltenham, ça tombait pire qu'au Viêt-nam : neuf canassons étendus raides et pas moins de trente-trois macchabées humains - si l'on peut dire, vu ce qu'il en restait.Et tout ça mené bride abattue avec, en prime, la rencontre du grand amour, le Londres des minijupes et des groupes pop, le Paris des sixties et des voitures de sport, des petits bars et des palaces, des femmes du monde et des malfrats. Sans oublier les commandos néo-nazis de Sir Oswald Mosley et les instructeurs de l'armée israélienne pour une bataille finale digne de Stalingrad...On a du mérite, après cela, à essayer de gagner les trois plus grandes courses de steeple-chase du monde pour entrer vivant - c'est mieux, non ? - dans la légende du turf.
Ils ont un peu plus de vingt ans et ont été des adolescents chahuteurs et sadiques qui perdaient pied quand leur prof d'histoire les interrogeait. Aujourd'hui, où ont-ils la tête ? Dans une décharge publique, soigneusement découpée par une tronçonneuse électrique...Chef de file d'une nouvelle école du roman noir, Frédéric H. Fajardie mène au fouet cette aventure d'un tueur psychopathe et d'un flic mélancolique qui l'un et l'autre sont des paumés coincés par un quotidien exténuant et leur mal de vivre. Une histoire sans complaisance dont la petite musique lancinante devient inoubliable.
« Premier mai 2003, sur le site de Metaleurop ex-Penarroya, ex-première usine en Europe pour le traitement du plomb, ex-légende ouvrière. Le ciel est bas, plutôt changeant. (?) Je me tiens un peu à l'écart. C'est sans doute la dernière fois que je viens ici. Tout se fige déjà en cet endroit que j'ai connu voici peu si agité, si bouillonnant, lorsque plusieurs centaines d'ouvriers s'y réunissaient avant de se lancer dans l'une de leurs actions exemplaires qui donnaient le vertige aux masses et des vapeurs aux patrons. J'ai vu brûler les chariots élévateurs et la fièvre qui prenait chacun (?). Quand pour leurs seuls profits les financiers mènent une population au chômage et au malheur, il s'agit seulement d'une logique économique. Qu'ils ne s'étonnent donc pas de soulever une véritable colère chez ceux qu'ils exploitent et qu'ils se désolent en constatant que cette colère individuelle peut se muer en haine de classe et en révolte organisée chez ces travailleurs qu'ils traitent avec un tel mépris. (?) Metaleurop-Nord devait disparaître, on y était trop dignes, on donnait le mauvais exemple. Ici, nul ne songeait à se prostituer dans les reality-shows d'une télé pourrie, on était simplement fier d'appartenir à la classe ouvrière, de travailler dans une usine d'élite, de produire de la richesse en espérant qu'elle serait un jour répartie avec davantage de justice.Des ouvriers, dont certains connaissaient mes livres, m'ont fait venir sur le site de Metaleurop-Nord, m'ont parlé et m'ont choisi pour donner une forme écrite à leur mémoire. C'est ma seule légitimité, elle vient d'eux. »F.H. FAJARDIELes droits d'auteur de ce livre sont intégralement versés à l'association Choeurs de fondeurs qui regroupe les anciens salariés de Metaleurop-Nord.
« I l convient aujourd'hui d'assigner à Frédéric H. Fajardie sa place dans l'histoire littéraire. Au moment où les derniers feux de l'émeute s'éteignaient un peu partout en Europe, ils furent quelques-uns à vouloir prolonger le combat par le roman noir, notamment en France où ils formèrent la féconde génération du néopolar.
C'est Manchette publiant Le Petit Bleu de la côte ouest pour s'interroger entre deux scènes de violence froide sur la position du cadre supérieur couché dans les rapports de production. C'est ADG ironisant sur les petitesses du pompidolisme immobilier et la destruction du visage de Paris avec Je suis un roman noir. C'est Hervé Prudon inventant la crise comme nouvelle forme d'hallucination psychotique dans Banquise. C'est Jean Vautrin cartographiant les nouvelles catastrophes sociales dans les banlieues de la folie ordinaire avec Bloody Mary. Et c'est Fajardie tirant deux missiles tactiques sur le quartier général du capitalisme sauvage à la fin des années mille neuf cent soixante-dix dans Tueurs de flics et La Nuit des chats bottés. »
Ils étaient quatre, genre " jet Set ", et avaient commis quelques années plus tôt un crime abominable.
Parce qu'ils se pensaient " supérieurs ". Il était seul, et recherchait ces quatre types pour les châtier avec des raffinements à vous lever le coeur. Entre les deux factions, un trio de flics, Markus, Kowalsky et Escobar. Ils s'aimaient comme des frères, buvaient sec, cultivaient humour et nostalgie, rêvant de s'expatrier à Los Angeles, les " Anges ". Mais n'importe qui vous le dira : il n'est jamais très sain d'être pris entre deux feux...
J'avais vingt ans.
J'étais gauchiste et il y eut mai 68. ma révolution fut celle de la piétaille, des obscurs militants. nous nous battions pour une barricade, un coin de rue. la police nous tabassait à l'écart des journalistes. les livres commémoratifs ne parlent jamais de nous.
C'est pour réparer cette injustice que j'ai écrit ce roman oú il est question d'amour, de joie de vivre, de mort et d'un long exil de vingt ans.
Freddy et teddy, les héros de jeunes femmes rouges toujours plus belles, sont deux jeunes chiens fous. ils vont de manifs en émeutes jusqu'au jour oú la police les choisit à leur insu pour monter une provocation. mais freddy vient de rencontrer le grand amour.
Ils étaient quatre, trois Américains et un Français.
Tous officiers archidécorés de la Seconde Guerre mondiale. En 1944, pendant la contre-offensive allemande des Ardennes, ils avaient réussi le coup du siècle en braquant le Golden Eagle, un train d'or transportant les dollars de l'armée U.S. Trente-huit ans plus tard, l'un d'eux lance un S.O.S. à ses frères d'armes... Écrivain, scénariste, Frédéric H. Fajardie est notamment l'auteur de Tueurs de flics et de Patte de velours.
Willy Clifford sort de quinze ans de prison pour un double meurtre commis au nom de son amour pour Marilu, chanteuse dans une boîte de nuit.
Enfin, ils vont pouvoir se retrouver. Mais la Maffia et le Milieu parisien ne l'entendent pas de cette oreille. Pour récupérer la femme de sa vie, Willy Clifford va faire appel aux amis de son père, soldats britanniques, héros de la Bataille de Normandie et détenteurs d'une redoutable armurerie... " Fajardie est à l'origine de toute une lignée française d'auteurs de romans noirs. " (Elle.) " Fajardie est entré dans la légende du roman noir français.
" (Le Nouvel Observateur.) " Fajardie a, dans tous ses romans, ce don précieux d'aimer ses personnages au point de rendre pathétiques les plus monstrueux d'entre eux. " (Télérama.) " Fajardie est au roman policier français ce que Dashiell Hammet est au thriller américain. " (France Soir.)
Frédéric H. Fajardie
Le Voleur de vent
Décembre 1609, deux cavaliers approchent doeun château en ruine où se trame un terrible complot. Le premier est loeun des hommes les plus puissants du royaume des lys. Son acolyte, un moine défiguré, est sans doute ce que le mal a produit de plus raffiné depuis des siècles. A ses ordres, demi-fous, une troupe de loups-garous attend son heure pour participer à la fureur meurtrière qui va secouer le pays pendant les six mois quoeil reste à vivre au roi Henri IV. Et pour mieux assurer loeinfamie, à Paris, ils sont douze conjurés, les fleurons de la cour, qui se réunissent pour fermer autour du roi trois cercles de fer et de mort.
Mais coeest compter sans Thomas de Pomonne, comte de Nissac et amiral des mers du Levant, aussi à loeaise au sabre quoeà loeépée, aussi redoutable sur terre que sur loeeau. Entouré de rudes compagnons, fidèle à un roi qui, le premier, reconnut la liberté de conscience, Nissac tentera de le sauver.
Doeune plume élégante, dans la veine des Foulards rouges, Frédéric H. Fajardie signe ici une époustouflante épopée entre thriller historique et roman de cape et doeépée qui devrait faire trembler, rire, pleurer et rêver.
En septembre 1943, à huit mois du débarquement allié, la Gestapo arrête le fondateur de l'armée secrète du Sud-Ouest, le colonel Leroy-Clémenti, sorte de seigneur de la guerre tout-puissant qui commande à des milliers d'hommes.Torturé, le colonel ne lâche pas un nom. La Gestapo, déçue, semble résignée à voir le colonel mourir sous les mauvais traitements, lorsque apparaît un officier S.S., qui se fait fort d'anéantir la résistance du colonel sans la moindre violence.On ne joue pas impunément aux échecs avec le diable. Le colonel marque un point en échangeant les stocks d'armes de la Résistance contre la vie de ses maquisards incarcérés.Ce faisant, il entre dans une attitude de capitulation qui le mènera malgré lui aux franges de la collaboration avec l'ennemi. La question que pose ce roman n'est donc pas : jusqu'où doit-on céder ? mais plutôt : faut-il, dans l'épreuve de force avec un ennemi implacable, céder quoi que ce soit ?
Livre I : Les Foulards Rouges En ces temps de grands troubles, le futur roi, Louis XIV, humilié, fuit la Fronde et l'ambition des princes sur les mauvaises routes du royaume de France.Au Palais-Royal, un homme surgit, sauvant la vie du cardinal Mazarin. Il est comte, général d'artillerie, et s'appelle Loup de Pomonne, seigneur de Nissac. Nul ne l'a vaincu à l'épée, aucune armée ne l'a jamais défait. A la demande de Mazarin, Nissac monte une petite troupe, « Les Foulards rouges », curieux et galériens. En cette époque étrangement moderne où les dames montent à cheval, l'épée au côté, et se battent en duel, où deux très grands écrivains français - le cardinal de Retz et La Rochefoucauld - luttent pour la Fronde, un autre péril menace... Le visage caché par un masque d'argent, un homme appelé l'Ecorcheur terrorise villes et campagnes et va croiser la route de Nissac.
Livre II : Le Voleur de vent Décembre 1609, deux cavaliers approchent d'un château en ruine où se trame un terrible complot. Le premier est l'un des hommes les plus puissants du royaume des lys. Son acolyte, un moine défiguré, est sans doute ce que le mal a produit de plus raffiné depuis des siècles. A ses ordres, demi-fous, une troupe de loups-garous attend son heure pour participer à la folie meurtrière qui va secouer le pays pendant les six mois qu'il reste à vivre au roi Henri IV. Et pour mieux assurer l'infamie, à Paris, ils sont douze conjurés, qui se réunissent pour fermer autour du roi trois cercles de fer et de mort.Mais c'est compter sans Thomas de Pomonne, comte de Nissac et amiral des mers du Levant, aussi à l'aise au sabre qu'à l'épée, aussi redoutable sur terre que sur l'eau. Entouré de rudes compagnons, fidèle à un roi qui, le premier, reconnut la liberté de conscience, Nissac tentera de le sauver Préfacé par Jacques-Pierre AMETTE
Dans ce court roman publié en 1988, frédéric h.
Fajardie nous conte l'histoire de trois camarades partis de paris en 38 de l'autre côté des pyrénées pour des motifs avouables ou non. trois hommes presque ordinaires qui s'engagent aux côtés des républicains au nom de l'amitié et de l'honneur bafoué. ils vivront à leur manière plusieurs des épisodes les plus noirs de la guerre d'espagne