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Riveneuve
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Raj Kapoor : Le maître de Bollywood : Anthologie amoureuse de Georgia Makhlouf
Jitka de Préval
- RIVENEUVE
- Cinema
- 5 Décembre 2024
- 9782360137237
La première biographie en français du grand maître du cinéma indien Raj Kapoor qui aurait eu 100 ans en 2024 . Très documenté, l'ouvrage explore la vie et l'oeuvre d'acteur, réalisateur, producteur et musicien d'un homme adulé en Inde, Chine, Russie et peu connu en France. Une découverte !
- La première biographie en français de Raj Kapoor, grand maître du cinéma indien et de Bollywood
- Un ouvrage pour marquer le centième anniversaire de sa naissance
- Un travail d'érudit d' une des meillleures spécialiistes du cinéma indien Jikta de Préval
- Une préface d'un éminent romancier et cinéaste indien vivant à Paris Vijay Singh (publié chez Ramsay, Flammarion, Le Seuil...)
- Un ouvrage avec des illustrations N&B et couleurs -
Le cinéma et la guerre de 14-18
Patrick Brion, François Cochet
- RIVENEUVE
- Cinema
- 15 Novembre 2013
- 9782360131952
Le cinéma s'est toujours intéressé à l'Histoire et notamment à la guerre de 1914-1918.
De Jean Renoir à Bertrand Tavernier, d'Ernst Lubitsch à John Ford, de Joseph Losey à Steven Spielberg,
Tout en suivant la destinée cinématographique des hommes en armes l'auteur explore aussi au fil de cet ouvrage très documenté et illustré, ce qui se passait à l'arrière.
Le cinéma s'est toujours intéressé à l'Histoire et notamment à la guerre de 1914-1918.
De Jean Renoir à Bertrand Tavernier, d'Ernst Lubitsch à John Ford, de Joseph Losey à Steven Spielberg,
Les uns ont choisi de décrire le choc des batailles, la guerre aérienne, la guerre sous-marine ou le rôle déroutant des espionnes. D'autres ont préféré dénoncer la férocité des combats, le cas traumatisant des blessés ou celui des " fusillés pour l'honneur ".
Tout en suivant la destinée cinématographique des hommes en armes, l'auteur explore aussi au fil de cet ouvrage très documenté et illustré, ce qui se passait à l'arrière. Dans cet univers d'hommes, les femmes jouaient un rôle crucial et le cinéma sur la Grande Guerre rend justice ou hommage et aux unes et aux autres. -
Le cinéma d'Abdellatif Kechiche ; prémisses et devenir
Emna Mrabet
- RIVENEUVE
- Theories Et Pratiques Du Cinema
- 24 Novembre 2016
- 9782360134298
Une analyse théorique, pratique et esthétique sur la filmographie du cinéaste Abdellatif Kechiche initie le lecteur dans une reflexion sur l'avènement d'une cinématographie franco- maghrébine.
L'ouvrage interroge le cinéma français sur sa capacité à recomposer la réalité dans sa dimension actuelle et polymorphe.
Quels procédés esthétiques et cinématographiques dans l'oeuvre d'Abdellatif Kechiche ? Et quel contexte particulier que celui de l'évolution de la représentation cinématographique de la population d'origine maghrébine en France ? Une analyse esthétique d'un corpus de films choisis permet d'observer les prémisses de cette oeuvre en devenir et d'appréhender la spécificité d'un mouvement qui débute dans les années soixante-dix et s'affirme au milieu des années quatre-vingt avec la sortie du film Le Thé au harem d'Archimède de Mehdi Charef. Il s'agit par là même d'interroger l'appellation " cinéma beur " employée pour désigner les cinéastes franco-maghrébins qui émergent dans le sillage de Mehdi Charef.
Cette mise en contexte permet ainsi d'observer de quelle manière le cinéma d'Abdellatif Kechiche se situe à la fois en continuité et en rupture avec ce courant. Une analyse approfondie des cinq films constituant à ce jour la filmographie du cinéaste - La faute Voltaire, 2001 ; L'esquive, 2004 ; La graine et le mulet, 2007 ; Vénus noire, 2010 ; La vie d'Adèle chapitres 1&2, 2013- permet de mettre en lumière les mécanismes artistiques à l'oeuvre dans ses films et d'initier une réflexion sur la singularité de son écriture, ainsi que sur l'avènement d'une cinématographie qui interroge le cinéma français sur sa capacité à recomposer la réalité dans sa dimension actuelle et polymorphe. -
Le train fait son cinéma Tome 2
Georges Di lallo, Patrick Brion
- RIVENEUVE
- Cinema
- 19 Novembre 2015
- 9782360133529
Après un premier volume du "Train fait son cinéma", les auteurs, Patrick Brion et Georges Di Lallo, se sont remis à l'ouvrage, élargissant leur propos à près de 130 films. Ce deuxième tome est ainsi l'occasion de revenir sur des grands films français, américains et d'autres nationalités comme le cinéma russe ou égyptien, où le " cheval de fer " occupe tout l'écran et fait la concurrence aux premiers rôles.
Le cinéma a ses aficionados, le train ses tifosi et quand on croise ces deux populations de passionnés, on obtient des amateurs qui ont accueilli avec enthousiasme une première sélection d'une centaine de films, depuis " L'Arrivée d'un train en gare de la Ciotat " des frères Lumière (1896), dans un premier volume : "Le train fait son cinéma". Mais toute sélection - fût elle savante ou gourmande - toujours réductrice, tant le train est une star de cinéma non seulement en France et aux Etats-Unis mais finalement sur tous les continents.
Les auteurs, Patrick Brion et Georges Di Lallo, se sont remis à l'ouvrage, élargissant leur propos à près de 130 films. Ce deuxième tome est ainsi l'occasion de revenir sur des grands films français, américains et d'autres nationalités comme le cinéma russe ou égyptien, où le " cheval de fer " occupe tout l'écran et fait la concurrence aux premiers rôles. -
Vecteur de conquête, de bâtiment de guerre, moyen de découverte, espace d'apprentissage, terrain d'aventure, le bateau est un lieu de vie où les destins humains se nouent et se dénouent. Dans le monde fascinant de la Royale et du Grand bleu, ce livre s'ingénie à croiser deux inventions technologiques majeures : le bâteau et le cinéma.
" E la nave va " (Et vogue le navire...), de Frederico Fellini, emmenait en croisière à la veille de la Première Guerre mondiale, à l'occasion des funérailles d'une cantatrice célèbre, toute une faune un peu décadente, des naufragés serbes et... un rhinocéros. Le paquebot, comme la vieille Europe, glissait sur une mer d'huile mais lourde de menaces, comme le calme avant la tempête. Le réalisateur italien n'est certes pas le seul a avoir lancé ses caméras à l'assaut du monde de la mer, des marins et des mariniers, des croisières et des frégates. " Titanic " de James Cameron, " Les révoltés du Bounty " ou " Les dents de la mer " et auparavant les adaptations des grands romans populaires comme Moby Dick ou Vingt mille lieues sous les mers, hantent nos imaginaires. Le bâteau y est vecteur de conquête, bâtiment de guerre, moyen de découverte, espace d'apprentissage, terrain d'aventure, lieu de vie où les destins humains se nouent et se dénouent.
Les auteurs, Patrick Brion et Georges Di Lallo s'ingénient à croiser deux inventions technologiques majeures : le bâteau et le cinéma. Après avoir exploré, dans deux volumes précédents, des centaines de films qui mettaient en scène le train, les voici qui se plongent avec la même méthode dans le monde fascinant de la Royale et du Grand bleu. -
C'est avec le rôle que lui offre George Roy Hill dans Butch Kassidy et le Kid (1969) que Robert Redford devient mondialement connu. A travers un ouvrage très richement illustré et documenté sur Robert Redford acteur, l'auteur fait également la part belle à la passion pour la mise en scène et la réalisation qu'a toujours nourrie Robert Redford .
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Le train fait son cinéma
Georges Di lallo, Patrick Brion
- RIVENEUVE
- Cinema
- 12 Décembre 2012
- 9782360131143
Le train, star du cinéma ? C'est bien là le rôle que lui octroient Patrick Brion et Georges Di Lallo au fil de cet ouvrage richement illustré, en retraçant l'histoire de sa représentation et de sa mise en scène par le "septième art".
1896, projection de l' " Arrivée d'un train en gare de La Ciotat ". Un vent de panique souffle dans la salle de cinéma : les spectateurs effrayés et impuissants, croient voir un train lancé à pleine vitesse fondre directement sur eux ! Fait historique ou légende ? Peu importe finalement, puisque l'anecdote rend surtout compte de la force d'évocation du train dans sa transposition cinématographique.
Alors, le train, star du cinéma ? Sa filmographie plaide pour lui : " La Bête humaine ", " Le Crime de l'Orient Express ", " Le train sifflera trois fois ", etc, autant de chefs-d'oeuvre dans lesquels le train tient le premier rôle.
Deux passionnés de cinéma, Georges Di Lallo et Patrick Brion, ont entrepris de dresser un panorama sous forme d'hommage au train tel qu'il est représenté à travers l'histoire du cinéma. Une investigation richement illustrée (photographies extraites de films, affiches d'époque, etc), qui explore la mise en scène filmique du western par exemple, de la littérature, ou plus particulièrement du polar, toujours en prenant comme angle d'analyse la présence du train. On croisera au fil de cet ouvrage très documenté de grands noms comme ceux de Hitchcock, David Lean, Sergio Leone. Autant de maîtres qui ont su faire du train au cinéma un personnage de premier plan, comme en témoignent aujourd'hui de nombreux festivals dévolus à ce thème prolifique (le festival Ciné-Rail notamment).
Préfacé par Hubert du Mesnil, Président de Réseau Ferré de France -
La Bretagne au cinéma
Nolwenn Blanchard, Maria Blanchard
- RIVENEUVE
- Cinema
- 13 Août 2015
- 9782360132546
Depuis les débuts du cinéma, la Bretagne est un lieu privilégié pour les tournages de films. Certains y cherchent un joli décor ou un bâtiment historique, tandis que pour les autres, la Bretagne fait partie intégrante de l'histoire, entourant les protagonistes d'une ambiance, d'une lumière, d'un folklore, donnant au film une couleur propre à la région. Des frères Lumières à Claude Chabrol, de Remorque à Western en passant par Les vacances de Monsieur Hulot, des côtes sauvages de Ouessant à la ville de Nantes, le paysage breton devient parfois un personnage principal. Témoin des premiers amours, ou créateur de tensions familiales, terre d'angoisse ou de retour aux sources, au gré des films se dessinent différentes facettes de la Bretagne.
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Bien des années après sa mort, l'acteur australo-américain Errol Flynn demeure le héros d'une époque où le cinéma était peuplé de stars. Dans cet âge d'or d'Hollywood, il est l'acteur qui a rapporté le plus d'argent à la Warner entre 1935 et 1945. Au total, il aura tourné dans plus d'une soixantaine de films, révélé surtout pour ses rôles dans les films d'aventure de Michael Curtiz (« Capitaine Blood », « L'aigle des mers ») ou de Raoul Walsh (« Gentleman Jim », « Aventures en Birmanie »...).
C'est que Errol Leslie Thomson Flynn a un destin hors du commun. Ce descendant d'un mutin du Bounty est un aventurier accompli. Tour à tour pêcheur à la dynamite, directeur de plantation, capitaine de bateau de transport, aide-vétérinaire, chercheur d'or, journaliste, écrivain, collectionneur, star... il fut tout à la fois et à nul autre pareil un amoureux de la vie qu'il a grillée par les deux bouts.
Une biographie inspirée doublée d'une filmographie aussi érudite que complète.
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" Il y a au minimum trois raisons de s'attacher à la personnalité d'Elizabeth Taylor, écrit Patrick Brion. La première est de rendre hommage à sa beauté exceptionnelle, qui en a fait l'une des plus inoubliables actrices de l'âge d'or hollywoodien. La seconde est bien évidemment sa qualité d'actrice : peu d'artistes auraient été capables de personnifier Cléopâtre avec ce sublime mélange d'ambition et de passion, d'amour et de rouerie, d'humour et d'intelligence. Il faut enfin - et c'est là peut-être l'aspect le plus attachant d'Elizabeth Taylor - admirer la tendresse qu'elle a manifestée envers les autres, envers tous ceux que la société risquait de heurter et de faire souffrir, particulièrement envers ses camarades acteurs homosexuels. Lorsque le sida fera les ravages que l'on sait, elle sera d'ailleurs la première à se mobiliser pour récolter des fonds en faveur de la recherche, quand d'autres lui conseillent de s'occuper de causes moins gênantes. Ces choix sont ceux d'une femme libre, prête à braver les conventions. Ceux qui n'ont vu en Elizabeth Taylor qu'une femme riche encombrée de maris et couverte de bijoux n'ont jamais compris son véritable caractère, celui d'une femme qui tint coûte que coûte à assumer sa liberté ".
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Dean Martin fut plus encore que Sinatra un cas unique dans l'industrie du show-biz. Star de la chanson avec des millions de disque vendus à travers le monde, star des night-clubs (il futpendant 44 ans la vedette des plus grands casinos de Las Vegas), star du cinéma avec d'incontournables chefs-d'oeuvre comme « Rio Bravo », « Comme un torrent » ou « Embrasse moi idiot ». Star de la télévision où il aura été, entre 1965 et 1974, l'animateur de son propre show télévisé sur NBC chaque jeudi soir avec « Dean Martin Show ». Ni Sinatra par exemple et personne d'autre d'ailleurs dans le monde du spectacle ne peuvent se targuer de posséder à la fois ces quatre dimensions, il leur manquera toujours l'une ou l'autre. Dean restera donc une sorte d'électron libre, d'extra-terrestre du monde du spectacle. Star internationale s'il en est, Dean est aussi bien connu en France ou en Italie (n'est-il pas d'ailleurs un émigré de la seconde génération ?) ainsi que dans la plupart des pays de la vieille Europe, mais aussi au Japon ou dans d'autres pays du sud-est asiatique.Dean est finalement resté à la mode : le nombre de publicités où sa voix sert encore de bande son, lenombre de livres qui sortent consacrés au Rat Pack ou sur les crooners, la référence qu'il demeure avec Sinatra pour le monde du spectacle même en France, font que Dean Martin est encore partie intégrante d'un subconscient collectif que le cinéma et la chanson ont su laisser perdurer.
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Nastasjia, 10 ans, veut devenir comédienne.
Yves Afonso, Patrick Chesnais, Jean-François Derec, Michael Lonsdale, François Morel, Denis Podalydès, Micheline Presle, Philippe Torreton, Jacques Weber lui confient leurs secrets d'acteurs...
Nastasjia, 10 ans, veut devenir comédienne.
Yves Afonso, Patrick Chesnais, Jean-François Derec, Michael Lonsdale, François Morel, Denis Podalydès, Micheline Presle, Philippe Torreton, Jacques Weber lui confient leurs secrets d'acteurs... Qu'est-ce que jouer ? Comment apprendre un texte, composer un personnage, faire rire, lâcher prise, avoir du charisme ? Au théâtre et au cinéma.
En menant son enquête, Nastasjia apprend que son grand-père, le philosophe Jacques Sojcher, rêvait d'être comédien quand il était jeune...