On ne découvre, on ne goûte jamais si bien paris qu'à pied.
Le privilège du piéton n'est-il pas de s'affranchir des contraintes de la circulation, de pouvoir traverser un jardin ou grimper un escalier quand cette liberté est refusée à l'automobiliste ou même au cycliste ? il a tout loisir, carte en main, d'emprunter les chemins buissonniers qui font les belles promenades. a belleville, riches folies, intrigants regards, calmes passages et villas endormies sont au programme.