Discipline de plus en plus étudiée dans les Facultés de droit, le droit pénal comparé s'attache à marquer les différences et surtout les ressemblances entre droits nationaux et grandes familles de droits, réunissant plusieurs droits nationaux.
La démarche comparative,surtout si elle inclut tous les aspects du droit pénal, y compris la procédure pénale, est d'un haut intérêt aujourd'hui. Les législateurs s'inspirent en effet les uns les autres et les praticiens d'un Etat ont besoin de connaître le droit des autres Etats pour pouvoir développer une bonne coopération et même tout simplement, parfois, pour pouvoir juger.
Le droit pénal est le droit de l'infraction et de la réaction sociale qu'elle engendre.
Cet ouvrage en propose l'étude rigoureuse autour d'un plan désormais classique.
La première partie expose les problèmes généraux du droit criminel : après une définition du fait infractionnel, c'est-à-dire le crime au sens large (Chap. préliminaire), sont étudiés les branches, la place, l'histoire et les principes du droit pénal (Titre I). Ensuite sont abordées les sources du droit pénal (Titre II).
Dans la seconde partie, sont étudiées l'infraction (Livre premier), puis la sanction (Livre II).
Cette 19e édition est à jour de la législation en vigueur, notamment la loi n° 2012-409 du 27 mars 2012 de programmation relative à l'exécution des peines incluant le volumineux rapport définissant les objectifs de la politique d'exécution des peines, ou encore la circulaire du 8 mars 2012 relative aux instructions générales de politique pénale.
Alternance politique oblige, suite aux élections présidentielles de mai 2012, cette édition rend compte aussi des plus récents débats parlementaires en matière de projets de réformes des lois votées au cours de la 13e législature, qu'il s'agisse des mesures applicables aux malades mentaux ou bien du traitement de la récidive. L'ouvrage est également à jour de la jurisprudence au 1er juillet 2012, en particulier celle du Conseil constitutionnel à travers les questions prioritaires de constitutionnalité.
Le droit pénal est le droit de l'infraction et de la réaction sociale qu'elle engendre.
Cet ouvrage en propose l'étude rigoureuse autour d'un plan désormais classique.
Le livre premier expose les problèmes généraux du droit criminel : après une approche générale du phénomène criminel (Chap. préliminaire), sont étudiés les branches, la place, l'histoire et les principes du droit pénal (Titre I), puis les sources du droit pénal (Titre II).
Le livre second est consacré à l'étude de l'infraction (1ère partie), comprenant les classifications (Titre I), les composantes (Titre II) et les protagonistes de l'infraction (Titre III). Vient ensuite l'étude de la sanction (2e partie), à travers l'inventaire général des sanctions prévues par la loi (Titre I) et l'application de telle sanction à un individu déterminé (Titre II).
Cette 21e édition est à jour des dernières réformes législatives, notamment les dispositions introduites, en matière de terrorisme, par la loi n° 2016-731 du 3 juin 2016.
Le lecteur trouvera également des développements sur les questions qui sont au coeur de l'actualité pénale : conflits de qualifications, responsabilité des personnes morales, poids de la jurisprudence comme source du droit pénal, application du principe Ne bis in idem...
À jour de la jurisprudence au 20 juillet 2016, l'ouvrage commente aussi les plus récentes décisions du Conseil constitutionnel et de la Cour européenne des droits de l'Homme.
La procédure pénale est la partie des sciences criminelles qui s'attache à définir le cadre juridique dans lequel s'effectuent l'enquête et la poursuite, puis le jugement d'une personne soupçonnée d'avoir commis une infraction.
Partant, connaître les circonstances de celle-ci, identifier sa victime et son auteur et, enfin, juger ce dernier d'après les règles définies dans le Code pénal, telle est la triple démarche de la procédure pénale, caractérisée, à chaque stade, par le nécessaire équilibre entre respect des libertés individuelles et efficacité de la répression contre les atteintes à la société ou à l'État.
Pour tenter d'atteindre cet équilibre, le Législateur n'a cessé, depuis plusieurs décennies, d'amender telle ou telle disposition procédurale, soit pour renforcer le système répressif, soit pour l'assouplir.
Ainsi, d'un côté, s'inscrit la loi n° 2012-1432 du 21 décembre 2012 relative à la sécurité et à la lutte contre le terrorisme qui proroge - et même renforce - jusqu'au 31/12/2015 les dispositions existant depuis 2005 ; à l'inverse, a été votée la loi n° 2012-1560 du 31 décembre 2012 relative à la retenue pour vérification du droit au séjour et modifiant le délit d'aide au séjour irrégulier pour en exclure les actions humanitaires et désintéressées qui, tenant compte des arrêts de la CJUE (28/04/2011) et de la Cour de cassation (05/07/2012), abroge l'article L621-1 du CESEDA.
Plus récemment, ont été présentés le projet de loi renforçant la protection du secret des sources des journalistes (12/06/2013) ou encore le projet de loi organique relatif au procureur de la République financier à compétence nationale, annoncé dans l'urgence en réponse à « l'affaire Cahuzac ».
De toutes ces modifications législatives, qu'elles soient définitivement adoptées ou en cours d'examen à plus ou moins long terme, cette 17e édition rend compte, étant à jour du droit positif et des projets connus au 15 juillet 2013. L'ouvrage, devenu un classique dans la littérature juridique, expose de façon claire et pédagogique les éléments du procès pénal (1ère partie) et le déroulement du procès pénal (2ème partie).
La lutte contre la criminalité organisée est devenue pour les praticiens en matière pénale une des toutes premières préoccupations, sinon la première.L'actualité d'un tableau juridique de la criminalité organisée n'est plus à démontrer. Faut-il rappeler que cette forme de criminalité gagne en force chaque année au point de menacer les assises démocratiques de nos sociétés et d'inspirer à l'heure actuelle des réformes importantes au sein de l'Union européenne, avec notamment des réflexions sur un éventuel ministère public européen.La logique de l'ouvrage se fonde sur le souci d'exhaustivité qui a inspiré ses concepteurs. La criminalité organisée est conçue comme un tout. De là, son étude en droit français à la fois dans ses aspects de fond et de procédure. De là aussi l'examen des règles européennes, celles du Conseil de l'Europe et de l'Union européenne tout à la fois. De là enfin, l'examen des normes admises par des pays voisins géographiquement ou culturellement.L'ouvrage s'adresse aux praticiens: magistrats, membres de la police judiciaire et avocats. Par son étendue, il intéresse aussi les chercheurs et les étudiants.
Le droit pénal est le droit de l'infraction et de la réaction sociale qu'elle engendre.
Cet ouvrage en propose l'étude rigoureuse autour d'un plan désormais classique.
Le livre premier expose les problèmes généraux du droit criminel : après une approche générale du phénomène criminel (Chap. préliminaire), sont étudiés les branches, la place, l'histoire et les principes du droit pénal (Titre I), puis les sources du droit pénal (Titre II).
Le livre second est consacré à l'étude de l'infraction (1ère partie), comprenant les classifications (Titre I), les composantes (Titre II) et les protagonistes de l'infraction (Titre III). Vient ensuite l'étude de la sanction (2e partie), à travers l'inventaire général des sanctions prévues par la loi (Titre I) et l'application de telle sanction à un individu déterminé (Titre II).
Cette 20e édition est à jour de la législation en vigueur, notamment la loi n° 2014-896 du 15 août 2014 relative à l'individualisation des peines et renforçant l'efficacité des sanctions pénales. Cette réforme importante tire de nouvelles applications du principe d'individualisation et crée notamment deux nouvelles institutions : la contrainte pénale et la libération sous contrainte.
À jour de la jurisprudence au 18 août 2014, l'ouvrage évoque également les plus récentes décisions du Conseil constitutionnel et de la Cour européenne des droits de l'Homme.
La procédure pénale est cette partie du droit privé qui s'attache à connaître les circonstances du délit, à rechercher l'identité du coupable et à juger celui-ci. Elle désigne donc l'ensemble des institutions liées au procès pénal. Matière riche, vaste, mouvante, souvent complexe, la procédure pénale se trouve ici exposée, sous la plume de Jean Pradel, ancien magistrat, de façon simple, claire et exhaustive.
Fidèle à la ligne scientifique qui justifie son succès depuis de nombreuses années, reconnu par les spécialistes et plébiscité par les étudiants, le manuel de Procédure pénale rédigé par Jean Pradel reste, à plus d'un titre, une véritable synthèse de la matière ; il est désormais disponible dans sa 14e édition, à jour de l'actualité législative et jurisprudentielle au 1er juillet 2008.
Cette nouvelle édition 2008/2009 intègre ainsi, entre autres, des développements sur les quatre lois du 5 mars 2007, mais aussi sur la très controversée loi du 25 février 2008 relative à la rétention de sûreté et à la déclaration d'irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental.
Enfin, une bibliographie actualisée accompagne chaque section du plan, permettant au lecteur de se référer aux principaux commentaires, sans se perdre dans la volumineuse littérature juridique.
Complet et parfaitement à jour, le manuel de Procédure pénale constitue donc l'outil par excellence pour tous ceux qui auront à passer un examen ou une recherche précise à effectuer sur la matière.
La procédure pénale est la partie des sciences criminelles qui s'attache à définir le cadre juridique dans lequel s'effectuent l'enquête et la poursuite, puis le jugement d'une personne soupçonnée d'avoir commis une infraction.
Partant, connaître les circonstances de celle-ci, identifier sa victime et son auteur et, enfin, juger ce dernier d'après les règles définies dans le Code pénal, telle est la triple démarche de la procédure pénale, caractérisée, à chaque stade, par le nécessaire équilibre entre respect des libertés individuelles et efficacité de la répression contre les atteintes à la société ou à l'État.
Pour tenter d'atteindre cet équilibre, le Législateur n'a cessé, depuis plusieurs décennies, d'amender telle ou telle disposition procédurale, soit pour renforcer le système répressif, soit pour l'assouplir. En témoigne de façon symptomatique la loi n° 2015-912 du 24 juillet 2015, relative au renseignement, validée quasi intégralement par le Conseil constitutionnel (déc. n° 2015-713 DC du 23 juillet 2015) et commentée dans cette édition.
Aux côtés de la loi - parfois en opposition à celle-ci -, la jurisprudence, notamment européenne, a, depuis quelques années, fait preuve d'un dynamisme non moins remarquable, contraignant la loi à se réformer, au point de se demander si tout notre système n'est pas véritablement entré dans l'ère de la jurisprudence. Ainsi, par exemple, de l'arrêt de l'Assemblée plénière de la Cour de cassation du 7 novembre 2014 (n° 14-83.739) en matière de prescription de l'action publique. Ainsi, également, de la décision du Conseil constitutionnel du 18 mars 2015 (déc. n° 2014-453/454QPCet 2015-462 QPC) qui, suivant la doctrine de la CEDH, conduit à repenser totalement la règle Ne bis in idem.
De toutes ces modifications qui affectent le droit positif, cette 18e édition rend compte, étant à jour de la législation et de la jurisprudence au 24 juillet 2015.
L'ouvrage, devenu un classique dans la littérature juridique, expose de façon claire et pédagogique les éléments du procès pénal (1ère partie) et le déroulement du procès pénal (2e partie).
Le présent ouvrage tente, pour la première fois semble-t-il, de dépeindre la politique pénale de la France depuis l'époque napoléonienne jusqu'à nos jours. À partir de ce que l'on peut appeler les douze piliers de la politique pénale de 1810, l'auteur s'efforce de décrire un mouvement de plus en plus rapide voire déconcertant : sous l'influence notamment des techniques, de l'économie, des moeurs, de l'Europe, le Législateur subit toujours plus la concurrence du juge, les incriminations se multiplient, parfois dans le désordre, la procédure et la peine tâtonnent dans la diversité, la victime s'impose partout. Des ouvertures sur les droits d'ailleurs sont fréquentes. Il reste bien peu de chose des douze piliers de 1810.
Cet essai intéressera les étudiants en droit, mais également tous ceux qui, historiens, théoriciens du droit, philosophes, moralistes, sociologues voire économistes, sont sensibles aux évolutions de la réponse au fait criminel qui est au coeur de notre société.
Ouvrage connu aussi bien des étudiants que des professionnels, tant pour sa pédagogie que pour son exhaustivité, le manuel de Droit pénal conçu par Jean Pradel est désormais disponible dans sa 17e édition.
Fidèle à la ligne scientifique qui justifie son succès depuis de nombreuses années, ce livre, désormais considéré comme un classique, est une véritable synthèse de la matière.
La nouvelle édition 2008/2009 est à jour au 1er juillet 2008 ; c'est ainsi qu'elle comprend des développements sur la loi de sécurité intérieure (5 mars 2007), la loi renforçant la lutte contre la récidive des majeurs et des mineurs (10 août 2007) et, plus récemment, la loi relative à la rétention de sûreté et à la déclaration d'irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental (25 février 2008).
De plus, une bibliographie actualisée accompagne chaque section du plan, permettant au lecteur d'aller à l'essentiel, sans se perdre dans la volumineuse littérature juridique.
Enfin, on trouvera, en annexe, le Code pénal (dispositions générales).
Au total, volume à jour et complet, cette nouvelle édition relève une fois encore le défi de figurer parmi les meilleurs ouvrages juridiques français.