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Philippe Meirieu partage, dans ce Dictionnaire inattendu de pédagogie, son amour de l'éducation en nous faisant prendre des chemins de traverse. D'abyme à village, en passant par catéchisme et photocopieuse ou encore placebo et universalisme... ces entrées inattendues, parmi bien d'autres, explorent toutes les facettes de l'éducation scolaire et familiale, formelle et informelle. Elles articulent approches personnelles et théoriques, expériences et recherches pour interroger différemment ces enjeux pédagogiques qui nous concernent toutes et tous.
Plus qu'un dictionnaire traditionnel, plus qu'un essai, cet ouvrage est une balade réflexive pour tous ceux et toutes celles qui sont confrontés au quotidien à cette entreprise difficile qu'est l'éducation, où rien n'est jamais définitivement joué.
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Dans ce petit ouvrage très accessible, Philippe Meirieu s'adresse aux jeunes professeurs en leur parlant de ce qui n'est pratiquement jamais abordé par personne : pourquoi faire ce métier ? Et comment pourra-t-il se réaliser dans des tâches si éloignées de ce qu'il s'imaginait ?
Avec sincérité, Philippe Meirieu s'adresse aux professeurs comme on l'a rarement fait... sans basculer dans le technicisme ou dans le pamphlet et avec le souci d'être compris de tous. Alors que les enseignants sont très inquiets devant l'avalanche de réformes structurelles, Philippe Meirieu veut les rassurer et leur montrer qu'enseigner reste le plus beau métier du monde !
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Frankenstein pédagogue ! La juxtaposition est monstrueuse.
Justement, l'intention de Philippe Meirieu est bien de nous faire peur, de nous mettre en garde contre ce risque : croire que l'on peut « fabriquer » un être hu- main. Or, une certaine représentation de l'éducation ne consiste-t-elle pas à mettre l'accent sur le projet de la maîtrise de l'élève, du contrôle total de son destin ?
À travers les légendes de Frankenstein, Pygmalion, Pinocchio, l'auteur revisite le mythe de la fabrication d'un homme par un autre homme. Il montre qu'un telle perspective conduit tout droit à l'échec et présente plusieurs propositions con- crètes qui, au contraire, constituent autant de moyens d'« éduquer sans fabriquer » et font de cet ouvrage un véritable petit traité de pédagogie destiné à tous ceux qui veulent faire oeuvre éducative.
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Le choix d'éduquer ; éthique et pédagogie
Philippe Meirieu
- Esf
- Pedagogies
- 11 Janvier 2018
- 9782710134084
Avec ce livre, Philippe Meirieu a voulu avant tout « donner à penser » aux éduca- teurs. Il souligne la place irréductible de l'interrogation éthique dans les pra- tiques et la réflexion pédagogiques.
Dans une trentaine de brefs chapitres, il aborde un certain nombre de thèmes majeurs de la réflexion éducative : universalité de la culture, discipline et sanc- tions, formation à la citoyenneté, travail en équipe, etc. en s'efforçant de faire apparaître les enjeux essentiels.
Cet ouvrage qui peut se lire « comme un roman » est aussi et surtout un outil de réflexion et le moyen de faire le point sur les débats d'aujourd'hui.
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Il y a 10 ans, Philippe Meirieu écrivait « Ne nous réfugions pas dans l'autoritarisme facile ou l'invoca- tion des «bonnes vieilles méthodes» ». Aujourd'hui, les détracteurs des pédagogues ne cessent de cla- mer haut et fort que l'école « c'était mieux avant ». Mais avant quoi ?
Dans ce livre, Philippe Meirieu aborde avec clairvoyance les problèmes et difficultés de l'école aujour- d'hui : autorité, apprentissage, vivre ensemble... Pour lui, le choix est clair : ou bien la normalisation et l'exclusion des gêneurs, ou bien une pédagogie capable de mettre les élèves au travail et de les réconcilier avec l'École. Il développe aussi avec passion et conviction sa vision de l'éducation dans sa globalité : la place de la famille, des médias, de la culture... car on ne résoudra pas les problèmes de notre jeunesse seulement par l'école.
Le texte est entièrement revu au regard de l'actualité forte et riche de ces derniers mois et des avan- cées des sciences de l'éducation, notamment sur la pédagogie du sujet.
Un livre coup de poing, sans concession pour remettre l'éducation et l'enfant au centre des débats !
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Dans les débats pédagogiques et éducatifs récents , des affirmations surgissent et deviennent des « lieux communs », relayés par les médias ou les acteurs eux- - mêmes. Ainsi dit- - on que « la réussite scolaire est affaire de motivation », qu'« un enfant doit être actif pour bien apprendre », que « les familles et l'école doivent travailler ensemble » ou qu'« on doit adapter l'école à l'enfant pour individualiser les apprentissages »...
Ces affirmations sont rarement explicitées et l'on ne voit pas toujours qu'elles peuvent recouvrir des acceptions différentes : qu'est-ce qu'un élève « actif » ? Un élève qui bouge ? Un élève qui se concentre ? Un élève qui travaille en groupe ?
Etc.
Ainsi faut-il, si l'on veut vraiment comprendre les enjeux de l'éducation et les questions qui agitent l'école, identifier exactement les concepts-clés qui permettent de travailler ensemble et de construire des propositions cohérentes.
De même, c'est en dépassant les vieux clivages entre « contrainte » et « liberté » que l'on parviendra à identifier les « belles contraintes », celles qui, précisément, permettent le développement de la liberté...
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Peut-être exista-t-il un temps où les enfants, en entrant en classe, se transformaient miraculeusement en élèves et " faisaient école " spontanément. De toute évidence, ce temps n'est plus. Les enseignants constatent aujourd'hui, au quotidien, qu'il ne suffit pas qu'il soit inscrit " Ecole " sur le fronton d'un bâtiment pour qu'il y ait " de l'Ecole " dans l'école. On peut y interpeller le professeur comme le membre d'une bande rivale ou exiger de la maîtresse qu'elle remplace votre mère.
On peut aussi se croire sur un plateau de télévision et considérer que la règle du jeu est bien d'éliminer " le maillon faible " ! C'est que l'Ecole, faute d'une verticalité qui ferait autorité, est livrée au mouvement brownien des intérêts individuels et perd progressivement sa légitimité. Philippe Meirieu part de ce constat et, loin d'en rester au registre de la plainte ou de la nostalgie, propose de réinstituer l'Ecole en faisant d'elle une véritable institution capable de rendre possible la construction d'une démocratie authentique.
Mais il ne se contente pas d'énoncer des finalités, il a voulu faire de ce livre un véritable " manuel de pédagogie ", analysant successivement les principes fondateurs, les tensions constitutives du métier d'enseignant et les points sur lesquels asseoir une pratique réfléchie. Lors de sa première édition, ce livre avait été particulièrement bien accueilli par la critique : " Philippe Meirieu livre une somme pédagogique, précise, complète, dont le titre, modeste, dissimule une synthèse remarquable.
[...] Il touche au coeur de ce qui fait la saveur et la difficulté du métier d'enseignant. " Luc Bronner, Le Monde. " Philippe Meirieu livre ici, tout à la fois, une Constitution pour l'Ecole, un code du métier d'enseignant et un précis d'enseignement. [...] Une pédagogie de la pédagogie en somme. " La Lettre de l'éducation. " Aux lecteurs de faire l'Ecole et la classe à la lumière d'une pensée qui sait capitaliser l'histoire de l'éducation et de ses différents systèmes pour mieux orienter l'urgence du présent.
" Catherine Dupuy, Les Cahiers pédagogiques.
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Des enfants et des hommes (1) : Littérature et pédagogie
Philippe Meirieu
- Esf
- 14 Septembre 1999
- 9782710113799
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Devenir autonome ; apprendre à se diriger soi-même
Philippe Foray, Philippe Meirieu
- Esf
- 15 Septembre 2016
- 9782710131779
L'autonomie est aujourd'hui une injonction tant scolaire que sociale : il faut former les élèves à "devenir autonomes", les citoyens sont invités à se "prendre en main" et à "être autonomes", l'évolution des technologies est censée contribuer à nous "autonomiser", etc. Mais qu'est-ce donc que l'autonomie ? Le premier mérite de ce livre est d'en fournir une définition stabilisée : l'autonomie est la capacité d'agir, de choisir et de penser par soi-même afin de se diriger dans le monde.
Son deuxième mérite est de nous permettre de comprendre la surchauffe idéologique autour de cette notion : dès lors qu'il n'y a plus de consensus sur le but de l'éducation, l'autonomie en devient une finalité nécessaire. Son troisième mérite est d'insister sur le fait que l'autonomie n'est ni un don ni le résultat d'un "développement naturel", mais suppose une interaction avec l'environnement et les expériences qu'il permet, l'intégration de normes sociales, l'acquisition de connaissances scolaires.
Elle requiert bien une prise en charge, un ensemble d'interventions éducatives assumées qui sont, ici, très précisément décrites. Car c'est grâce à l'éducation que l'enfant peut devenir autonome. L'auteur, Philippe Foray, philosophe de l'éducation, développe son propos dans différents champs et domaines. C'est ainsi qu'il aborde le rôle de la famille et celui de l'école, examine minutieusement les rapports de l'autonomie avec le care, l'autorité, la justice sociale et les savoirs scolaires.
Il avance pas à pas, conduisant le lecteur avec une rigueur qui n'a rien de dogmatique, mais permet justement à chacune et à chacun de s'impliquer dans la démarche proposée, d'éviter les pièges et les faux-semblants afin d'assumer, de manière autonome, son engagement éducatif.
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L'école ; mode d'emploi ; des "méthodes actives" à la pédagogie différenciée
Philippe Meirieu
- Esf
- Pedagogies Outils
- 19 Mai 2016
- 9782710131304
A travers le parcours d'un élève confronté aux différents courants de la pédagogie contemporaine, Philippe Meirieu dégage une évidence: l'apprentissage ne se décrète pas, il s' effectue pour chacun de manière active et singulière.
Tout en présentant l'apport de la pédagogie différenciée, cet ouvrage très riche donne de nombreux outils: grilles d'évaluation, diversification des méthodes et des technologies, plans de travail, contrats, travail en équipe des enseignants, groupes de besoins, etc.
Un grand classique, indispensable pour redonner vie et sens à l'éducation scolaire.
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Les débats éducatifs s'organisent souvent autour de « lieux communs ». Issus de la tradition pédagogique, repris par les discours officiels, relayés par les médias, ils constituent une « vulgate pédagogique » bien connue : « l'élève au centre », « le respect de l'enfant », « les méthodes actives » ou « l'individualisation de la formation » sont ainsi présentés comme des évidences... avant de devenir des lignes de clivage, voire des objets d'épiques batailles idéologiques.
Mais, ces « lieux communs » sont rarement explicités et l'on se garde bien de chercher comment ils sont apparus, dans quels sens ils ont été mobilisés et quelles différences, voire divergences d'interprétation, ils recouvrent. Que signifie « respecter un enfant » ? Qu'est-ce qu'un « élève actif » ? Que faut-il « individualiser » dans l'éducation et la formation ?
Aussi est-il absolument nécessaire de regarder de près le sens et la portée de ces expressions. Derrière leur apparente simplicité, elles cachent des partis pris souvent contradictoires. C'est pourquoi il faut en débusquer les significations et, derrière les slogans, chercher les concepts.
C'est tout l'enjeu de cet ouvrage : éclairer le pédagogue en lui permettant d'accéder aux véritables enjeux qui se cachent derrière les « lieux communs » pédagogiques. L'armer pour son métier, l'éclairer pour sa mission, lui fournir les « concepts clés » nécessaires pour mener à bien, le plus lucidement possible, l'entreprise éducative.
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Notre histoire semble hantée par le mythe de la fabrication d'un homme par un autre homme. Pygmalion, Frankenstein et Pinocchio sont des exemples de cette rêverie sur l'éducation qui se poursuit aujourd'hui à travers les récits et les films de science fiction... C'est à partir de l'histoire de Frankenstein et de sa créature que Philippe Meirieu interroge cette représentation de l'éducation comme projet de toute maîtrise de l'autre, de contrôle total de son destin. Il montre qu'une telle perspective conduit tout droit à l'échec et à la mort, et il affirme que le pédagogue doit renoncer au dessein de " fabriquer l'autre " pour s'attacher aux conditions qui lui permettent, comme l'affirmait déjà Pestalozzi en 1797, de " se faire oeuvre de lui-même ". Pour cela plusieurs propositions concrètes sont avancées. Elles constituent autant de moyens d'" éduquer sans fabriquer " et font de cet ouvrage un véritable petit traité de pédagogie destiné à tous ceux qui veulent faire oeuvre éducative.
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L'Ecole est en panne. Elle fut, jadis, la fierté de la République. Elle est, aujourd'hui, eu rebut : absente - ou presque - du débat politique, attaquée de toutes parts, rejetée par ceux qui en auraient le plus besoin. Les ministres vilipendent ses professeurs, les médias raillent ses méthodes, les intellectuels l'accusent de démission. Derrière cette image apocalyptique, il y a, pourtant, des hommes et des femmes qui croient encore que l'éducation vaut mieux que l'exclusion. Ils n'ont jamais lâché prise, bien au contraire. Ils travaillent au quotidien pour que notre Ecole forme des citoyens lucides et solidaires. Ils savent bien que les choses doivent être améliorées et qu'il faut un effort collectif sans précédent pour redonner espoir aux élèves, aux parents, aux professeurs et à tous les Français. Un effort d'analyse et d'imagination. Un effort de création, sans préjugés. En mettant tous les problèmes sur la table. Et en fédérant toutes les énergies pour aider chaque élève à apprendre et tous les élèves à vivre ensemble. S'appuyant sur un vaste ensemble de contributions recueillies par Internet et qui viennent illustrer les différents chapitres, Philippe Meirieu propose ici de rebâtir une Ecole à la mesure des ambitions de la République. Fidèle à notre héritage, hardie dans ses modalités d'organisation. Les propositions inédites de ce livre pourront choquer certains, elles ne laisseront personne indifférent. La France peut construire l'Ecole du futur. Dès aujourd'hui.
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Voilà aujourd'hui plus de deux siècles, depuis Rousseau et Pestalozzi, que la réflexion pédagogique s'est attelée à la rude tâche d'élaborer des propositions pour permettre au plus grand nombre l'accès aux savoirs et à la sociabilité. Elle a ainsi produit une multitude de discours et de projets qui constituent un formidable réservoir de possibles... Mais, étrangement, ces discours ne semblent produire que peu d'effets : les pratiques ne changent guère et les "expériences pédagogiques " s'essoufflent vite dès que leurs initiateurs viennent à disparaître. Les " militants pédagogiques " s'épuisent à ramer à contre-courant et il arrive, parfois, que ceux-là mêmes qui préconisent le changement aient le plus grand mal à le mettre en oeuvre. Tout se passe donc comme si, en pédagogie, il ne suffisait pas de savoir ce qu'il faut faire pour le faire... au point que bien des éducateurs et des enseignants se demandent pourquoi il est si difficile de mettre en application ses propres convictions pédagogiques. Pour comprendre cette difficulté, Philippe Meirieu s'interroge d'abord sur la spécificité du discours pédagogique qui peut se comprendre comme un effort pour entrer dans l'intelligence des contradictions éducatives. Ensuite, on voit comment, grâce à sa formidable inventivité, la pédagogie fait de la transmission éducative une occasion de développement de la personne et de partage d'humanité, un dialogue permanent entre la singularité et l'universalité. Mais l'auteur n'en reste pas là : il présente les savoirs pédagogiques dans leur cohérence et propose des outils pour en saisir les enjeux. Il montre ainsi que ces savoirs ne peuvent être appliqués mécaniquement et que l'écart entre le dire et le faire n'est réductible que par une reconsidération complète du statut du pédagogique, la reconnaissance de son fondement éthique, la renonciation à toute certitude didactique, le fait de placer l'inventivité et la formation du jugement au coeur de sa démarche. C'est dire que tous les éducateurs trouveront dans cet ouvrage une analyse de leurs difficultés, un ensemble de références et d'outils permettant d'agir au quotidien et une réflexion sur les conditions pour trouver " le courage des commencements " et la force de tenir ses engagements.
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Dans cet ouvrage, Philippe Meirieu s'attache, plus particulièrement, à l'acte d'apprentissage... Il donne les repères à partir desquels l'enseignant peut élaborer, réguler et évaluer son action. Il aborde aussi bien la relation pédagogique, la rationalisation didactique et les stratégies individuelles d'apprentissage. Il montre comment l'attention à ces trois dimensions permet de maintenir « l'équilibre écologique du système apprendre ».
L'originalité du livre tient aussi à sa forme : le lecteur s'y trouve mis en situation d'activité, confronté à des exercices, des récits d'expériences. Il propose des outils utilisables par les enseignants, professeurs, formateurs : des outils pour imaginer, construire et adapter une pédagogie véritablement différenciée, des outils pour travailler à la réussite de tous.
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Chacun sait bien, même si on ne l'avoue guère, que la réussite de l'acte pédagogique ne tient pas seulement aux qualités strictement scientifiques et didactiques de l'enseignant.
Il n'est qu'à écouter les élèves eux-mêmes ou leurs parents, il n'est simplement qu'à nous interroger sur notre propre parcours scolaire pour nous en convaincre.
Et c'est d'abord cela que philippe meirieu prend le risque d'expliquer dans ce nouvel ouvrage. il montre l'importance décisive des choix éthiques de l'éducateur, quand il se donne pour fin l'émergence de sujets libres, quand il oeuvre simultanément pour leur instruction et leur émancipation, quand il parvient à articuler le principe d'éducabilité et celui de liberté.
Tout faire pour que l'autre apprenne et lui communiquer la conviction du possible, sans attendre pour autant la soumission et encore moins la réciprocité marchande.
L'éducation est ainsi une aventure imprévisible, une histoire toujours différente à écrire, et dans laquelle l'éthique n'est pas une " nouvelle matière scolaire " ni même un " supplément d'âme ", mais bien ce qui oeuvre, à travers l'ensemble des activités que l'éducateur organise.
A partir de cette approche, l'auteur rencontre un certain nombre de thèmes majeurs de la réflexion éducative : l'universalité de la culture, la formation à la citoyenneté, la discipline et les sanctions, la place de la didactique et des apprentissages méthodologiques, la formation des maîtres, le travail en équipe, etc. mais il les traite de manière originale, en une trentaine de brefs chapitres où il s'efforce de faire apparaître les enjeux essentiels.
Ainsi le livre peut-il se prêter à une multiplicité de lectures : certains le liront " comme un roman " et sans doute, à bien des égards, en est-il un -, d'autres y trouveront un outil de réflexion individuelle ou collective, l'occasion de questionner leur activité, le moyen de faire le point sur bien des débats d'aujourd'hui.
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