Ce Dictionnaire amoureux contient à la fois de l'amour, des souvenirs, des admirations et des regrets. Il est la mémoire de ceux qui s'intéressent au football, et l'attendent tous les 4 ans, comme de ceux qui ne s'y intéressent pas, mais se souviennent être descendus dans la rue. Parce que la Coupe du monde est ce qu'il restera de ce jeu quand nous aurons oublié tout le reste.Arpenter amoureusement la Coupe du monde, c'est plonger au coeur de la mythologie du football et de notre mémoire collective. On dit Coupe du monde, il n'est jamais nécessaire de préciser " de football ", et cette évidence en majesté, qui tient à l'antériorité comme à l'audience planétaire, oblige les autres sports à se décliner.
La Coupe du monde aura bientôt 100 ans et elle s'étend sur deux siècles qu'elle a participé à raconter. Elle ne s'est jamais écartée des tremblements ni de la marche du monde, visitant l'Italie de Mussolini en 1934, l'Argentin des généraux en 1978 ou la Russie de Poutine en 2018, refondant l'idée de la nation allemande avec le Miracle de Berne en 1954, affichant la force d'une France métissée en 1998.
Elle a essaimé des épopées collectives qui ont parfois reposé sur la victoire (le Brésil de 1970) mais parfois sur un esthétisme de la défaite (les Pays-Bas de 1974, la France et le Brésil de 1982) : Séville reste un nom de code et une douleur française. La Coupe du monde, aussi, surtout, a fixé les admirations sur quelques Dieux du stade et quelques héros de tragédie. Elle a fait de Pelé un roi, de Cruyff un prince, de Maradona un diable avec la main de Dieu, de Zidane une icône retirée sur un coup de tête. La Coupe du monde a fait le sport, le football et ses personnages. Elle est la première à être entrée dans le salon, en noir et blanc puis en couleurs.
L'exploit de trois Ukrainiens en Himalaya
Novembre 2021 : trois Ukrainiens se dressent au sommet de l'Annapurna III. Mikhaïl Fomine, Nikita Balabanov et Slava Polezhayko viennent de réussir une ascension historique, quinze journées d'escalade éprouvantes et risquées pour venir à bout d'un des " derniers grands problèmes " de l'Himalaya : une arête magnifique et interminable qui résistait depuis quarante ans à toutes les tentatives. À peine rentrés au pays, ils sont confrontés à l'impensable : la tentative de l'invasion de leur pays par l'armée russe. L'expédition a reçu le Prix spécial du jury aux Piolets d'Or 2022.
Conrad Anker, mentor des alpinistes contemporains (il est " capitaine " du team North Face) signe une préface qui donne la mesure de cet exploit.
Emmanuel Faber, le patron visionnaire écarté de Danone, partage sa passion de la montagne et ses engagements pour l'avenir.
" Nous sommes au pied de la montagne. Nous avons dix ans pour ouvrir une nouvelle voie et nous y engager tous ensemble. "
Passée sa brutale éviction de Danone, Emmanuel Faber se pose dans un refuge des Alpes. Il raconte comment la montagne et l'escalade ont dessiné son itinéraire : l'orage en Oisans dans l'enfance, les falaises du Vercors à l'adolescence, seul dans la tempête une nuit d'hiver à ski, en collectif pour l'ouverture d'une nouvelle voie sur le granite corse. Il partage son expérience hors du commun de patron activiste et livre sa vision des enjeux d'aujourd'hui et demain.
Un appel vibrant à la prise de conscience et à l'action.
Le récit d'un insatiable aventurier de 28 ans, prêt à tout risquer pour naviguer au large. le nouveau Mike Horn français.
Et pourquoi pas ?
Pourquoi pas ne pas traverser l'Atlantique, dans les deux sens, aller et retour, seul sur un canot de huit mètres ?
Quand la tempête le renverse, le malmène, commence à le noyer, Guirec Soudée, sait juste qu'à 28 ans on n'a pas l'âge pour mourir, que comme d'habitude il s'en sortira. Il rit même. Il imagine sa famille et ses amis pleurant son décès, sans corps pour faire le deuil, devant la petite église de Plougrescant, et lui se pointant au large entre ses cailloux des côtes du Nord, criant, riant, stop, je suis vivant...
Guirec ose tout. Il n'avait quasiment jamais ramé avant de s'élancer.
Et si c'était là la vraie aventure : se jeter dans l'inconnu sans savoir ? Dans une société qui proscrit la prise de risque, qui prétend qu'il n'y a plus de terres inconnues, il réhabilite l'audace, il redessine des routes.
Guirec Soudée ose tout.
Il s'était déjà jeté dans un tour du monde, de cinq ans, sans jamais avoir navigué en haute-mer, récupérant une poule à bord car c'est quand même plus rigolo, se laissant enfermer quelques mois par la banquise car tout est bon à essayer.
Il se jettera bientôt sur le Vendée Globe, le mythique, tour du monde en solitaire, sur un énorme bateau de 18 mètres de long, lui qui n'a jamais encore jamais dompté un bateau de course, qui n'est même jamais monté dessus.
Il s'est donc jeté dans cette double transatlantique à la rame, dans l'incertitude et le risque.
Guirec Soudée, le petit illien aux pieds nus, vit sur une île de trois hectares, inaccessible la moitié du temps.
Vivre sur une île ouvre-t-il des horizons ?
Quand on est encore dans la vingtaine, on ne sait pas forcément pourquoi on fait les choses.
Tout au long de sa double traversée, confronté à la solitude, Guirec va s'interroger sur lui-même et sur le monde, dénicher des réponses qui valent pour lui et pour tout le monde. Il est question de rapprochement profond avec la nature, de renoncement à tuer la dorade venue l'accompagner, alors que la faim de frais le tiraille. Il est question de s'éloigner d'une civilisation qui ne prend pas le temps de vivre l'essentiel, esclave de l'horloge. Il est question de temps de lecture, et de rencontre avec des grands hommes, avec des guides qu'il serait bon de réhabiliter. Il est question surtout d'audace, de ne pas être spectateur de sa propre vie, d'invitation à tout un chacun.
Guirec Soudée a bien disparu des radars et des satellites plusieurs jours. Même Thomas Pesquet l'a cherché de là-haut, dans l'espace. Mais bien sûr il est rentré, pour bientôt repartir, délesté de quatorze kilos mais tant enrichi. 74 jours à l'aller, 107 jours au retour.
Anthropologie du sport.En matière de football, chez les Achuar, en Amazonie, il ne s'agit pas du tout que l'un des camps triomphe sur l'autre. Comme dans de nombreuses sociétés non modernes, ce qui compte, c'est le jeu en soi, capturer la balle et marquer un but tout en s'arrangeant pour qu'il n'y ait pas d'inégalités au terme du jeu. Philippe Descola, grande figure de l'anthropologie contemporaine, place face à notre rapport au sport et au jeu celui des sociétés amérindiennes. L'Occident a imposé au reste du monde le modèle du sport de compétition, qui porte en lui inégalités, individualisme et sentiment national, tout en créant un sens du commun.
Dans la lignée de sa réflexion sur le dualisme nature-culture, l'auteur s'empare de la question de l'hybridation de l'homme et de la machine.
Un alpiniste repenti part sur les traces de son passé, à la recherche d'un lien rompu.
À la fin des années 1970, Simon McCartney, un jeune grimpeur britannique brillant et fanfaron, écume les voies les plus dures des Alpes. Une rencontre dans un bar de Chamonix avec un virtuose californien, Jack Roberts, va changer sa vie - et manquer d'y mettre fin. Un lien se noue entre les deux hommes qui s'envolent pour l'Alaska. Pendant l'été 1978, ils réussissent la première ascension de la face nord du mont Huntington, une voie si dure qu'elle n'a jamais été répétée à ce jour.
Deux ans plus tard, ils tracent une voie de légende dans la face sud-ouest du Denali (anciennement mont McKinley), le plus haut sommet d'Amérique du nord. Mais Simon passe tout près de la mort, et le lien qui le lie aux montagnes - et à Jack - se dénoue. Une vie plus tard, le hasard remet Simon face à ce passé refoulé. Dans
Les Fantômes du Denali (
The Bond), il revisite ses deux ascensions légendaires. À la recherche d'un lien perdu avec Jack. Et avec son propre passé.
Le récit est conduit avec une maîtrise et un sens du suspens parfaits. Lorsque Simon, victime d'un oedème pulmonaire à 6 000 mètres d'altitude, commence à perdre conscience, sa " voix " s'éteint, et ses compagnons prennent le relais dans un magnifique récit choral.
" Quand il a dû se retirer de son deuxième Vendée Globe, au large de la Nouvelle-Zélande, mon père, le navigateur Sébastien Destremau, a décidé de venir nous voir en Australie, mon frère jumeau et moi, pour fêter nos 18 ans. Trois ans qu'on ne l'avait pas vu. Quelques jours plus tôt, au téléphone, je l'ai mis au défi :
-; Papa, est-ce que je peux ramener le bateau avec toi à Toulon ?
-; Tu es tombée sur la tête ?
-; Pas du tout. J'ai très envie de le faire.
Résultat : 68 jours au milieu des océans, seule avec mon père ! "
Dans ce récit à deux voix, Jade, qui déteste la voile, raconte qu'elle a beaucoup pleuré. Elle a eu peur aussi, très peur, sur ce bateau ultra-rapide et dénué de tout confort. Elle nous parle surtout de ces jours suspendus, où, avec son père, ils ont enfin appris à se connaître. Aujourd'hui, ils aimeraient que parents et enfants sachent qu'il suffit parfois d'un moment privilégié, hors des habitudes - et pas nécessairement deux mois en mer... -, pour créer des liens plus forts que jamais.Une vague de tendresse, de drôlerie et de complicité retrouvée
Jean-Philippe Lefief, traducteur du best-seller Born to run, a puisé dans son expérience de trailer et de journaliste érudit pour relier dans un même récit ces histoires venues du passé où l'endurance dépasse les bornes.
Qui est le premier " trailer " ? Peut-être Philipidès, qu'on présente comme le père du marathon : non seulement il n'est pas mort à l'arrivée, mais il a sans doute couru 200 kilomètres de plus que les 42 réglementaires. Peut-être Malcolm III, roi d'Ecosse qui organisa une course d'endurance dans les Highlands au XIe siècle. Peut-être un bushman épuisant l'antilope à la course, un Tarahumara inconnu, un " pedestrian " britannique avalant les milles jusqu'à épuisement...
Jean-Philippe Lefief, traducteur du best-seller
Born to run, a puisé dans son expérience de trailer et de journaliste érudit pour relier dans un même récit ces histoires venues du passé où l'endurance dépasse les bornes. Et les faire rimer avec ses propres sensations de triple finisher de l'UTMB.
" Plus vite, plus haut, plus fort ", " Que le meilleur gagne ! " : que disent ces devises sportives de notre humanité ?La règle sportive peut-elle être universalisable ? Elle peut l'être, certainement, en ce qu'elle peut valoir en tout lieu. En revanche, elle ne l'est sans doute pas au sens moral du terme. Peut-on universaliser comme élément moral " plus vite, plus haut, plus fort " et que le plus fort l'emporte selon la maxime " Que le meilleur gagne ! " ? Pour Axel Kahn, le sport est un terrain d'ombre et de lumière. À la suite d'Emmanuel Kant, il rappelle ainsi que les hommes ne sont pas des choses - et si les choses, la performance ou les records ont une valeur toute relative, les personnes, les athlètes ont une valeur absolue. " Agis de telle sorte que tu traites toujours l'humanité, en toi-même et en autrui, comme une fin et jamais comme un moyen. "
Un soir d'été 1982, Olivier Guez assiste à son premier match de football. Il n'a pas 10 ans. Les formes pures du stade, les projecteurs aveuglants, le vert ardent de la pelouse cernée de lignes laiteuses, et les milliers de petites touches bleues qui parsèment les gradins?: le vertige, l'immense frisson. Il ne s'est jamais vraiment remis de ce spectacle grandiose. Le football a donné à l'écrivain le goût des autres, et le goût du large. Au fil des voyages, il a constaté que ce sport était le miroir des nations, de leur mémoire, de leurs conflits et de leurs imaginaires. Sur un terrain de football se racontent l'identité de la France, le stalinisme et le dégel en Union soviétique, la question raciale au Brésil, la modernité de l'Argentine et de Diego Maradona, le destin de l'Allemagne de l'Est après la réunification, les ambitions planétaires du Qatar et, sous l'égide de la FIFA, les dérives du capitalisme depuis trente ans. C'est le football, cette passion absurde et dévorante que partagent des milliards d'hommes et de femmes à travers le monde, trait d'union de la planète globalisée, que décrit Olivier Guez dans un recueil de textes admirables de sincérité, entrecoupé de photographies de légende, qui vibrent pour toujours dans la mémoire de chacun.
Une jeune autrice part sur les traces de son père dans les montagnes d'Iran.
" Dans les pas de Zohre, je marche sur les traces de mon père. Je ne me fraie pas seulement un chemin dans la montagne, je descends et je remonte le long d'un fil ténu. Je dévale derrière Zohre et je le cherche lui. Mon père.
Il est venu par ici, dans les montagnes du nord de l'Iran. Il descendait du Trône de Salomon, la neige couvrait tous ces versants. C'était en 1956, il avait 27 ans, il brassait la neige.
Plus tard, je suis née. Il s'appelait Émile, on l'appelait Milou,
je m'appelle Émilie. Il m'a appelée Émilie.
Cela fait trente ans qu'il n'est plus de ce monde et je marche sur ses traces sous les pas de Zohre. J'ai fouillé ses papiers, ses pitons, j'ai interrogé ses témoins, sa jeunesse, je questionne mes souvenirs, mon enfance, je le cherche sur la montagne et dans ma mémoire. "
Marion Poitevin aime la montagne. Elle l'a rendue féministe en faisant entendre sa voix, engagée, dans un monde longtemps resté un bastion du machisme.
Que faire quand on est une femme dotée de capacités physiques exceptionnelles et d'une volonté bien charpentée ? Grimper, toujours plus haut, toujours plus fort ! Que faire quand cette passion vous conduit dans un monde presque exclusivement masculin, celui des guides, des gendarmes, du secours en montagne, du groupe d'élite d'alpinisme de l'armée, et qu'on se heurte inlassablement au même plafond de verre ? Recommencer, encore et toujours, et donner une voix à sa colère.
Marion Poitevin est aujourd'hui secouriste en montagne et présidente de l'association " Lead the Climb ", qui ouvre les portes de la haute montagne aux femmes. Elle prend la plume pour la première fois dans cette autobiographie saisissante.
« Peu importent les crises : je suis prête à tout endurer pour protéger mes enfants. Quand l'unité vacille, j'oeuvre de mon côté pour les ramener à la raison. Tout ce que je demande, c'est que nous restions ensemble. Le clan Pogba. Je suis celle qui tiendra toujours bon, malgré les mauvais coups. Notre famille avant tout. »
Le football, Yeo Moriba ne vit que pour ça. Repérée au début des années 1980 par l'un de ses professeurs, elle devient vite capitaine de l'une des premières équipes féminines de Guinée. Une période dorée qui s'achève lorsque des troubles politiques secouent le pays. Bientôt la jeune femme se marie et déménage loin de sa terre et des siens. En banlieue parisienne, une autre vie commence, jalonnée d'obstacles et de difficultés. Devenue mère célibataire de trois garçons, Yeo tient bon. Les jeunes Florentin, Mathias et Paul Pogba vouent eux aussi une passion sans faille au ballon rond. Dans les pas de leur mère, ils deviendront de grands joueurs internationaux. Le cadet de la famille, Paul, va même remporter la Coupe du monde en 2018 avec l'équipe de France.
Entre l'Afrique et l'Europe, Yeo Moriba raconte sa trajectoire singulière, celle d'une mère courage capable de tout supporter pour ses enfants.
Ils sont les trois plus grands joueurs masculins de tennis de tous les temps, mais les connaissez-vous vraiment ?Suiveur privilégié de Roger Federer, Rafael Nadal et Novak Djokovic depuis vingt ans, Bastien Fachan nous invite en première classe sièges 1F, 2N et 3D pour un voyage à travers l'histoire du Big 3, depuis les origines du triopole.
Nous ferons escale à Bâle, à Manacor et à Kopaonik ; à Melbourne, Paris, Londres et New York pour leurs plus beaux duels en Grand Chelem ; et un peu partout dans le monde, du centre de la Terre (ocre ou bleue) jusqu'à l'espace, où l'un des trois a donné son nom à un astéroïde. Tout là-haut, nous convoquerons leurs pères et fils spirituels, et tous ceux dont ils ont bouleversé la vie ; nous évoquerons les Jeux olympiques et, après l'examen minutieux de leurs dossiers, nous leur accorderons exceptionnellement un passeport français pour Paris 2024 ; nous revisiterons leurs anecdotes et débattrons du GOAT. Leurs succès, leurs cicatrices, leurs styles, leurs psychés : 300 pages sur le Big 3 pour une expédition extracorporelle en trois dimensions.
Attachez vos ceintures et rendez-vous pour la préface, où le copilote un certain Stefanos Tsitsipas a quelques instructions à vous donner
Cité comme un ouvrage de référence par les légendes du ski Marc Girardelli et Kjetil André Aamodt, ce livre raconte dans le détail la grande épopée du ski : depuis l'apparition des premiers skis jusqu'aux grandes compétitions que l'on connaît aujourd'hui, en passant par l'essor des stations de sports d'hiver et l'invention du ski moderne.
Dans Le Grand Livre du ski, découvrez - au gré d'un récit ultra-documenté et d'images inédites -, l'évolution de cette discipline en constante mutation.
Légende du sport, Rafael Nadal est l'un des plus grands joueurs de l'histoire du tennis. Quelles sont les clés de son succès ? force mentale, technique, ténacité, humilité, maîtrise, résistance : découvrez le portrait d'un guerrier ultime.
Une enquête de 3 ans dans laquelle plus de cinquante intervenants se succèdent pour décrypter la personnalité et le jeu de l'incroyable champion : Jofre Porta, un des premiers entraîneurs de Rafael Nadal, Daniil Medvedev, numéro 2 mondial et vainqueur de la Coupe Davis en 2021, Benoît Paire, entre autres.
Richement illustré par les magnifiques photographies de Corinne Dubreuil, qui a suivi l'athlète de 2004 à 2022, cet ouvrage vous dévoile Rafael Nadal comme vous ne l'avez jamais vu !
A l'approche de l'été et du Tour de France 2020, Guillaume Martin revient, en mots et en philosophie, avec une nouvelle édition revue et augmentée de Socrate à Vélo.
« Imaginez Socrate, Aristote, Nietzsche, Pascal et consorts sur la ligne de départ. Suivez leur préparation pour le Tour de France, la plus prestigieuse épreuve cycliste au monde, à laquelle ils ont étrangement été conviés. Partagez leurs interrogations, leurs doutes, leurs errements. Réfléchissez à leurs côtés. Pédalez avec ces drôles de sportifs, ces coureurs philosophes, ces « vélosophes » - comme je m'amuse à les appeler. On dit qu'ils seraient dotés d'une potion magique : leur intelligence. Celle-ci leur permettra-t-elle de conquérir le maillot jaune tant convoité ? »Guillaume Martin
Dans Socrate à vélo, Guillaume Martin ouvre les vannes de l'imagination pour nous faire découvrir le monde du cyclisme et nous donner à penser. Ici l'essai se mêle à la fiction, la fable aux méditations les plus profondes; on voit Nietzsche s'entrainer courageusement en écoutant Les chemins de la philosophie sur France Culture, d'illustres philosophes grimper les cols aux côtés des plus grands champions, Heidegger tomber dans un fossé, Socrate prendre la tête du peloton ou encore Sartre coacher de l'équipe de France... Le but de cette fantaisie philosophique ? Effacer les clichés qui collent à la peau des sportifs, montrer que l'effort physique de haut-niveau n'est pas l'ennemi de l'activité intellectuelle, que la tête et les jambes n'ont aucunement lieu d'être distinguées. Car, comme le rappelle très justement Bergson, « il faut penser en homme d'action et agir en homme de pensée ».
Depuis le premier match de foot organisé devant quelques centaines de spectateurs dans le sud de Londres en 1870 jusqu'à la finale de la Coupe du monde à Saint-Denis en 1998, ce livre revisite l'histoire du monde en onze matchs On y rencontrera un ambassadeur uruguayen et un ancien ouvrier du Forez, des commerçants enrichis de Calcutta et un capitaine de la police politique soviétique, mais aussi un poète italien iconoclaste et des prêtres catholiques vivant en Écosse.
Toutes ces trajectoires footballistiques nous plongent au coeur de l'histoire mondiale d'un long XX siècle, des décolonisations à la guerre froide, des phénomènes d'industrialisation à l'émergence du salariat, de la mondialisation à la sauce britannique aux affrontements généralisés des guerres mondiales. C'est sans doute ce qui explique la popularité du football : raconter son histoire nous ramène toujours à tout ce qui nous a faits tels que nous sommes.
Le Real Madrid et son roi Karim Benzema qui soulèvent la Ligue des champions et écrabouillent le championnat d'Espagne loin devant le Barça. Le PSG qui récupère son titre de champion de France, mais se prend une nouvelle fois les pieds dans le tapis européen. Kylian Mbappé qui fait tourner la tête du monde entier et poursuit son ascension exceptionnelle à Paris. Liverpool battu en finale de C1 et sur le gong en Premier League par Manchester City.
Les clubs français qui se plantent sur la scène continentale. Le grand AC Milan de retour sur le toit de l'Italie 11 ans après son dernier sacre. Les filles de Lyon qui règnent sur la France et l'Europe. Le Bayern qui fait du Bayern. L'équipe de France qui prépare le Mondial au Qatar en jonglant avec le très bon et le très inquiétant. Le Sénégal qui décroche sa première Coupe d'Afrique des nations avec panache. Cette saison 2021-2022 a permis à des légendes de s'affirmer, à des monuments de se réveiller et à d'autres de sombrer.
Retour en images et en analyses sur une année de football pas comme les autres.
Le 10 mai 1996, le Toit du monde fut le théâtre d'une véritable hécatombe. En route vers le sommet, quatre expéditions furent prises dans une violente tempête. En vingt-quatre heures, huit alpinistes, dont deux guides réputés, trouvèrent la mort. Envoyé spécial du magazine américain Outside, Jon Krakauer fait partie des survivants. Tragédie à l'Everest, son récit de ce drame, est un livre lucide et courageux qui passionnera tous les amoureux de récits d'aventures vécues, amateurs de montagne ou non, comme il a fasciné des millions de lecteurs américains. Un classique du genre.
Un livre complété par des vidéos disponibles sur Youtube, pour un programme d'équitation sur mesure :o Le livre : les 40 leçons d'équitation fondamentales expliquées pas à pas et illustrées : les bonnes positions du cavalier, les aides les allures, les techniques équestres, les figures de manège...o Les vidéos : sur une chaine Youtube dédiée, 40 leçons filmées pour un apprentissage facile, commentées par l'auteur avec ses élèves !
Juan Pablo Meneses part à la recherche du prochain Lionel Messi et pour cela il est prêt à mettre la main à la poche. Au cours de sa quête, il rencontre des parents prêts à vendre leur enfant de 9 ans, des agents malhonnêtes, des équipes de foot au succès international qui viennent briser les guiboles de jeunes prétendants. Ce livre, à l'aspect d'un manuel de manageur, raconte l'histoire des jeunes footballeurs qui souffrent sur le terrain, malmenés par une industrie sans pitié. Menses approfondit sa démarche par l'absurde qui pointe les travers de notre monde consumériste.
Retrouvez dans ce livre 100 astuces équestres indispensables pour prendre soin de son cheval, bien monter, des conseils pour entretenir son matériel...tout ce qu'il faut pour vous faciliter la vie aux écuries !
Que vous soyez grand débutant ou cavalier confirmé, les meilleurs tips de Dance With Him vont vous changer la vie !
o Photos et illustrations pour détailler les astuces
o Des pas à pas pour comprendre chaque étape
o Notez les astuces que vous avez testées
o Prenez des notes à la fin de chaque chapitre : les nouveaux indispensables de ma boîte de pansage et de ma pharmacie, mes bonnes résolutions pour progresser à cheval, ma check-list pour partir en concours...
Et si la glisse devenait ta signature ?Objet de ralliement de la communauté noire américaine, de la jeunesse des années 60, des mouvements féministes, puis de la jeunesse durant le confinement : le roller est depuis toujours un symbole de liberté. Apprends à patiner pour être en phase avec toi-même !
Ambassadeur·rice du style, des valeurs engagées et de la quête de soi, bienvenue dans la skatefam !
Maîtrise ton patin et équipe-toiTente tes premières figures pour débuter et progresse avec des tutosDéplace-toi, sois libre, kiffe les sensations et challenge-toiTeste le roller urbain, la rollerdanse, le roller en skatepark, le roller en équipe (derby, rink hockey, etc.)