Paleo
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Histoire de l'ancien théâtre italien en France t.1 (des origines à 1667)
François Parfaict, Claude Parfaict
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 5 Février 2009
- 9782849094570
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Histoire de l'ancien theéâtre italien en France t.2 (de 1667 à 1674)
François Parfaict, Claude Parfaict
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 5 Février 2009
- 9782849094587
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Recueil général des sources de l'histoire des Gaules t.1 ; extraits des historiens grecs et latins (VIIIe - Ier siècles av. J.-C.)
Collectif
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Juillet 2011
- 9782849096451
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Journal de la Régence et du règne de Louis XV t.4 ; mars-décembre 1721
Mathieu Marais
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 5 Mars 2012
- 9782849097274
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Un ministère de 24 jours ; du 10 août au 4 septembre 1870
Comte De Palikao
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 5 Mars 2012
- 9782849097298
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Mémoires secrets ou journal d'un observateur t.7 1773-1775
Louis Petit De Bachaumont
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 5 Décembre 2008
- 9782849094235
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Mémoires de Mathieu Merle, capitaine Huguenot
Collectif
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 5 Décembre 2008
- 9782849094303
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Journal d'un avocat de Paris t.10 (1752-1753) ; l'opposition des parlements
Edmond Jean François Barbier
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Juillet 2010
- 9782849095645
La Cour, toutes les Chambres assemblées, en délibérant sur le récit, fait par M.
Le premier président, a arrêté que députation sera faite au Roi dans la forme ordinaire, pour lui représenter que son Parlement, animé plus que jamais de cette fidélité qui a su quelquefois ne pas redouter même l'indignation de ses souverains pour les servir utilement, se trouve forcé, par la trop juste crainte du renversement de formes aussi anciennes que l'Etat et de la destruction de toute justice, d'exposer audit seigneur Roi que les lois et les formes, dont les tribunaux sont les dépositaires et les gardiens par devoir et par serment, sont le seul gage de la conservation d'une juste monarchie, et font toute la sûreté de la vie et de la liberté légitime de ses sujets.
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Journal de la Régence et du règne de Louis XV t.3 ; octobre 1720-février 1721
Mathieu Marais
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Février 2012
- 9782849097205
"Les nouvelles d'Angleterre sont que tout y est dans un affreux désordre ; que les banqueroutes y sont fréquentes ; qu'on distribue plusieurs écrits où le Roi n'est point marchandé, comme ayant profité de la déroute de la Compagnie du Sud, et qu'un membre du Parlement a dit : "On nous a promis 50 pour cent de dividende.
Si le fonds en était certain, il faut savoir ce qu'il est devenu, et punir ceux qui l'ont détourné. S'il ne l'était pas, c'est une friponnerie qui mérite aussi punition. Ces Anglais raisonnent et exécutent. Pour nous, nous faisons des chansons, et on n'exécute rien. Le Régent est malade d'un gros rhume, qui ne l'empêche pas de boire du vin et de contenter ses autres désirs. Les médecins ne gagnent rien sur lui."
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Mémoires du règne de Louis XIV t.2 ; mars 1682/avril 1685
Marquis De Sourches
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Juillet 2011
- 9782849096475
Le commencement du mois de juin fut signalé par l'exil d'un grand nombre de personnes considérables accusées de débauches ultramontaines.
M le comte de Vermandois, amiral de France, qui n'avait encore que quatorze à quinze ans, était fort mêlé dans ces débauches, et, le Roi l'ayant interrogé avec toute l'autorité d'un père et d'un roi, il n'avait pas pu tenir contre lui et avait tout avoué, de sorte que le Roi avait su par lui tous ceux qui y avaient quelque part, ce qui fut cause de leur disgrâce. M le Grand ne put sauver M le comte de Marsan, son frère, lequel, quoiqu'il ne fût pas chassé de la cour, fut néanmoins perdu dans l'esprit du Roi à n'en jamais revenir.
Le Roi dit à M le Grand qu'il avait aimé et estimé M de Marsan, mais qu'il ne pouvait plus le regarder qu'avec horreur et que c'était un monstre qui avait voulu corrompre son fils. Ce fils n'était pas Monsieur l'amiral, comme plusieurs l'entendaient, mais Monseigneur le Dauphin lui-même.
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Mémoires, lettres, instructions diplomatiques et papiers d'Etat t.1 ; 1600-1610
Cardinal De Richelieu
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Juillet 2011
- 9782849096550
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Journal d'un courtisan t.26 (1713) ; la paix d'Ultrecht
Philippe De Courcillon Dangeau
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Mai 2011
- 9782849096284
Vendredi saint 14 avril, à Versailles.
- Le roi assista à toutes les dévotions de la journée, et après ténèbres il s'enferma avec le R le Tellier. Il passa ensuite chez madame de Maintenon, et sur les huit heures M. de Torcy lui mena M. le chevalier de Beringhen, fils de M. le Premier, que M. le maréchal d'Huxelles a envoyé pour apporter les signatures de la paix avec l'Angleterre, la Hollandc, le Portugal, la Savoie et l'électeur de Brandebourg, que nous reconnaîtrons présentement pour roi de Prusse.
'Fous ces traités de paix furent signés séparément lundi passé, et le dernier traité ne fut signé qu'à deux heures après minuit. On donne quatre semaines de temps pour les ratifications et on laisse quinze jours à l'empereur après les ratifications pour faire sa paix particulière, après quoi, s'il ne veut point signer la paix, les conquêtes que la France pourrait faire sur les pays qui lui doivent rester ne lui seront point rendues.
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Journal d'un courtisan t.27 ; 1714, le testament du roi
Marquis De Dangeau
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Juillet 2011
- 9782849096512
"Madame, j'ai fait mon testament.
On m'a tourmenté pour le faire ; j'ai acheté du repos ; j'en connais bien l'impuissance et l'inutilité. Nous pouvons ce que nous voulons tant que nous sommes ; après nous, nous pouvons moins que les particuliers. Il n'y a qu'à voir ce qu'est devenu le testament du roi mon père aussitôt après sa mort, et celui de tant d'autres rois. Je le sais bien, malgré cela, on l'a voulu et l'on ne m'a donné ni paix, ni patience, ni repos qu'il ne fût fait.
Oh ! bien donc, Madame, il est fait ; il deviendra ce qu'il pourra, mais au moins on ne m'en tourmentera plus" Puis, adressant la parole à M. du Maine : "Vous l'avez voulu ; mais sachez que, quelque grands que je vous fasse et que vous soyez de mon vivant, vous n'êtes rien après moi, et c'est à vous après à faire valoir ce que je fais pour vous, si vous pouvez." Le testament du roi fut minuté par le chancelier Voisin.
Le roi, madame de Maintenon, M du Maine, le chancelier et le maréchal de Villeroy furent seuls dans ce secret. Addition de Saint-Simon au Journal de Dangeau, Mardi 28 août 1714.
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Journal d'un avocat de Paris t.11 ; 1753-1755 ; l'affaire des billets de confession
Edmond-Jean-François Barbier
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Mai 2011
- 9782849096291
Assemblée extraordinaire des Chambres du Parlement le 14 janvier, à dix heures et demie, au sujet d'un nouveau refus de sacrements dans la paroisse de Sainte-Marguerite, faubourg Saint-Antoine.
Milady I;douard, anglaise, femme d'une grande piété, étant malade, a envoyé chercher les sacrements ; le porte-Dieu a demandé s'il y avait un billet de confession, et, sur la réponse négative, les a refusés. Ce porte-Dieu est, dit-on, un Irlandais. On a fait une sommation ; le curé de Sainte-Marguerite s'y est transporté. Le samedi 11, seconde sommation ; il y a été encore le dimanche ; il a demandé trois choses à la malade : 1° si elle avait été confessée : elle a répondu que oui ; 2° le nom de son confesseur : elle a répondu qu'elle n'était point obligée de le dire ; 3° si elle avait été confessée par un prêtre approuvé : elle a répondu qu'elle s'était toujours conduite suivant la discipline de l'Iiglise, qu'elle avait rempli ses devoirs de bonne catholique et qu'elle était en état d'être administrée ; point de réponse positive.
Le curé, sur ses réponses, a jugé à propos de lui dire qu'il ne l'administrerait pas.
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Articles et discours ; 1868
Léon Gambetta
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Février 2012
- 9782849097229
"Ah ! vous vous extasiiez tout à l'heure, et paraissiez surpris de ce que le minimum des libertés que vous aviez restituées au pays n'eût pas fait éclater de toute part, et jusque dans le coeur de vos adversaires, un concert unanime de louanges ! Mais depuis quand un pouvoir a-t-il droit à l'unanimité des sentiments de ceux qu'il gouverne ? Est-ce que nous n'avons pas le droit de manifester nos sentiments et nos ressentiments si longtemps comprimés ? Oui, je crois que j'ai le droit, que c'est le droit inviolable de chaque citoyen de manifester ses ressentiments, et si je ne commets pas un acte prévu et puni par la loi répressive, vous ne pouvez pas rechercher si c'est l'expression de la colère, de la haine et de l'hostilité.
Apportez un fait."
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Histoire de la chute de l'empire t.1 ; le ministère Ollivier
Jules Pointu
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Février 2012
- 9782849097236
"Véritable auteur du coup d'Etat de décembre, le duc de Morny n'avait pas peu contribué à donner l'essor aux spéculations effrénées, dont il était, à l'étalage de luxe qui donnait aux affaires une prospérité factice et éphémère.
Comprenant qu'une nation ne vit point toujours sans liberté et qu'elle a parfois de terribles réveils, il avait conseillé les concessions du 24 novembre 1860 ; il travaillait à former le parti dynastique libéral, dont à cette époque déjà M. E. 011ivier était un des apôtres. A partir de sa mort (10 mars 1865) tout alla à la dérive. Esprit inquiet, caractère irrésolu, subissant plus qu'on ne l'a cru l'influence de son entourage, Napoléon III, incapacité méconnue, comme on l'a spirituellement qualifié, ne commit plus que des fautes."
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Histoire de la chute de l'empire t.2 ; le ministère Palikao
Jules Pointu
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Février 2012
- 9782849097243
"Le 10 août, le Journal officiel donnait la composition du nouveau ministère.
C'était un cabinet de nature à satisfaire pleinement les ultra-bonapartistes. L'opinion publique, un instant étonnée, attacha peu d'importance aux choix qu'elle considérait comme secondaires. Pour elle, le cabinet se résumait dans la personne du général de Palikao, devenu soudain populaire, malgré ses antécédents. On ne vit plus en lui que l'organisateur énergique et habile de la défense nationale. Lorsque le ministère du 10 août prit en main les affaires, la situation était compromise, mais non perdue."
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L'empire libéral t.1 ; l'Europe des nationalités (1814-1830)
Emile Ollivier
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Février 2012
- 9782849097212
"En 1815, il y eut en réalité deux vaincus : la France et les peuples qu'elle avait affranchis des servitudes féodales ou théocratiques.
La France fut mutilée ; on lui enleva ses frontières naturelles du côté des Alpes et du Rhin ; on l'enferma dans une prison géographique gardée de tous les côtés par des sbires dont on était sûr, le roi de Piémont, la Prusse, la Confédération germanique ; on créa expressément contre elle un Etat nouveau, tête de pont de la coalition, dans lequel deux millions de Hollandais furent placés sur la tête de quatre millions de Belges.
Les peuples n'avaient pas été mieux traités. Ils furent muselés, trahis, remis sous le joug despotique dont nous les avions à peine émancipés et, sauf en Pologne, on ne tint aucun compte des promesses de liberté qu'on leur avait prodiguées pour les soulever contre leurs véritables libérateurs. La plainte universelle recueillie par Joseph de Maistre se traduisait en accents pathétiques dans ses lettres : "Jamais les nations n'ont été plus méprisées, foulées aux pieds d'une manière plus irritante pour elles.
C'est une semence éternelle de guerres et de haines tant qu'il y aura une conscience parmi les hommes."
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La bataille de la Marne ; mémoires t.1 ; juillet-septembre 1914
Maréchal Foch
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 15 Février 2012
- 9782849097250
"L'Allemagne de 1914, lancée dans la Weltpolitik, n'eût jamais déclaré la guerre si elle avait posément compris son intérêt.
Elle pouvait, sans faire appel aux armes, poursuivre dans le monde son développement économique. Qui eût osé se mettre en travers ? Formidable déjà, et soutenu d'ailleurs par une active propagande comme aussi par une puissance militaire reconnue sur terre et sur mer, qui garantissait à ses voyageurs de commerce comme à ses ingénieurs en quête de concessions à l'étranger un accueil des plus avantageux et par là une capacité de pénétration et d'acquisition incomparable, le développement allemand dans une marche constante distançait grandement celui des autres nations.
Sans faire de guerre nouvelle, l'Allemagne conquérait progressivement le monde. Mais le gouvernement de Berlin, grisé par sa puissance et emporté par un parti pangermaniste aveugle, pleinement confiant d'ailleurs en son armée supérieure à toute autre, ne craignait pas de recourir aux armes et d'ouvrir une ère de lourdes hécatombes et de redoutables aventures pour hâter cette domination du monde qui lui était réservée, à son sens."
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L'embarquement pour Minorque ; journal d'un avocat de Paris t.13 ; mars 1756-février 1757
Edmond-Jean-François Barbier
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 5 Mars 2012
- 9782849097281
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Le siège de Paris, 1870-1871 ; une page d'histoire contemporaine
Général Trochu
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 5 Mars 2012
- 9782849097304
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Histoire de la révolution du 4 septembre 1870 et de l'insurrection du 18 mars 1871
Adolphe Thiers
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 5 Mars 2012
- 9782849097311
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Journal d'un avocat de Paris t.12 ; (1755-1756) ; la cour souveraine
Edmond-Jean-François Barbier
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 29 Août 2011
- 9782849096642
"Arrêté.
- La Cour en délibérant au sujet de l'imprimé intitulé arrêt du Grand-Conseil, attendu l'indécence et la continuité des entreprises des gens du Grand-Conseil pour soulever les tribunaux, troubler ou renverser la police essentielle du royaume, comme aussi attendu les attentats multipliés que ledit acte publié par les gens du Grand-Conseil contient contre les lois fondamentales de la monarchie et l'autorité du Roi, souveraine en sa Cour des Pairs, a arrêté que, pour aviser au parti qu'il convient de prendre, les princes et pairs seront avertis à la levée de la Cour, à la manière accoutumée, de venir prendre leurs places en la Cour, toutes les Chambres assemblées demain, mercredi 18, dix heures du matin." Cette affaire devient sérieuse de plus en plus ; cet arrêté peut avoir des suites ; il y a une phrase qui est forte, l'autorité du Roi, souveraine en sa Cour des Pairs, d'où il s'ensuivrait que son pouvoir n'est souverain que dans cette assemblée du Parlement...
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Histoire de la IIIe République. t.1, le siège de paris (4 septembre 1870 - 28 janvier 1871)
Edgar Zevort
- Paleo
- Sources De L'histoire De France
- 5 Mars 2012
- 9782849097328