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Sciences humaines & sociales
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Charlemagne est l'un des rares individus du Moyen Âge que l'on connaît encore, un de ces personnages iconiques qui, comme le roi Arthur ou Jeanne d'Arc, a réussi à survivre au passage du temps. Mais l'image bonhomme de l'« empereur à la barbe fleurie » est assez éloignée du réel.
Fils d'un usurpateur, roi contesté, oncle qui a écarté puis éliminé ses neveux, il connaît un début de règne difficile. Manquant de légitimité, il encourage la production de textes qui mettent en scène son projet politique mais qui, surtout, servent son image de monarque chrétien. Le principal aspect de son règne reste la guerre, qu'il mène sans cesse et sur tous les fronts, intérieurs comme extérieurs : entre 768 et 814, il n'y eut que trois années sans convocation des troupes.
Paradoxalement, le nom de Charlemagne est aujourd'hui associé à la réforme scolaire qui ne constitue qu'un aspect mineur du règne. La propagande et la nostalgie ont contribué à bâtir le mythe.Grand format 17.25 €Sur commande
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L'Empire mérovingien : Ve-VIIIe siècle
Bruno Dumézil
- Passes Composes
- 13 Septembre 2023
- 9782379332715
Des temps mérovingiens, ne surnagent aujourd'hui que quelques images d'Épinal le vase de Soissons, la culotte du bon roi Dagobert... La modeste notoriété de ces anecdotes n'est même pas méritée. Le coup de hache de Clovis n'est connu que par un seul texte, plutôt tardif, et le brave Dagobert ne fut accusé d'étourderie qu'à partir du XVIIIème siècle. Avant le temps de la mémoire oublieuse, il y eut pourtant une famille qui occupa le trône des Francs entre les environs des années 450 et 751. Trois siècles, c'est plus que toutes les autres dynasties, à l'exception des Capétiens. En outre, les contemporains avaient une haute idée de leurs rois. Écoutons par exemple un évêque italien, Aurélien qui, dans les années 540, s'adresse à son maître le roi Théodebert I (533-548), petit-fils de Clovis « assant outre l'éclat céleste de ta famille, je ne dirai pas que si ton sceptre est unique, tes sujets sont nombreux, si ton peuple est divers, ta domination est unifiée, si ton royaume est solide, ton empire est étendu. » e royaume de Théodebert ne constitue pourtant qu'une fraction du monde franc il coexiste avec d'autres États appartenant à d'autres descendants de Clovis, des rois qui s'opposent tout autant qu'ils collaborent. Tel est le monde de Théodebert et de sa famille, celui dont Aurélien est lui-même un sujet l'empire des Mérovingiens.
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Depuis trois décennies, le terme de " barbares " a fait l'objet d'un intérêt accru. Alors que la plupart des travaux universitaires portaient jusque-là sur les civilisations bien documentées par les sources écrites, une attention nouvelle a été accordée aux espaces jugés extérieurs, aux zones de contact, aux pratiques d'échanges et aux formes de la représentation mutuelle. Le barbare apparaît aujourd'hui moins comme l'ennemi irréductible du " civilisé " que comme un autre, que l'on doit construire par des dispositifs multiples et qui s'avère nécessaire pour se définir soi-même. Sous une forme proche d'un dictionnaire, deux cents spécialistes questionnent ici la création et l'exploitation de cette altéritéà travers des exemples précis pris dans l'histoire mondiale. Les domaines explorés sont multiples : linguistique, philosophie, sources textuelles, archéologie, histoire de l'art, lieux de mémoire, personnages historiques, droit, culture matérielle, ethnographie, sociologie, historiographie, muséographie, représentations médiatiques...
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Le baptême de Clovis ; 24 décembre 505 ?
Bruno Dumézil
- Gallimard
- Les Journees Qui Ont Fait La France
- 3 Octobre 2019
- 9782072690679
L'épisode inaugural de l'histoire de France est aussi le plus évanescent : on n'en connaît à la vérité ni le lieu, ni la date, ni les circonstances précises, ni même la portée immédiate. C'est l'écriture de l'histoire qui allait au fil des siècles faire du baptême de Clovis la scène originelle de notre légendaire national. Cette cérémonie bien réelle reste encore aujourd'hui recouverte d'épaisses couches de mythes et de fables.
Peut-on retrouver la véritable figure de ce « roi très glorieux » qui, au crépuscule de l'Empire romain, a épousé la foi catholique, bientôt suivi d'une partie de son peuple ? Tel est l'objet de ce livre : il explore les traces fugaces d'une Gaule en mutation entre le passé romain et la civilisation médiévale ; il convoque les ressources de l'archéologie pour approcher les hommes et les paysages que Clovis va unifier ; il s'efforce de composer l'histoire de ce peuple franc appelé à fonder une nation chrétienne. C'est cette reconstitution qui confère à cette journée lointaine sa véritable dimension politique et mémorielle.
Plusieurs récits du baptême sont possibles, que cet ouvrage revisite. Autour de Clovis, mémoire et histoire souvent s'entremêlent au service de partis et de passions que chaque époque fait naître. L'irréductible part de mystère de ce baptême des origines aura ainsi contribué à son extraordinaire postérité.
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Des Gaulois aux Carolingiens
Bruno Dumézil
- Puf
- Une Histoire Personnelle De La France
- 9 Mars 2013
- 9782130592259
Le pays que l´on nomme la France n´existe pas avant le second millénaire de notre ère. Pourtant, les mondes anciens participent à la lente construction de l´identité nationale. On doit ainsi aux Gaulois l´élaboration des paysages, à l´Empire romain (Ier-IIIe siècle) le droit et la langue, à l´Antiquité tardive (IVe-Ve siècle) la religion et la forme des relations socio-économiques. Dans une telle perspective, les Temps mérovingiens (Ve-VIIIe siècle) et carolingiens (VIIIe et IXe siècles) apparaissent moins comme des moments de décadence ou de renaissance, que comme des inflexions ap-portées à la civilisation antique.
Concevoir l´histoire de France sur la très longue durée amène en outre à réfléchir à ce qui unifie une société par-delà les ruptures de la trame historique. Sans viser à l´exhaustivité, l´ouvrage explore ces questions centrales pour la recherche des origines de notre pays.
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Des brutes sanguinaires, sans foi ni loi Des guerriers qui sont allés jusqu'à détruire Rome et qui ont dominé l'Europe Un peuple sans civilisation et sans culture Comment expliquer que le terme de barbares ait pris une place si importante dans le langage courant Bruno Dumézil dresse le portrait de ces peuples barbares qui ont autant fasciné qu'effrayé, et qui constituent encore aujourd'hui un réservoir littéraire et cinématographique inépuisable. Vandales, Wisigoths et Vikings ont eux aussi fait l'Europe. Bruno Dumézil est maïtre de conférences en histoire médiévale à l'université de Paris-X. Il a publié plusieurs ouvrages sur les Barbares, notamment Les Racines chrétiennes de l'Europe (Fayard, 2005).
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Les racines chrétiennes de l'Europe ; conversion et liberté dans les royaumes barbares, V-VIII siècle
Bruno Dumézil
- Fayard
- Nouvelles Etudes Historiques
- 26 Octobre 2005
- 9782213622873
Pourquoi l'Europe est-elle devenue chrétienne ? Une évangélisation pacifique des populations a bien évidemment existé ; mais très tôt la force, et notamment la force publique vint s'ajouter ou se substituer au pouvoir de conviction des prédicateurs. Malgré la qualité de leur appareil législatif et administratif, les empereurs romains ne parvinrent cependant jamais à convertir l'ensemble de leurs sujets. Lorsque le dernier d'entre eux fut déposé en 476, l'Occident passa définitivement sous la domination de rois germaniques, dont à cette date aucun n'était catholique. Les politiques civiles de coercition religieuse disparurent et l'on put même douter que le christianisme survive à l'anéantissement de l'Empire.
Pourtant, trois siècles plus tard, l'Europe ne connaissait plus qu'une seule religion, le christianisme, et dans sa variante catholique, non pas arienne. Pour les contemporains, le phénomène parut mystérieux, car il était paradoxal. Les peuples barbares, vainqueurs de la puissance romaine, avaient accepté de se soumettre à la religion de leurs vaincus De façon plus extraordinaire encore, des évêques isolés et des législateurs d'États embryonnaires étaient parvenus à réaliser ce que Rome n'avait pas même rêvé d'accomplir. Comparer l'ampleur des réalisations à la modestie des moyens ne peut qu'amener à réviser l'idée que le christianisme a été imposé par la force. À moins que notre définition de la contrainte religieuse se révèle imparfaite face aux mentalités de ces siècles obscurs... Dans un âge d'inquiétude, la participation collective à des rituels d'unanimité ou la reconnaissance de signes surnaturels ont pu fléchir les consciences, sans pour autant les violer. De multiples facteurs sociaux, économiques ou culturels et intellectuels se sont superposés, comme autant de formes de pression subtiles qui amenèrent les individus au baptême (l'attitude changeante des monarques barbares envers les juifs fournit aussi quelques intéressants points de comparaison.).
Étendue dans l'espace à toute l'Europe occidentale sur pas moins de trois siècles, cette enquête rigoureuse et nuancée restitue ainsi le passage de l'Occident au christianisme dans toute sa complexité. En multipliant les angles de vue, elle propose une nouvelle approche du concept de liberté religieuse en un temps où convaincre et contraindre ne constituaient pas nécessairement des démarches opposées. Ce livre fera date.Grand format 37.38 €Sur commande
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Comment Léger, évêque franc déposé pour haute trahison dans les années 670, a-t-il mérité de parvenir à la sainteté ? Et pourquoi ce prélat controversé a-t-il donné son nom à près de 55 communes françaises ? Composées peu de temps après sa mort, les deux premières Passions de Léger d'Autun offrent un ensemble considérable de textes pour les décennies les moins documentées de l'époque mérovingienne. Ces oeuvres empruntaient une nouvelle voie de l'hagiographie occidentale en présentant l'élimination d'un évêque influent comme un martyre authentique. Pour ses biographes, Léger constituait pourtant un personnage problématique. Aussi sa chute est-elle connue par le témoignage de ses proches, très complaisants, mais aussi par celui de ses adversaires locaux, qui ont essayé a posteriori de dissimuler leur propre responsabilité. La réhabilitation de Léger a suscité en outre la réaction de membres de factions rivales, qui entendirent affirmer la sainteté des morts de leur propre parti.
En raison de retournements politiques, le culte de Léger fut assuré d'un large succès dès les années 680. La translation et la diffusion des reliques contribuèrent encore à son rayonnement, notamment en Artois, en Poitou et dans la région de Chartres. Le culte marqua en revanche le pas à Autun, ancien siège épiscopal de Léger. Nul n'est prophète en son pays.
Grand format 31.05 €Sur commande
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Servir l'Etat barbare dans la Gaule franque ; IVe-IXe siècle
Bruno Dumézil
- Tallandier
- Histoire
- 25 Avril 2013
- 9791021000865
Charnière entre l'Antiquité et le Moyen Âge classique, le haut Moyen Âge naît de l'effondrement et du morcellement de l'Empire romain. C'est cette passionnante réorganisation sociale, financière, économique, politique, culturelle et religieuse de la société que l'auteur dépeint ici.
Temps barbares, âges sombres. Que n'a-t-on dit du haut Moyen Âge, période la plus méconnue de notre histoire. L'approche lumineuse, proposée ici consiste à suivre l'évolution de l'État et des hommes qui le font fonctionner entre le bas-Empire romain et la féodalité du Moyen Âge " classique ", que nous connaissons bien.
Quand l'empire romain se disloque, la monnaie se raréfie et la terre prend la place de l'or comme valeur de référence. Comment percevoir l'impôt, comment régir les territoires ? Les fonctionnaires ne disparaissent pas totalement, mais ils se trouvent concurrencés par les nobles, d'une origine toute différente. Au VIII? siècle, Pépin le Bref, Charlemagne et leurs successeurs rétablissent une véritable " fonction publique ", mais aux IX et X? siècles, celle-ci s'étiole en même temps que l'Etat s'effiloche (IXe et Xe siècle) par le recul de l'autorité royale.
À travers les relations changeantes du pouvoir et de l'administration, c'est une histoire de la société et de la civilisation qui s'esquisse sous la plume de l'auteur. De nombreux faits anecdotiques, des tranches de vie animent une réflexion d'historien sur pas moins de cinq siècles d'histoire de la Gaule franque.
Grand format 32.09 €Épuisé
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Les royaumes barbares en Occident
Magali Coumert, Bruno Dumézil
- Que Sais-Je ?
- Que Sais-je ?
- 17 Avril 2024
- 9782715423718
Les Barbares ont une drôle de réputation. Les penseurs de la Renaissance leur imputent le naufrage de la seule véritable civilisation: Rome. Les historiens du XIX e siècle leur octroient volontiers l'origine des nations européennes: les Angles n'ont-ils pas donné leur nom à l'Angleterre, les Francs à la France?
Si les chercheurs actuels ont bien abandonné ces présupposés, leur travail historique reste délicat: les populations vivant au nord du Rhin et du Danube ne maîtrisaient pas l'écrit pendant toute l'Antiquité et l'apport considérable de l'archéologie ne compense qu'en partie cette quasi-absence de textes. Une chose est sûre aujourd'hui: le modèle explicatif des "grandes migrations" n'est pas le bon. Il ne permet notamment pas d'appréhender le processus qui a abouti à la création de nouvelles identités ethniques métissées autour desquelles se sont forgés, lentement, de nouveaux peuples.
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Confrontation, échanges et connaissance de l'Autre ; au nord et à l'Est de l'Europe de la fin du VIIe siècle au milieu du XIe siècle
Bruno Dumézil, Sylvie Joye, Charles Mériaux
- PU de Rennes
- Didact Histoire
- 23 Novembre 2017
- 9782753559165
Installé en Gaule et dans une partie de la Germanie, étendu à l'Italie, l'Empire franc a longtemps été considéré comme le coeur politique et religieux de l'Europe continentale auquel se seraient intégrées progressivement, à partir du VIIe siècle, les périphéries septentrionales et orientales occupées par les populations celtiques, anglo-saxonnes, scandinaves, slaves, baltes et hongroises. Destiné à accompagner les étudiants et les enseignants préparant la question d'histoire médiévale pour l'agrégation d'histoire, ce livre propose d'abandonner la perspective exclusivement centrée sur le monde franc et d'étudier toutes les formes de contact entretenues par les sociétés du Nord et de l'Est de l'Europe.
Grand format 27.60 €Sur commande
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Epistola Tome 3 : lettres et conflits ; Antiquité tardive et Moyen Age
Thomas Deswarte, Bruno Dumézil, Laurent Vissière, Collectif
- Casa De Velazquez
- 22 Mai 2021
- 9788490963371
À la fin de l'Antiquité et durant le Moyen Age, peut-on considérer la lettre comme une arme de guerre ? Depuis plusieurs années, différents programmes européens de recherche explorent les ressources de l'art épistolaire, qui sert tout autant à maintenir le lien entre des amis éloignés qu'à alimenter la haine ou la controverse entre des protagonistes qui ne peuvent, ou ne veulent, se rencontrer. Le présent volume propose de réfléchir sur un temps long aux modalités épistolaires des conflits, à leur mise en forme et en mots, ainsi qu'à leur gestion mémorielle, afin d'éclairer les continuités et ruptures sur la période choisie, du IVe au XVe siècle, en combinant les approches historique et littéraire et en articulant l'étude du contenu et à celle du contenant.
Grand format 28.75 €Sur commande
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Le prince chrétien : de Constantin aux royautés barbares (IVe-VIIIe siècle)
Sylvain Destephen, Bruno Dumézil, Hervé Inglebert
- Association Des Amis Du Centre D'Histoire Et Civilisation De Byzance
- Travaux Et Memoires
- 30 Novembre 2018
- 9782916716664
La conversion du monde antique au christianisme ne modifia pas la position centrale du Prince au sein de son État. Loin de remettre en cause les fondements traditionnels du pouvoir, la nouvelle religion offrit des arguments supplémentaires pour légitimer le souverain dans la mesure où il incarnait et appliquait les valeurs du christianisme dans sa vie personnelle comme dans son action publique. Les élites chrétiennes mirent rapidement au service du pouvoir la rhétorique de la justification divine tant pour exalter le souverain que l'inviter à conformer ses actes à la parole du Christ. Dans la représentation du pouvoir par les contemporains lettrés et dans son autoreprésentation à travers les textes, les monuments et les images, le souverain assuma le modèle mis à sa disposition, quitte à en jouer pour servir les besoin de l'heure.
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Le problème de la christianisation du monde antique
Hervé Inglebert, Sylvain Destephen, Bruno Dumézil
- Picard
- 28 Septembre 2010
- 9782708408722
La christianisation du monde antique est un thème central d'un point de vue historique (c'est un des rares événements dont les conséquences ont été essentielles pour l'histoire mondiale), d'un point de vue historiographique (c'est un des grands sujets d'étude de la fin de l'Antiquité gréco-romaine avec la disparition de l'Empire d'Occident et la fin du système civique classique), mais aussi d'un point de vue méthodologique.
En effet, on croit couramment que la christianisation du monde antique fut une réalité qu'il suffirait de décrire, alors qu'il s'agit en fait de la penser, car elle est d'abord une représentation des historiens héritée de modèles antiques (Eusèbe de Césarée, Augustin d'Hippone) ou modernes (Voltaire, Marx, Freud). Pour pouvoir traiter "la christianisation du monde antique" comme sujet historique, il faut donc d'abord réfléchir sur une question d'historiens: "le problème de la christianisation du monde antique".
Pour cela, il faut faire un peu d'histoire moderne et contemporaine, analyser l'apparition et le sens du terme de christianisation, et faire le bilan de l'historiographie de la question. Ensuite, on peut tenter de penser "la christianisation du monde antique" de quatre manières: par l'analyse philologique des termes désignant la conversion en grec, latin et syriaque; par l'étude des sources littéraires chrétiennes à propos des chrétiens, afin de mettre en évidence les représentations antiques du problème de la définition du chrétien; par le recours aux sources non littéraires (épigraphie, papyrologie, archéologie funéraire, archéologie monumentale, iconographie) afin de contourner la question des représentations liées aux textes antiques; par l'enquête sur les sources littéraires chrétiennes à propos de la conversion des païens, qui permet de déconstruire des textes qui créaient une réalité autant qu'ils la décrivaient.
Ainsi, en questionnant les évidences qui structurent nos pensées sur le passé, on peut espérer les distancier afin de mieux comprendre comment le monde antique est devenu chrétien.
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