Derrière le message religieux, Frédéric Lenoir appelle à redécouvrir le message fondamental du Christ : une philosophie universelle, porteuse de valeurs éthiques révolutionnaires.
Pourquoi la démocratie et les droits de l'homme sont-ils nés en Occident plutôt qu'en Inde, en Chine, ou dans l'empire ottoman ? Parce que l'Occident était chrétien et que le christianisme n'est pas seulement une religion. Certes, le message des Evangiles s'enracine dans la foi en Dieu, mais le Christ enseigne aussi une éthique à portée universelle : égale dignité de tous, justice et partage, non-violence, émancipation de l'individu à l'égard du groupe et de la femme à l'égard de l'homme, liberté de choix, séparation du politique et du religieux, fraternité humaine. Quand, au IVe siècle, le christianisme devient religion officielle de l'Empire romain, la sagesse du Christ est en grande partie obscurcie par l'institution ecclésiale. Elle renaît mille ans plus tard, lorsque les penseurs de la Renaissance et des Lumières s'appuient sur " la philosophie du Christ ", selon l'expression d'Erasme, pour émanciper les sociétés européennes de l'emprise des pouvoirs religieux et fonder l'humanisme moderne. Frédéric Lenoir raconte ici le destin paradoxal du christianisme - du témoignage des apôtres à la naissance du monde moderne en passant par l'Inquisition - et nous fait relire les Evangiles d'un oeil radicalement neuf.
50 ans après Les Héritiers : les étudiants et la culture de Pierre Bourdieu, François-Xavier Bellamy fait le constat alarmant d'une rupture des générations, l'une se refusant de transmettre son savoir, son héritage, à l'autre, et compromettant ainsi les fondements et l'avenir de notre société. 50 ans après Les Héritiers : les étudiants et la culture de Pierre Bourdieu, François-Xavier Bellamy fait le constat alarmant d'une rupture des générations, l'une se refusant de transmettre son savoir, son héritage, à l'autre, et compromettant ainsi les fondements et l'avenir de notre société. Cinquante ans après
Les Héritiers : les étudiants et la culture de Pierre Bourdieu, paru en 1964, François-Xavier Bellamy dresse le constat suivant : nous voulons toujours éduquer mais nous ne voulons plus transmettre. Cette crise de la culture n'est pas le résultat d'un problème de moyens, de financement ou de gestion. Il s'est produit, dans nos sociétés occidentales, un phénomène unique, une rupture inédite : une génération s'est refusée à transmettre à la suivante ce qu'elle avait à lui donner, l'ensemble du savoir, des repères, de l'expérience humaine qui constituait son héritage. Dans cet ouvrage, l'auteur pose la question : comment reconstruire le dialogue des générations ? Et trace des pistes pour ne pas laisser dans le dénuement une génération qui crie qu'elle ne veut pas mourir.
Le roman vrai d'un homme d'honneur, pris en otage entre deux cultures et deux fidélités.
En 1839, au coeur des montagnes du Caucase, les cavaliers musulmans de l'imam Shamil résistent à l'invasion des puissantes armées du tsar Nicolas Ier. Contraints de négocier avec les Russes, ils leur remettent le fils aîné de l'Imam, Djemmal-Eddin, garant de leur bonne foi durant les pourparlers de paix. Le petit garçon, à peine âgé de huit ans, sera obligatoirement rendu à son peuple, une fois les accords signés. Mais les Russes, au mépris des traditions, de la parole donnée et du code de l'honneur, l'enlèvent et l'expédient de force à Saint-Pétersbourg. L'enfant y connaît une vie d'angoisses, de déchirures, de doutes et de découvertes. Le Tsar, touché par sa dignité, le fait instruire à la cour avec ses propres fils. Djemmal-Eddin devient un lettré, peintre, musicien, excellent officier. Cependant il ne renie pas ses origines et reste fidèle à l'Islam. Jusqu'au jour où il tombe amoureux... Construit comme un roman d'aventure, mais fondé sur une impeccable documentation, Tout l'honneur des hommes est le récit d'une histoire vraie qui met en scène des personnages d'une immense envergure. De la résistance tchétchène... aux ors du Palais d'Hiver. Des appels du Muezzin... aux valses de Glinka. Des farouches cavaliers du Caucase... aux charmes des princesses russes.
Après son best-seller Voyages en absurdie, Stéphane De Groodt, véritable phénomène du moment, revient avec la suite de ses chroniques. D'improbables rencontres avec Beethoven, Steve Jobs, Marilyn Monroe, le Mime Marceau, Serge Gainsbourg, Claude François...
Retour en absurdie avec Stéphane De Groodt dont voici quelques perles :
- Même s'il n'a pas l'ouïe de finesse, Beethoven est devenu la coqueluche du tout-Vienne après avoir dit " Tchao tympans "...
- Mime de rien, Marcel Marceau a beaucoup fait parler de lui...
- Oussama me dit qu'il s'est probablement laissé électriser par un Coran alternatif...
- Serge me demande des nouvelles de Vanessa car tout ce qui touche à Paradis l'atteint...
- Yoko Ono refusait que j'aille au chevet du leadercool dont elle fut la muse. Et quand la muse gueule, on la ramène pas...
- J'ai rencontré Marilyn, la Vénus de Miller...
- Grâce à l'amour de ses fans, Claude François demeure un chanteur mâle heureux...
- J'ai rencontré Charlot afin qu'il me parle de cette époque où le cinéma muait...
- Vu le bruit ambiant, je propose à Yves Saint Laurent de discuter à l'extérieur car le silence est Dior...
Après son best-seller, Scènes de la vie quotidienne à l'Elysée, Camille Pascal reprend la plume pour se désennuyer d'une société où les bien-pensants triomphent et pour rendre un hommage ému et amusé à la France qu'il aime et qui tend à disparaître.Après son best-seller, Scènes de la vie quotidienne à l'Elysée, Camille Pascal reprend la plume pour se désennuyer d'une société où les bien-pensants triomphent et pour rendre un hommage ému et amusé à la France qu'il aime et qui tend à disparaître. " Après m'être essayé à emboîter le pas de ces mémorialistes dont j'ai toujours fait mes délices, pouvais-je prétendre succéder aux auteurs qui ont élevé la chronique mondaine au rang de chef-d'oeuvre absolu ? Evidemment, non. De surenchère littéraire il ne pouvait donc pas être question, sauf à sombrer dans le pastiche sans talent. Il n'était pas davantage envisageable de maquiller ce livre en grave ouvrage d'histoire ou de sociologie, ils abondent, et je n'inscris pas le Collège de France au programme de mes ambitions. J'ai repris la plume pour me désennuyer d'une société où les bien-pensants et l'égalitarisme triomphent, il aurait été un comble que j'ennuie mes lecteurs par de savantes démonstrations.
Si j'ai entrepris la rédaction de ce livre c'est pour le plaisir d'écrire et de sacrifi er tout à la fois à mon goût du récit et à ma passion de l'anecdote, mais c'est aussi pour rendre un hommage ému et parfois amusé aux derniers proustiens, à cette France que j'aime, qui ne veut pas mourir et qui est parvenue, mais pour combien de temps encore, à suspendre la marche du temps perdu. " Camille Pascal
Quand survient la mort du père, est-ce le temps de la fin des secrets et du pardon ? Ou bien celui de la culpabilité ?A la mort de son père, Vincent quitte l'Inde où il vit depuis quinze ans pour revenir à Paris. Telle une bombe à retardement, cette disparition fait resurgir du passé des traumatismes enfouis.
Ce retour sera-t-il le déclencheur pour que se brisent enfin les tabous, que soient dévoilés les secrets et les non-dits familiaux ?
Un roman sur la culpabilité, le pardon et le pouvoir de destruction du silence.
Et si le plus grand des pharaons ressuscitait dans l'Angleterre de 1914 ? Voilà la fantastique histoire que nous propose Anne Rice ! L'absorption d'un élixir l'ayant rendu immortel, Ramsès - rebaptisé Docteur Ramsey pour plus de discrétion - découvre le monde moderne. Mais le souvenir de la belle Cléopâtre le hante. Revenue à la vie à son tour, celle-ci va se révéler bien plus dangereuse que ne le dit la légende...
Pour la première fois, Marlène Jobert remonte le fil de ses souvenirs et nous fait partager les moments forts de sa vie et de sa carrière.Pour la première fois, Marlène Jobert remonte le fil de ses souvenirs et nous fait partager les moments forts de sa vie et de sa carrière. " Le besoin de raconter ma vie est né le jour où j'ai réalisé que mes filles savaient très peu de choses sur ma carrière d'actrice, sur ces vingt années intenses dont j'avais refermé la parenthèse à leur arrivée dans ma vie. De mon enfance aussi elles ignoraient presque tout. C'est cette carence, ces blancs dans nos racines qui m'ont convaincue dans un premier temps de faire ce travail de mémoire pour mes filles.
Puis en avançant dans l'écriture, j'ai pensé assez vite à tous ceux qui m'ont suivie avec une fidélité touchante dans chacune de mes deux carrières, celle d'actrice puis celle d'auteure pour la jeunesse... Et que j'ai accompagné sans m'en rendre vraiment compte de l'enfance jusqu'à la maturité. Ne méritaient-ils pas eux aussi d'en savoir un peu plus, s'ils en avaient envie ?
En voulant réveiller tous ces clapotis du passé, je fus incroyablement surprise : des flots de confidences se sont naturellement libérés, comme s'ils avaient été retenus trop longtemps par des vannes. Le fil de la pelote de ma vie s'est dévidé tout seul... Une pure magie... Ce qui m'a permis au hasard d'un goût ou d'un parfum de faire surgir le passé dans le présent... Comme toutes les vies, la mienne est un mélange de plaisirs et de douleurs. Il y aura donc ici des lumières d'hier qu'il ne me sera pas toujours agréable de rallumer... mais il y aura aussi tous ces moments heureux et ces rencontres exceptionnelles qui ont su éclairer ma route et dont je savoure aujourd'hui la joie de les partager avec vous.
J'ai choisi dans mes souvenirs ceux relatifs à ces êtres ou à des évènements que je crois avoir contribué à faire de moi ce que je suis. " Marlène Jobert
Depuis 50 ans, Alain Duhamel est le témoin privilégié de la vie politique française. Après le succès de ses Portraits-Souvenirs, il nous livre ici les scènes politiques les plus frappantes, les plus significatives, les plus pittoresques, parfois les plus cocasses et quelquefois les plus sombres auxquelles il a assisté. Une lecture inédite des temps forts de la Ve République.Depuis 50 ans, Alain Duhamel est le témoin privilégié de la vie politique française. Après le succès de ses Portraits-Souvenirs, il nous livre ici les scènes politiques les plus frappantes, les plus significatives, les plus pittoresques, parfois les plus cocasses et quelquefois les plus sombres auxquelles il a assisté. Une lecture inédite des temps forts de la Ve République. " A partir de 1965, j'eus très vite l'occasion d'assister à nombre de scènes politiques mémorables, publiques ou privées. La presse écrite, les livres, puis la télévision et enfin la radio m'ont permis de le faire sans désemparer depuis un demi-siècle, en assez bonne place pour avoir une vue directe sur les évènements et les hommes qui y contribuent. Sous les sept Présidents successifs de la Ve République j'ai ainsi, comme toute ma génération, vu défiler sous mes yeux Mai 1968, le départ fracassant du Général, les héritiers puis les alternances, l'Europe s'édifiant puis chancelant, les victoires de la gauche et le retour du libéralisme, les grands conflits sociaux, les fortes querelles sociétales, l'effondrement du communisme, la crise du capitalisme, trois vagues successives de dirigeants de la majorité comme de l'opposition.
Des centaines de scènes politiques, parmi lesquelles j'ai trié celles qui me semblaient les plus frappantes, les plus significatives, les plus pittoresques, parfois les plus cocasses, quelquefois les plus sombres. Comme toute sélection, celle-ci comporte une part assumée de subjectivité et une part nécessaire de hasard, selon que j'avais, ce jour-ci ou ce jour-là une vue plus ou moins plongeante sur les personnages de notre histoire. Ma mémoire n'est pas non plus impartiale, personne ne peut revendiquer d'être objectif. J'espère qu'elle est honnête et sans détour. Vider le sac de ses souvenirs est peut-être l'exercice d'écriture le plus plaisant pour un auteur, mais le seul bon juge en reste le lecteur. " Alain Duhamel
Dans ce livre atypique et intime, l'abbé Pierre n'esquive aucune des questions religieuses qui le hantent. Sa vraie profession de foi.
Sur le ton de la confidence, avec une totale liberté d'esprit, l'abbé Pierre livre ici, comme il ne l'avait jamais fait auparavant, ses interrogations, ses convictions, et ses indignations sur la foi chrétienne et sur le sens de la vie humaine.
Dominique Besnehard fêtera ses 60 ans début février 2014. A cette occasion, il nous livre l'histoire d'amour qu'il vit depuis toujours avec ces êtres étranges et fascinants du monde du spectacle. Entre confidences et anecdotes, ombres et lumières.
C'est au casino d'Houlgate, en Normandie, dans les années 60, que tout a commencé. C'est là que Dominique Besnehard a découvert le cinéma et les actrices. C'est là qu'il est tombé fou d'amour, et pour toujours, pour Sylvie Vartan dont il est devenu plus tard l'ami et l'agent. C'est lui qui a découvert quelques belles inconnues nommées Juliette Binoche ou Béatrice Dalle, et défendu les intérêts de nombreuses stars : Jeanne Moreau, Isabelle Adjani, Charlotte Gainsbourg, Sophie Marceau, Nathalie Baye ou Christophe Lambert. C'est lui encore, par son improbable " incursion en politique ", qui fut le soutien inconditionnel de Ségolène Royal. Une affaire douloureuse dont il parle avec une grande franchise et beaucoup d'émotion. Personnage haut en couleurs, homme de coeur, de passion et de fidélité, il a accepté de se confier sans langue de bois, sans rien cacher de ses interrogations les plus intimes, avec enthousiasme, sincérité et lucidité. À la fois dans les coulisses et sur le devant de la scène, voici le récit du parcours atypique d'un boulimique qui vit, depuis toujours, avec ces êtres étranges et fascinants qui hantent le monde du spectacle, et notre imaginaire.
" La crise que nous traversons n'est pas comparable à celle des années trente, nous répète-t-on à l'envi ? C'est vrai : elle est bien plus grave. C'est pourquoi j'ai voulu écrire ce livre de colère... et d'espoir. "Bienvenue à Normaland, le pays de la normalité. Ici, tout est " normal ". Ici, personne ne sort du cadre. Ici, nous veillons à ne pas décider pour ne pas déranger. Surtout ne rien faire de peur de mal faire. Attendre. Juste attendre. Par temps calme, cette normalité ne mène nulle part mais ne prête guère à conséquence. Dans les temps agités que nous vivons, elle mène tout simplement dans le mur. Ce qui est en cause aujourd'hui, c'est l'existence même de la démocratie. L'incapacité à faire face à la crise et à lutter contre le chômage, la croissance explosive des inégalités, la faiblesse des dirigeants, leur manque de souffle, de vision, d'ambition, l'absence de grand dessein collectif, tout ceci fait peser un risque sans précédent sur la démocratie. La politique exige de l'audace et du courage. De la créativité et de la vision. À temps de crise exceptionnelle, renouons avec l'exceptionnel. Vive l'anormalité !
Les mémoires d'une jeune fille bien élevée, portant particule, fauchée et débrouillarde, qui devint Nicole de Buron.
Un grand-père royaliste et... banquier ; une grand-mère qui éduque sa petite fille suivant des principes d'avant la Révolution française ; une mère névrosée qui aime les hommes et très peu sa fille ; un père officier de cavalerie plus que lointain. Voilà la famille de Mademoiselle de Buron, jeune fille bien élevée, portant particule, une qualité fort utile pour trouver des petits boulots (assure-t-elle). Successivement prof au pair dans une pension du Yorkshire ; nounou de deux fillettes dont l'aînée essaie de jeter sa cadette par la fenêtre ; retenue comme secrétaire par la Banque Royale d'Angleterre mais à qui l'administration britannique refuse son permis de travail, elle devient enfin assistante dans un journal féminin parisien où elle doit pointer... à 6 h 30 du matin ! Tels furent les débuts de la vie professionnelle de cette jeune personne. Son enfance évoque Les Malheurs de Sophie ; son adolescence ressemble à du Zola. Mais l'humour sauve tout et Nicole de Buron n'en manque jamais. Et elle suit obstinément cette ligne de conduite
Le trio mari-épouse-maîtresse revu et corrigé par Françoise Dorin : quand la femme et la maîtresse réalisent un équilibre plus solide qu'il n'y paraît.Le trio mari-épouse-maîtresse revu et corrigé par Françoise Dorin : quand la femme et la maîtresse réalisent un équilibre plus solide qu'il n'y paraît.
Gilles, Paule, Victoria, le mari, la femme et la maîtresse... Oui ! L'immuable trio, mais revu et corrigé par l'humour de Françoise Dorin. Maintenant le ménage à trois n'est plus ce qu'il était : hier, l'Epoux infidèle s'efforçait de tromper sa femme dans la plus stricte clandestinité. L'Epouse pouvait sans difficulté sauver la face et sa position sociale. La Maîtresse devait se résigner ou partir. Aujourd'hui, les relations ont changé et les Epouses gardent leur emploi bien rémunéré de "gérantes du quotidien", heureuses d'être relayées par des "suppléantes" avisées qui préfèrent leur situation d'intermittentes au ministère des Loisirs à deux. Alors... De Paule, la "gérante de vie", ou de Victoria, la "suppléante", qui va gagner ? Et d'abord, y aura-t-il une gagnante ? ou, après tout... un gagnant ?
Chirac, Hollande : deux ambitions, un même terroir. Avec des anecdotes savoureuses et des confidences inédites, Denis Tillinac restitue le parcours corrézien de ces deux Présidents qu'il a bien connus et observés et met en évidence leurs similitudes plus profondes qu'on le croit.Chirac, Hollande : deux ambitions, deux générations, un même terroir. Deux élus au long cours d'un département rural et excentré du Massif central, voisin des anciens fiefs de Pompidou et de Giscard, où poussent au naturel les ministres et les cèpes. Deux rivaux qui se sont longtemps et violemment combattus avant de se rapprocher, de sympathiser, jusqu'à la fameuse phrase de Chirac : " Je voterai pour toi. "
Avec des anecdotes savoureuses et certaines confidences inédites, Denis Tillinac restitue le parcours corrézien de ces deux Présidents qu'il a bien connus et observés en romancier. Son livre est une traversée buissonnière de près d'un demi-siècle de vie politique, dans le sillage des deux patrons successifs de son département. Il a repéré des similitudes profondes et découvert dans une bourgade le berceau de la " chiracollandie ". Existerait-il un art corrézien d'accommoder la politique ?
Un récit vivant et chaleureux, dans une certaine nostalgie de l'ère Chirac et dans l'expectative quant à la vraie nature de Hollande.
Découvrez la célébrissime fresque de Maurice Druon, considérée comme un modèle du roman historique, dans cet extrait numérique offert à l'occasion des fêtes de fin d'année par les éditions Plon ! Au début du XIVe siècle s'ouvre, contre les Templiers, le plus vaste procès dont l'Histoire ait gardé le souvenir. Jacques de Molay, le grand maître de l'Ordre, meurt sur le bûcher en lançant sa terrible malédiction contre le roi de France, le pape et les grands du royaume: Maudits, tous maudits jusqu'à la treizième génération de vos races ! Dès lors, le malheur s'abat sur la France. Les quatre derniers Capétiens directs meurent en moins de quinze années: adultères, meurtres, procès, trahisons ébranlent la dynastie, et mènent à la guerre de Cent Ans. Cette extraordinaire saga a conquis des générations de lecteurs à travers le monde et a donné naissance à de formidables créations audiovisuelles.La célébrissime fresque de Maurice Druon, considérée comme un modèle du roman historique, enfin disponible en numérique !
Le deuxième volume du livre événement de Philippe de Gaulle et Michel Tauriac, dans lequel pour la première fois, l'amiral de Gaulle parle de son père. Le deuxième volume du livre événement de Philippe de Gaulle et Michel Tauriac, dans lequel pour la première fois, l'amiral de Gaulle parle de son père.
Quel portrait plus fidèle que celui qu'un fils peut faire de son père, surtout lorsqu'il a été le moissonneur de ses pensées et le spectateur attentif du moindre de ses gestes ? Et quelle curiosité suscitée quand l'envergure du personnage exploré avec tant de minutie atteint celle des "monuments" de l'histoire du monde ! Voici donc la suite des entretiens que Philippe de Gaulle a accordés à Michel Tauriac. Au moment où s'ouvre ce second tome, le Général vient d'entrer à l'Elysée, et bientôt, à Alger, va éclater la tragédie. Dix années vont se succéder, magnifiques ou terribles, à travers lesquelles nous suivrons Charles de Gaulle pas à pas et au plus près. Rien ne nous échappera jamais. Nous vivons avec lui en famille, l'entendons deviser avec ses proches, assistons au cheminement de ses idées, prenons part à ses réflexions intimes. Nous sommes à ses côtés quand les généraux se révoltent, quand on tire sur sa voiture au Petit-Clamart, quand il nomme Pompidou Premier ministre puis se fâche avec lui, quand éclate la chienlit, quand il atterrit à Baden-Baden, quand il perd le référendum et se retire dans son village. Et, loin des affabulations et des légendes trompeuses, s'éclaire la vérité dans toute sa rigueur. Mais cette biographie définitive veut également corriger les coups de ciseau qui ont ébréché la statue de l'homme de Gaulle par négligence ou malveillance. Dans la bouche du fils apparaît alors à nu, près d'une mère assez inattendue, un père insoupçonné avec les multiples secrets de son caractère. Apparaît aussi, jusqu'à ses derniers jours dont les mystères sont levés, l'amour exceptionnel d'une femme qui se serait fait tuer pour son mari.
Ecrivain et journaliste, Michel Tauriac est l'auteur de nombreux romans et documents. Fasciné par l'épopée gaullienne depuis sa prime jeunesse, il a réalisé de multiples documents sur ce sujet pour la presse écrite et audiovisuelle.
Un événement : Philippe de Gaulle parle en direct de son père, Charles de Gaulle. Un document exceptionnel.
S'il est un homme d'Etat qui a inspiré les biographes, c'est bien Charles de Gaulle. Mais qui peut mieux le connaître que son propre fils, ce témoin privilégié qui a vécu au plus près toutes les étapes de son épopée ? Qui peut mieux le décrire en famille, toutes portes de la maison refermées, entouré de ses enfants et petits-enfants, et veillé amoureusement par son épouse, l'écouter quand il parle et ne veut pas être entendu, traduire la moindre inflexion de sa voix et ses silences ? Qui peut atteindre son coeur jusque dans les moments les plus secrets, partager ses confidences sur tout, aussi bien sur sa vie privée que sur l'Histoire, sur ses bras de fer avec Churchill et Roosevelt, sur ses démêlés avec Pétain ou Giraud ? Sur la poésie et sur la forêt, comme sur l'échec de Dakar, ses relations avec les résistants et son face à face avec Staline ? Si Philippe de Gaulle a accepté pour la première fois de se livrer aussi profondément aux questions incisives de Michel Tauriac, ce n'est pas seulement pour répondre aux interrogations que l'on continue de se poser sur l'auteur de ses jours, c'est également pour détruire les affabulations et les interprétations abusives, remettre les pendules à l'heure, éclaircir les mystères qui planent encore sur différentes affaires - tels l'assassinat de Darlan et le coup de force du Général contre les Alliés pour libérer Paris, conserver Strasbourg et traverser le Rhin. Plus qu'un recueil d'entretiens, ce livre est un témoignage sans précédent qui se lit comme un roman. Ecrivain et journaliste, Michel Tauriac est l'auteur de nombreux romans et documents. Fasciné par l'épopée gaullienne depuis sa prime jeunesse, il a réalisé de multiples documents sur ce sujet pour la presse écrite et audiovisuelle.
Le premier roman historique de Stéphane Bern qui met en scène l'histoire extraordinaire de Marie Blanc surnommée "la grande dame de Monaco".
Au milieu du XIXe siècle, François Blanc possède et dirige le casino de Bad Homburg dans la Hesse. Veuf et immensément riche, il a plus de quarante ans quand il remarque une toute jeune fille qui vient de rejoindre comme lingère son nombreux personnel : Marie, fille d'un modeste cordonnier, est vive, intelligente, très jolie. Sans doute est-elle l'épouse qu'il lui faut, mais auparavant son éducation est à parfaire. François deviendra son Pygmalion.
En effet, il décide de l'envoyer étudier les bonnes manières à Paris, dans un couvent pour jeunes filles étrangères où elle passera trois ans. En 1852, il épouse Marie qui sera tout à la fois sa femme, sa collaboratrice, et l'atout charme de son incroyable réussite. Entre Bad Homburg et Paris, le couple mène une vie éblouissante jusqu'au jour où le prince Charles III Grimaldi fait appel à François Blanc. Commence alors en principauté de Monaco la formidable aventure de la Société des bains de mer, du casino, de l'hôtel de Paris, de l'Opéra... Ainsi est né le Monte-Carlo d'aujourd'hui. A la mort de François, Marie reprend en main l'empire du jeu et devient une redoutable femme d'affaires. Stéphane Bern nous raconte le destin exceptionnel, inspiré d'une histoire vraie, d'une jeune fille pauvre qui deviendra l'une des femmes les plus riches du monde.
Célèbre pour ses pastiches littéraires et ses parodies, Pascal Fioretto fait le pari, dans ce roman, de passer une saison entière sans rire. Rarement pari raté n'aura été aussi réussi.Célèbre pour ses pastiches littéraires et ses parodies, Pascal Fioretto fait le pari, dans ce roman, de passer une saison entière sans rire. Rarement pari raté n'aura été aussi réussi. " Longtemps, j'ai essayé d'être drôle. Je n'ai jamais nourri de plus haute ambition que celle de faire s'esclaffer, à tout prix, mes contemporains. Ces dernières années, j'avais atteint l'apogée de ma carrière en écrivant tous les jours pour l'humoriste préféré des Français. Et puis, j'ai compris que j'avais assez ri et assez fait rire. J'ai décidé de prendre les gens, la vie, la littérature très au sérieux. Je n'ai pas été déçu du voyage... "
Traductrice de romans érotiques, Léna voit l'univers des livres auxquels elle consacre ses journées envahir brutalement son quotidien.Léna et Thomas s'aimaient d'amour tendre...
Moralité : ils s'ennuient au logis. Léna attend désespérément une réponse pour le manuscrit auquel elle a consacré un an d'efforts. Elle trompe son inquiétude écrivant des frivolités, et en traduisant
Dangereux Louboutin, la série romanesque qui révolutionna l'érotisme outre-Atlantique, désormais prête à conquérir l'Europe des amateurs d'eau de rose corsée.
Thomas aspire à se réaliser dans l'architecture éphémère. En attendant, il travaille dans une agence dont chaque projet apporte une pierre à l'édifice de son ennui.
Et voici que la romance américaine fait irruption dans leur existence parisienne sous les traits d'un jeune étalon bodybuildé à intellect limité.
Léna succombera-t-elle ? Son amour pour Thomas résistera-t-il à la tentation de l'éphémère ? Bref, notre civilisation tout entière s'abandonnera-t-elle enfin à la tentation du Nunuche ?
La bêtise n'est ni de gauche ni de droite bien sûr, mais la bêtise de gauche est inégalable. Depuis mai 2012, le pouvoir lui donne des ailes. " Elle ose tout " comme disait Audiard.La bêtise n'est ni de gauche ni de droite bien sûr, mais la bêtise de gauche est inégalable. Depuis mai 2012, le pouvoir lui donne des ailes. " Elle ose tout " comme disait Audiard. Depuis qu'elle existe la gauche est persuadée d'incarner l'intelligence, la justice et la générosité. Elle veut changer le monde, ou à tout le moins la vie. Et comme elle n'y parvient pas, elle se contente de changer les mots.
Depuis mai 2012, la bêtise de gauche s'épanouit sur nos écrans, dans nos journaux.
Elle veut abolir la prostitution. Et pourquoi pas la douleur ou la méchanceté.
La bêtise de gauche s'affranchit des lois de la biologie. Un couple homosexuel souffre " d'infertilité sociale ".
La bêtise de gauche adore les victimes. Toutes les Léonarda de la terre. Le pauvre, le clandestin, le sans papier sont ses nouveaux héros qui ont remplacé l'ouvrier disparu ou parti au FN.
L'école est son champ d'expérimentation préféré. Le creuset de l'égalitarisme. Cette " nouvelle église " d'où sortira " l'homme nouveau " comme l'écrit Vincent Peillon. Il est urgent de niveler par le bas. Dépouiller les classes prépas pour faire semblant de voler au secours des ZEP. Pennac contre Balzac !
L'école doit aussi enseigner le nouveau catéchisme de la bien-pensance. " Comment appelle-t-on un homme sage-femme ? " demande Najat Vallaud Belkacem à des élèves de CM1/CM2 abasourdis. Réponse dans l'ABC de l'égalité.
La bêtise de gauche est vigilante. Elle démasque les riches dès 4 000 euros. Elle perce à jour les réactionnaires antirépublicains opposés au mariage homosexuel ou à la théorie du genre.
La bêtise de gauche roule parfois, masquée, à scooter.
La liste est infinie.
Les enfances de Frédérique Hébrard et Louis Velle sont marquées par leur rencontre avec un chat. Depuis, les félins ont scandé leurs vies. Un hommage à leurs compagnons porteur de souvenirs.
" Au commencement était le chat... Je suis toute petite, je vis à Nîmes avec Mémé qui se méfie des chats... Il y en a un, mystérieux, qui habite dans le grenier. Il est tout noir et me regarde d'un oeil jaune du haut d'un fenestron. " Ne le touche pas ! " a crié Mémé, et le chat a disparu, noir dans le noir. Il y a les chats du temple de Diane au bord de la Fontaine de Nemausus. " Ne les touche pas ! " Je comprends que ce sont des êtres sacrés, inaccessibles. Des dieux. Je rêve de poser la main sur leur fourrure de soie... Me le permettront-ils un jour ? " " Au commencement était le chat " : ceci est aussi vrai pour Louis Velle que pour moi. C'est toute notre vie que nous avons passée sous l'égide des chats : moments gais, tendres, tragiques, violents... Nous nous sommes tricotés avec Pikini, Bonheur, Chantier, Tybert, Yéyé, Crumble, Pélardon et tous les autres. Aussi avons-nous voulu raconter notre relation avec ces petits êtres mystérieux et revoir notre vie, celle de Louis, la mienne, celle de notre couple, celle de notre famille, enfants, petits-enfants, vies toujours accompagnées du chat. F. Hébrard
Un témoignage courageux, poignant, sans fioriture et sans pathos, qui révèle une Laurence Boccolini inattendue, plus clown triste que Méchante.
A dix ans, je voulais onze enfants. A quinze ans, je revoyais le tout à la baisse, et six enfants me semblaient représenter le chiffre du bonheur familial. A vingt ans, je penchais plutôt pour trois enfants (deux garçons et une fille), dans un idéal politiquement correct. Aujourd'hui, à quarante-quatre ans, un seul enfant comblerait le vide immense de mes bras. Mais cela tiendrait du miracle... Maintenant je sais. Je voulais juste raconter une petite histoire en forme de larme. Elle n'est pas triste. Elle me ressemble. Et même si les cigognes ont perdu mon adresse, vous ne m'en voudrez pas de continuer à guetter le bruit de leurs ailes... L. B.