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Michel Bernard
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La Meuse sentimentale
Michel Bernard, Jean-Marie Lecomte, Marc Paygnard
- Noires Terres
- 10 Octobre 2004
- 9782915148039
Consacré au département de la Meuse, "La Meuse sentimentale" est un livre sur le ciel et la nature, qui montre des statues, des églises, des villages et des villes anciennes. C'est aussi un livre sur l'invisible.
L'histoire, les souvenirs de famille, les châteaux de nuages, les reflets sur les rivières et sur les toits des maisons. Notre pays, qui parle tout le jour et qu'on entend parfois, avant la nuit, quand la vie s'apaise et s'ouvre, comme un livre sur les genoux, au sentiment de la Meuse.
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Châteaux de Bretagne
Francis Michaud, Michel Bernard
- Patrimoines & Medias
- 10 Octobre 2011
- 9782916757711
Plus de 70 châteaux de Bretagne s'offrent à vous dans cet ouvrage. Pour chacun d'entre eux, un texte retrace l'histoire du lieu dans ses grandes lignes et propose également une description architecturale. Mis en valeur au travers de photographies de qualité, les châteaux de Bretagne - modestes logis pleins de charme, fastueux palais ou forteresses inexpugnables - sauront vous séduire autant que vous impressionner. Cette édition reprend et améliore une première publication parue dans la collection Belles visites en France.
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Le vif du sujet
Jean-pierre Schneider, Bernard Chambaz, Michel Dieuzaide
- Le Temps Qu'Il Fait
- 25 Août 2011
- 9782868535597
« Là où je suis servi, c'est par l'importance que Jean-Pierre Schneider accorde et reconnaît aux mots et même à l'étymologie des mots. Sa passion tend à confirmer mon intuition : les peintres ne peignent pas seulement avec ou sans le concept de trait ou de volume ou de lumière mais aussi avec les mots «trait», «volume», «lumière», etc., leurs toiles sont tissées de mots recouverts par le geste même de peindre, dépôts de langage dans une nappe sédimentaire plus ou moins enfouie.
Le sujet, ici, c'est le peintre, un bonhomme avec deux bras deux jambes quatre enfants une vieille BMW une tasse de café à la main une cigarette dans l'autre. Bien entendu, on ne saurait disconvenir que la manière matérielle de peindre, l'inscription /dessous/ dedans/ dessus/, la pâte, la couleur, le geste disent bien davantage le sujet que la part de pensée à l'oeuvre dans la toile. En ce sens, le seul sujet est en effet la peinture. De toute façon, le peintre comme la peinture sont à vif. La meilleure preuve : Schneider aura passé sa vie à se battre avec le sujet sinon contre lui, affirmant encore avec force, mais contre quelle instance, que la peinture n'est pas au service du sujet et que c'est le sujet qui doit se plier à la peinture. » ( Bernard Chambaz ).
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