Siggy et graff, les deux narrateurs farfelus de ce roman, sont une version moderne de don quichotte et sancho pança.
Seules différences : ils sillonnent la campagne autrichienne sur une énorme moto et se battent pour la libération des animaux du zoo de vienne. avec sa richesse, sa vitalité, sa fraîcheur, liberté pour les ours !, premier roman de john irving, cache cependant une intrigue plus grave : celle qui explore l'histoire, tour à tour tragique et grotesque, de l'europe centrale de ces cinq dernières décennies.
Piggy Sneed, surnommé ainsi parce qu'il vit au milieu de ses cochons, souffre d'un handicap mental. Éboueur de la petite ville d'Exeter, dans le New Hampshire, il est régulièrement victime de harcèlement de la part d'un groupe de jeunes de son entourage. Jusqu'au jour où tout bascule...
John Irving, maître du roman américain, s'illustre ici avec brio dans l'art de la nouvelle. Dans ce récit à caractère auto-biographique, il revient sur les sources de son inspiration, tout en pointant avec humour et gravité le manque de tolérance, voire la cruauté, dont peuvent être capables les adolescents. Ce texte est l'occasion d'entrer de plain-pied dans l'univers de la littérature américaine, à travers un thème toujours d'actualité : celui du bouc émissaire.
Collège cycle 4 : Individu et société (4e) - Se raconter, se représenter (3e).
Elles sont sept, ces nouvelles réunies pour la première fois en un volume, contrepoint à une oeuvre romanesque foisonnante.
Pour sa plus grande joie, le lecteur y retrouvera ce qu'il connaît : la satire du conformisme, l'imagination débridée, le goût du burlesque, les tabous joyeusement pourfendus - cette vitalité hors du commun qui permet à l'auteur de passer indemne par-dessus les gouffres de ses obsessions.
Mais certains y découvriront aussi, parfois, le récit à mi-voix, la description en demi-teinte, la profondeur et l'humanité du propos qui font ici d'irving un nouvelliste à l'égal de katherine mansfield ou du joyce des dublinois.
If you care about something you have to protect it. If you're lucky enough to find a way of life you love, you have to find the courage to live it.' Eleven-year-old Owen Meany, playing in a Little League baseball game in Gravesend, New Hampshire, hits a foul ball and kills his best friend's mother. Owen doesn't believe in accidents; he believes he is God's instrument. What happens to Owen after that 1953 foul ball is both extraordinary and terrifying.
In 1954, in the cookhouse of a logging and sawmill settlement in northern New Hampshire, a twelve-year-old boy mistakes the local constable's girlfriend for a bear. Both the twelve-year-old and his father become fugitives, pursued by the constable. Their lone protector is a fiercely libertarian logger, once a river driver, who befriends them.
In a story spanning five decades, Last Night in Twisted River - John Irving's twelfth novel - depicts the recent half-century in the United States as a world 'where lethal hatreds were generally permitted to run their course.' From the novel's taut opening sentence to its elegiac final chapter, what distinguishes Last Night in Twisted River is the author's unmistakable voice, the inimitable voice of an accomplished storyteller.
Juan Diego's little sister is a mind reader. As a teenager, he struggles to keep anything secret - Lupe knows all the worst things that go through his mind. And sometimes she knows more. What a terrible burden it is to know - or to think you know - your future, or worse, the future of someone you love. What might a young girl be driven to do if she thought she had the power to change what lies ahead?
Later in life, Juan Diego embarks on a journey to fulfil a promise he made in his youth. It is a long story and it has long awaited an ending, but Juan Diego is unable to write the final chapters.
This is the story of what happens when the future collides with the past.