Jenny Fields ne veut pas d'homme dans sa vie, mais elle désire un enfant. Ainsi naît Garp. Il grandit dans un collège où sa mère est infirmière. Puis ils décident tous deux d'écrire, et Jenny devient une icône du féminisme. Garp, heureux mari et père, vit pourtant dans la peur : dans son univers dominé par les femmes, la violence des hommes n'est jamais loin. Un livre culte, à l'imagination débridée, facétieuse satire de notre monde.
« Le romancier est un médecin qui ne s'occuperait que des incurables. et nous sommes tous des incurables. » Le Monde selon Garp, partiellement autobiographique, a connu un succès mondial et a été porté à l'écran.
Lors d'un voyage aux Philippines, Juan Diego Guerrero, écrivain américain célèbre et vieillissant, revit en rêves récurrents les épisodes de son adolescence au Mexique, à la lisière de la décharge publique de Oaxaca où lui et sa sour Lupe ont grandi.
Des émotions, il en aura tout au long de son périple, notamment avec Miriam et Dorothy, mère et fille aussi désirables qu'inquiétantes.
Au nord du Nord, il était une fois un petit cuisinier boiteux et son fils de douze ans, gamin impressionnable à l'imagination peuplée d'ours indiscrets.
Ils avaient pour garde du corps Ketchum, l'ogre anarchiste, ivrogne, rusé, noiseur, faux illettré à l'intelligence incisive. À l'image de la Twisted River torrentielle, ce récit d'une vengeance impitoyable bourlingue son lecteur d'ethnies en états sur trois générations, rencontre explosive entre l'Orient et l'Occident, comédie de moeurs culinaires, tragédie des portes mal fermées entre la splendeur d'une nature meurtrière et la quiétude imprudente du foyer.
Un chien héroïque, une Mustang bleu fantôme, une ange atterrie dans la fange : le chef Irving nous réserve toutes les surprises de son art consommé dans un roman qui se dévore et se déguste jusqu'à la dernière page. Bombe glacée pour tout le monde au dessert !
Siggy et graff, les deux narrateurs farfelus de ce roman, sont une version moderne de don quichotte et sancho pança.
Seules différences : ils sillonnent la campagne autrichienne sur une énorme moto et se battent pour la libération des animaux du zoo de vienne. avec sa richesse, sa vitalité, sa fraîcheur, liberté pour les ours !, premier roman de john irving, cache cependant une intrigue plus grave : celle qui explore l'histoire, tour à tour tragique et grotesque, de l'europe centrale de ces cinq dernières décennies.
Elles sont sept, ces nouvelles réunies pour la première fois en un volume, contrepoint à une oeuvre romanesque foisonnante.
Pour sa plus grande joie, le lecteur y retrouvera ce qu'il connaît : la satire du conformisme, l'imagination débridée, le goût du burlesque, les tabous joyeusement pourfendus - cette vitalité hors du commun qui permet à l'auteur de passer indemne par-dessus les gouffres de ses obsessions.
Mais certains y découvriront aussi, parfois, le récit à mi-voix, la description en demi-teinte, la profondeur et l'humanité du propos qui font ici d'irving un nouvelliste à l'égal de katherine mansfield ou du joyce des dublinois.
If you care about something you have to protect it. If you're lucky enough to find a way of life you love, you have to find the courage to live it.' Eleven-year-old Owen Meany, playing in a Little League baseball game in Gravesend, New Hampshire, hits a foul ball and kills his best friend's mother. Owen doesn't believe in accidents; he believes he is God's instrument. What happens to Owen after that 1953 foul ball is both extraordinary and terrifying.
In 1954, in the cookhouse of a logging and sawmill settlement in northern New Hampshire, a twelve-year-old boy mistakes the local constable's girlfriend for a bear. Both the twelve-year-old and his father become fugitives, pursued by the constable. Their lone protector is a fiercely libertarian logger, once a river driver, who befriends them.
In a story spanning five decades, Last Night in Twisted River - John Irving's twelfth novel - depicts the recent half-century in the United States as a world 'where lethal hatreds were generally permitted to run their course.' From the novel's taut opening sentence to its elegiac final chapter, what distinguishes Last Night in Twisted River is the author's unmistakable voice, the inimitable voice of an accomplished storyteller.
Juan Diego''s little sister is a mind reader. As a teenager, he struggles to keep anything secret - Lupe knows all the worst things that go through his mind. And sometimes she knows more. What a terrible burden it is to know - or to think you know - your future, or worse, the future of someone you love. What might a young girl be driven to do if she thought she had the power to change what lies ahead? Later in life, Juan Diego embarks on a journey to fulfil a promise he made in his youth. It is a long story and it has long awaited an ending, but Juan Diego is unable to write the final chapters. This is the story of what happens when the future collides with the past.