Célébrer l'anniversaire des 150 ans de la Commune de Paris de 1871 au prisme du droit invitait à s'interroger sur les prémisses politiques comme sur les répercussions juridiques d'un événement majeur dans la construction de la République en France. L'insurrection du 18 mars 1871 qui acte de son commencement, s'entend comme un rejet de la centralisation du pouvoir, comme un refus de l'incapacité des gouvernants à défendre la société. Malgré la courte période que couvre l'irruption de la pensée communaliste dans l'histoire de France, l'influence que les textes et actes produits durant les 72 jours que durèrent la Commune sur les législations, à partir de 1875, s'est avérée déterminante.
Bien que les tueurs en série aient toujours existé, l'élaboration d'une définition consensuelle et d'une catégorisation universelle pose toujours de nos jours des difficultés. Avant même la médiation outrancière de « Jack l'éventreur », les meurtriers répétant à l'excès leur forfait ont toujours été présents. De nombreux exemples le prouvent et sont recensés dans la littérature historique. L'auteur propose de se replonger dans l'histoire pour démontrer que ce phénomène n'est en rien nouveau et qu'il perdure depuis longtemps à travers les siècles.
Ouvrage regroupant un peu plus de 6600 définitions relevant du droit privé et du droit public. L'ensemble est accompagné de références jurisprudentielles et bibliographiques. À jour des termes les plus récents et locutions latines.
La rébellion est une notion fondamentale du droit insuffisamment connue.
Elle peut s'identifier à des notions voisines la rendant complexe dans un procès.
Elle peut être explicite ou implicite, juridique ou morale.
Elle est toujours la marque d'une opposition plus ou moins violente dont l'auteur et la Cité devront assumer les conséquences.
L'ouvrage offre par ailleurs - dans le cadre de deux dossiers de synthèse - les principaux supports juridiques de la rébellion dans le procès.
Christine Youego est une scientifique de grande qualité dont la Faculté de droit de l'Université Paris 8 a eu la chance de bénéficier pendant de nombreuses années.
De la soutenance de sa thèse de droit privé rédigée sous la direction de Jacques-Henri Robert à l'Université Paris II (devenue l'Université Paris-Panthéon-Assas)... à ses multiples écrits et investissements dans les formations offertes par le cursus de droit de Saint-Denis, elle a toujours marqué les esprits de ses étudiants et de ses collègues par sa rigueur et sa correction.
Les auteurs du présent ouvrage désirent rendre hommage à une personnalité aussi attachante qu'exemplaire du monde universitaire.
Les bras de fer de la justice font toujours couler beaucoup d'encre.
Les parties, les juges, les journalistes, les écrivains... rappellent que l'écriture judiciaire est à fleur de peau de conflits dont les justiciables peuvent ressortir malmenés ou broyés.
Certains ont pu y laisser leur vie.
C'est l'objet de ce livre que d'en présenter différents exemples.
Le droit est enseigné depuis longtemps à l'Université Paris 8. Il a été l'occasion de regards d'hommes et de femmes exceptionnels.
Il est le fil rouge d'une histoire des Universités dans laquelle la liberté et le droit au savoir sont au premier plan. Il permet l'écriture d'un livre dont les auteurs soulignent le long chemin parcouru de Vincennes à Saint-Denis.
L'UFR de sciences juridiques devenu apaisé -et toujours passionnant par ses offres de formation- ne laisse jamais indifférent.
Un livre essentiel pour comprendre les bouleversements des structures d'enseignement et de recherches de notre monde contemporain.