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Littérature
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Hiver 1812 : retraite de Russie
Michel Bernard
- La Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 18 Avril 2024
- 9791037111760
Le 15 septembre 1812, Napoléon entre dans Moscou. Dans la nuit, la ville s'embrase dans un océan de flammes. Un mois plus tard, la Grande Armée quitte la capitale ruinée ; l'Empereur veut écraser l'armée russe et s'installer à Smolensk avant l'arrivée de l'hiver. Mais le froid et la neige sont en avance sur le calendrier. L'hiver russe surprend des troupes épuisées, sous-équipées, mal ravitaillées. La tragique retraite de Russie commence. Michel Bernard raconte avec une rare maestria l'hallucinant voyage dans l'enfer blanc de la Grande Armée, en suivant l'itinéraire de onze hommes et une femme à travers la plaine enneigée, les collines verglacées, les forêts pétrifiées, au milieu des combats et du harcèlement des cosaques. Elle est comédienne ; ils sont officiers, sous-officiers ou soldats, diplomate (Caulaincourt), fonctionnaire et futur grand écrivain (Stendhal). Napoléon est l'un d'entre eux, s'efforçant de sauver ce qui peut l'être quand s'annonce le désastre.
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Quand Omer Dewavrin entre dans l'atelier d'Auguste Rodin, dédale de formes humaines de pierre et de glaise, il a la certitude d'avoir fait le bon choix. Notaire et maire de Calais, il a confié au sculpteur à la réputation naissante la réalisation d'un monument en hommage à six figures légendaires de la guerre de Cent Ans : les Bourgeois de Calais. Nous sommes en 1884, et Dewavrin ne sait pas encore qu'il s'écoulera dix ans avant que l'artiste, en quête de perfection, se décide à déclarer son travail achevé. La bouleversante chorégraphie de bronze n'existerait pas sans ce bourgeois du dix-neuvième siècle qui, devinant le génie du sculpteur, l'obligea à aller au bout de lui-même et imposa son oeuvre en dépit du goût académique et des controverses idéologiques. Sa femme Léontine et lui sont les héros inattendus de cette histoire, roman de la naissance d'une amitié et de la création du chef-d'oeuvre qui révolutionna la sculpture.
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Deux remords de Claude Monet
Michel Bernard
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 4 Janvier 2018
- 9782710385264
« Lorsque Claude Monet, quelques mois avant sa disparition, confirma à l'État le don des Nymphéas, pour qu'ils soient installés à l'Orangerie selon ses indications, il y mit une ultime condition : l'achat un tableau peint soixante ans auparavant, Femmes au jardin, pour qu'il soit exposé au Louvre. À cette exigence et au choix de ce tableau, il ne donna aucun motif. Deux remords de Claude Monet raconte l'histoire d'amour et de mort qui, du flanc méditerranéen des Cévennes au bord de la Manche, de Londres aux Pays-Bas, de l'Île-de-France à la Normandie, entre le siège de Paris en 1870 et la tragédie de la Grande Guerre, hanta le peintre jusqu'au bout. » Michel Bernard.
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Le Bon Coeur est le roman d'une voix, celle d'une paysanne de dix-sept ans qui retint le royaume de France sur le bord de l'abîme, le sauva et en mourut. Elle changea le cours de l'Histoire en réveillant dans le coeur usé des hommes la force de croire et d'aimer.
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En mars 1916, peu après avoir achevé son Trio en la mineur, Maurice Ravel rejoint Bar-le-Duc, puis Verdun. Il a quarante et un ans. Engagé volontaire, conducteur d'ambulance, il est chargé de transporter jusqu'aux hôpitaux de campagne des hommes broyés par l'offensive allemande. Michel Bernard le saisit à ce tournant de sa vie, l'accompagne dans son difficile retour à la vie civile et montre comment, jusqu'à son dernier soupir, «l'énorme concerto du front» n'a cessé de résonner dans l'âme de Ravel.
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Hiver 1814 ; campagne de France
Michel Bernard
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 1 Avril 2021
- 9791037107749
« Le 26 janvier 1814, à Châlons-sur-Marne, Napoléon prend la tête de l'armée pour repousser les coalisés qui ont passé le Rhin et occupent l'Alsace, la Lorraine et le nord de la Bourgogne. Il a soixante mille soldats, majoritairement jeunes et inexpérimentés, l'ennemi cinq fois plus. Alors que son entourage pense la défaite inéluctable, Napoléon guette, provoque, exploite les erreurs de ses adversaires et enchaîne une série de victoires qui rendent possible l'incroyable. Le nombre, finalement, l'abandon des maréchaux et la défection de Marmont donneront à l'événement son issue logique. Commencée sous les neiges de janvier en Champagne, achevée dans l'aigre printemps d'avril en Île-de-France, cette dernière campagne est l'histoire d'un homme au sommet de son génie que sa puissance abandonne. Le maître de guerre observe à la lorgnette les rues de Brienne où il a grandi et qu'il va canonner. Le chef d'État continue d'administrer dans le salon d'un château, une chambre d'auberge, un presbytère, au hasard des étapes, un empire en peau de chagrin. Le cavalier sous les intempéries, au milieu de ses maigres troupes, chemine à travers une région dévastée, une population violentée, hanté par le passé et les fantômes d'une grandeur perdue. À la fin, c'est un homme seul qui, retiré dans une pièce du château de Fontainebleau, la «maison des siècles», appelle la mort en s'empoisonnant. ».
Michel Bernard.
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Comme le fit Larbaud pour le duché d'Allen, Michel Bernard élève le Barrois mouvant, son pays natal sublimé, singulier désert et « marche » de l'ancien royaume, à la dignité d'une France immémoriale. En de saisissants raccourcis se tisse une fresque au grain serré où les figures mythiques de Jeanne d'Arc et de Charles de Gaulle, l'ombre des druides et celles des sacrifiés de Verdun, les rêves de Barrès et l'empreinte de Ligier-Richier, la silhouette de Ravel ambulancier et le fantôme d'Alain-Fournier se mêlent et s'entre- croisent.
« Les paysages, écrit l'auteur, sont nos royaumes. » Courte phrase qui pourrait servir d'épigraphe à ce ré- cit musical et tourmenté que l'on croirait composé par un moderne Michelet.
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Mes Tours de France est le premier livre de Michel Bernard. Il nous tend ses pages comme un ami nous tend ses bras. On s'y régale. Il y a les souvenirs. Il y a quelques espérances personnelles jetées aux orties dans la bonne humeur. Il y a du plein-vent,
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Il existerait quelque part au monde un lieu d'où l'on aurait sur la terre une perspective inconnue. Ce lieu existe, en effet, géographiquement aux confins de l'Orient et de l'Occident, et politiquement à la jonction de l'Est et de l'Ouest, au Monténégro, et plus précisément au fond d'un fjord qui s'étire sur soixante kilomètres, à Kotor. Un jour, un homme apprend l'existence de cette ville qui porte son nom. Alors, dans le décor ruiniforme d'une province occupée tour à tour par les Romans, les Sarrasins, les Serbes, les Turcs, les Vénitiens, les Russes, les Français, les Autrichiens, et périodiquement ravagée par les tremblements de terre, sous la troublante et douteuse conduite de la belle Letta, singulière Ariane, commence le roman d'apprentissage d'un homme de quarante ans qui découvre entre les multiples religions et les facettes du socialisme que la réalité - les réalités -, son identité - ses identités -, sont aussi fluctuantes que le parcours des Bouches de Kotor. Assassin psychopathe, psychiatre logomachique, initiés du Nombre et des champignons, sportifs, érotomanes, amoureuse - l'auteur de La Plage et de La Négresse muette n'a rejeté personne pour s'aventurer plus loin encore en terre inconnue.
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Samuel Beckett et son sujet ; une apparition évanouissante
Michel Bernard
- L'Harmattan
- Psychanalyse Et Civilisations
- 3 Mai 2000
- 9782738440068
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De quoi parle ce livre ? ; élaboration d'un thésaurus pour l'indexation thématique d'oeuvres littéraires
Michel Bernard
- Honore Champion
- 27 Septembre 1994
- 9782852033863
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Notre-Dame de Montbrison, par Michel Bernard aîné Date de l'édition originale : 1859 Appartient à l'ensemble documentaire : RhoneAlp1 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
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La maison du docteur Laheurte
Michel Bernard
- Table Ronde
- L'usage Des Jours
- 8 Janvier 2009
- 9782710330776
La maison du docteur laheurte est le récit des quelques semaines de vacances d'un enfant, dans une propriété familiale au bord du lac d'annecy, que hante le souvenir d'un aïeul prestigieux, amiral et compositeur.
Entre l'invité et l'officier musicien s'établit une relation inattendue parmi les objets du passé, comme un legs invisible. pour ce jeune garçon ébloui par le vitrail qui transfigure les montagnes, cet été s'inscrit dans sa mémoire comme l'épiphanie de l'enfance, qui précède le moment mélancolique de sa disparition. les dernières " vacances d'un enfant ", magnifiées par la précision pointilliste du souvenir, atteignent leur point d'orgue et leur vibrante et secrète harmonie à l'écoute d'une sonate inachevée dont l'auteur est l'aïeul disparu.
Dans cette figure, le lecteur attentif reconnaîtra l'amiral jean cras, de qui l'oeuvre impressionniste est aujourd'hui redécouverte.
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Novembre 1449. Charles VII chasse les Anglais de Rouen et ordonne une enquête sur le procès de 1431 qui avait conduit Jeanne d'Arc au bûcher. Malgré la résistance d'une partie de l'Église et de l'Université, quelques hommes opiniâtres, rusant avec la raison d'État, vont rechercher preuves et témoins pour rétablir la vérité, le droit et l'honneur de la jeune fille. Après Le Bon Coeur, Michel Bernard relate l'histoire de la réhabilitation de la Pucelle, dix-huit ans après sa condamnation pour hérésie.
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«À trente-quatre ans, j'ai éprouvé de nouveau l'empoignade d'une lecture d'enfance. Elle a duré deux nuits. Je relisais, bouleversé, Ceux de 14. [...] M'apprêtant à écrire sur les paysages du Barrois et de la Woëvre, j'avais pensé recevoir d'une nouvelle lecture de Genevoix la bénéfique influence. Sa réputation de paysagiste était solide et l'on disait qu'il n'était pas seulement le meilleur peintre de la Loire, mais aussi de la nature meusienne. Je pense maintenant que la cause était plus profonde.»
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Ancienne, abondante, la correspondance entre les deux auteurs de ce livre porte sur beaucoup de sujets. Sur la littérature le plus souvent. Mais sur la politique aussi, ou, on le verra, plutôt que sur la politique, sur la révolution, la première étant d'un bout à l'autre mesurée par eux à l'aune de l'espérance et de l'attente de la seconde.
Aussi bien, est-ce la partie que ceux-ci ont choisi d'isoler, prélever et reproduire ici, sans égard pour tout ce que chacune de leurs lettres pouvait contenir d'autre, recomposant quelque chose comme un échange, un dialogue, un entretien politique-révolutionnaire au long des années, de 1991 à 2019.
Leurs oeuvres respectives et les événements en cours sont ainsi abordés avec complicité, complicité politique incluant le partage d'indignations, de désirs, de doutes et d'espoirs.
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Il était jeune, il aimait la vie qu'il dévorait à pleines dents , il aimait la France, qu'il voulait belle et grande ! Charles Ferdinand d'Artois, duc de Berry, fils du roi Charles X, incarnait l'espoir de la monarchie restaurée. Et pourtant, un soir d'hiver de l'année 1820, sa vie bascule. Alors qu'il sortait de l'Opéra, un homme jaillit de l'ombre, et le frappe au coeur. Le sang jaillit. « Je suis assassiné ! Cet homme m'a tué ! » Brusquement tout s'effondre. Ce n'est pas seulement la mort d'un homme, c'est aussi la fin d'un projet pour la Nation. Soudain, coup de théâtre ! À l'instant de rendre le dernier soupir, Charles Ferdinand murmure a sa femme : « Gardez-vous pour l'enfant que vous portez. » Quel est ce prince, fils du dernier roi de France. Il n'est ni un habile politique ni un conquérant prestigieux, mais un excellent militaire mais aussi un amateur d'Art éclairé. Un homme à découvrir ou à redécouvrir et avec lui une nouvelle page de l'histoire de notre pays.
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Proust et Beckett ; deux corps éloquents
François-Bernard Michel
- Actes Sud
- Un Endroit Ou Aller
- 23 Mars 2011
- 9782742796649
Beckett, dans la continuité de Proust ? Ou comment Samuel Beckett reprend, en les accentuant, des traits de l'oeuvre de son prédécesseur. Une rencontre aussi inattendue que forte et une réflexion rigoureusement documentée, qui dévoile l'envers de ces deux corps éloquents, le «souffle coupé» de l'un, le «coeur folâtre» de l'autre. Pourquoi et comment rapprocher ces deux écrivains majeurs ? Ils n'appartenaient pas à la même époque, au même milieu, et leurs dissemblances physiques ou littéraires semblent les opposer diamétralement . Pourtant, tous deux ont souffert de leur hypersensibilité, source d'une angoisse permanente qui les a handicapés physiquement et socialement tout au long de leur vie, mais qui, dans le même temps, a formidablement nourri leur créativité, faisant d'eux les immenses écrivains qu'on lit toujours aujourd'hui. Malades chroniques, sujet au souffle coupé pour l'un et victime d'un coeur folâtre pour l'autre, l'écriture fut autant une méthode de soin, prolongement du travail psychologique entamé avec leurs médecins respectifs, qu'un moyen d'expression de l'intime, dans l'espoir de conjurer cette peur viscérale de l'incommunicabilité qu'ils partageaient. Fascinés par le cerveau humain et la notion d'inconscient, ils ont cherché au travers de leurs oeuvres à percer les mécanismes de la mémoire, du souvenir, leur désir de ressuscitation des émotions les portant à une compréhension de l'âme et à une réflexion profondément humaniste. Une rencontre aussi inattendue que forte, rigoureusement documentée, proposée par François-Bernard Michel, médecin et essayiste, dans un face à face qui dévoile l'envers de ces deux corps éloquents.
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Ligne de risque : (1997-2005)
Gérard Guest, Bernard Sichère, Catherine Millot, Michel Cassé, Barbara Cassin, Marc Dachy, Marcel Detienne
- GALLIMARD
- 28 Avril 2005
- 9782070774302
Ligne de risque a été fondée en janvier 1997. Depuis cette date, la revue pose la question du nihil qui détermine le nihilisme. D'un geste constant depuis Platon, la métaphysique occidentale évacue le rien. Selon la logique, une pensée tournée vers le néant agirait à l'encontre d'elle-même. Elle ferait exploser les principes d'identité et de non-contradiction. Comment, dès lors, penser le néant ? Le travail de Ligne de risque, durant huit ans, n'a pas eu d'autre objet. Cette longue et endurante méditation implique de convoquer simultanément plusieurs systèmes de références. Mais ce qui s'entreprend ici est plus proche du ravissement d'un non-savoir que du discours universitaire. Le but : rendre possible ce nouveau commencement en le laissant émettre des signes depuis toutes les traditions. C'est pourquoi nous interrogeons plusieurs spécialistes sur la pensée grecque, la pensée chinoise, le Veda ou l'oeuvre de Martin Heidegger. Nous faisons le pari qu'il est enfin possible de lire ENSEMBLE les textes les plus différents, de passer d'un poème orphique à un écrit taoïste, d'une méditation védique à des éclaircissements sur Rilke, Hofmannsthal, Blanchot ou Jean Genet, sans qu'il s'agisse d'un quelconque syncrétisme.
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Conversations dans la bibliothèque avec Pascal Plat
François-Bernard Michel
- Domens
- 19 Mai 2022
- 9782357801387
J'ai toujours eu dans l'esprit sans bien m'en rendre compte, une sorte de balance.Sur un plateau il y avait la douleur, la mort, sur l'autre la beauté la vie.Cette phrase de Philippe Jacottet couvre d'un calque les conversations que nous avons partagées, elle reflète la profondeur et la complexité d'un homme qui a conjugué la pratique de la médecine et l'écriture, côtoyé ceux qui souffrent et apprécié la quintessence des arts et de la nature.
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S'ouvrant sur une rencontre avec une belle inconnue au musée Fabre de Montpellier, ce récit l'associe à un portrait du Louvre peint par Véronèse, qui se déploie en deux occurrences opposées.À la première, brève et lumineuse, s'en substitue une autre, dont les perspectives grandioses se mueront en cauchemars. Séduction, jalousie, tendresse, absence rythment ce roman au gré des variations amoureuses et du jeu des sentiments.Les souvenirs des années de conflits reviennent en mémoire au fil des pages, resurgissent loin de la Seconde Guerre mondiale, reliés au présent par les pires révélations.L'art des peintres dont les oeuvres jalonnent cet ouvrage, de l'Antique ou du Contemporain, finira-t-il par réaliser la prédiction du prince Muychkine de Dostoïevski, L'art sauvera-t-il le monde ?