Âgée de trente-quatre ans, Elisabeth possède tout ce qu'une femme peut souhaiter : un mari, trois enfants doux et aimants en bas âge et un travail intéressant. Un rythme de vie bien rempli, qui la mène parfois au surmenage.
Au début de l'année 2013, un terrible événement vient tout reconsidérer : elle apprend qu'elle est atteinte d'un cancer du sein agressif. « Il faut faire vite ! », lui dit le radiologue.
Deux choix s'offrent à elle : vivre ou mourir. Nous avons toujours le choix : la vie est une chance, la chance dépend des choix que nous faisons.
Et si derrière la mort se tenait la vie ? Saurions-nous la reconnaître ?
Elisabeth Técher est née en 1978 à Saint-Pierre de la Réunion. Son amour pour l'écriture l'anime depuis son plus jeune âge. Aujourd'hui, elle travaille sur des écrits inspirants pour petits et grands. Son caractère déterminé, sa confiance et son amour pour la vie sont des sources d'inspiration quotidiennes.
Passionnée de voyages, l'auteure travaille d'abord dans le domaine aérien et le tourisme, avant de se reconvertir dans les métiers du livre pour exercer le métier de documentaliste dans une collectivité.
Christian, 57 ans, sauvé in extremis d'une crise cardiaque, passe sa vie en revue, son burn-out, sa dépression, sa prise de conscience et son regard sur la vie de ses semblables. Indigné et révolté, cet auteur idéaliste dénonce et dépeint une nature humaine en plein délitement. Entre biotechnologie, nanotechnologie et nanoparticules, le COVID-19 l'interroge sur le devenir de la société.
Son regard acéré sur la société, le monde d'avant, le monde d'après. Sa réflexion sur la liberté et la fraternité menacée. Une plongée dans l'absolu d'un homme à la croisée des chemins, entre le rêve et la triste réalité, un vécu simple du passé au présent et une vision du futur oscillant entre pessimisme mortuaire et optimisme baigné dans un cortège de sincérité et d'amour absolu de la vie. Le confinement et son inspiration, un regard sans concession sur un monde qu'il juge triste dans un style particulier où le lecteur est invité à rentrer avec lui dans les questions posées. Vif, bouleversant, sincère, une plongée et une réflexion acidulée dans le monde déshumanisé dans lequel tous les sujets de société sont visités. Un style particulier sans concession, fort, extrême, qui remue tripes et boyaux, mais toujours avec pudeur et une extrême sensibilité. Ce premier livre demande une introspection entre humour et gravité, besoin intense de délivrer différents messages à contre-courant du mainstream ambiant. Un livre sincère et fort.
Plongée intime dans l'univers de cet homme extralucide sur son extrême hypersensibilité, bienveillance et colère mêlées, un livre qui dénonce la violence de notre société actuelle, le titre ironique du livre inspire à la curiosité naturelle.
À lire et à découvrir absolument. Bouleversant et bienveillant, un livre rare qui interroge sur le sens de sa propre vie.
Né à Dijon en août 1962, Christian CHAUMARTIN a décidé de rédiger ce premier ouvrage durant sa rééducation cardiovasculaire faisant suite à un infarctus survenu en octobre 2019 dû à un burn-out et une pression professionnelle exacerbée qui le conduisit à se repositionner et à prendre du recul. Il décida alors de se mettre à nu dans un récit autobiographique authentique et saisissant de réalisme. Dans un style nouveau et particulier, il offre au lecteur un ouvrage d'une extraordinaire introspection.
Enfant des années 70, l'auteur a grandi à la lueur du petit écran en chérissant tous ses héros de feuilletons, de séries et de dessins animés.
La plupart du temps, il le passe dehors, avec Mourad l'Algérien, Abdel le Marocain, Drisse le Turc, Jean-Pierre le Vendéen...
Ensemble, ils jouent dans la gadoue des chantiers du quartier populaire de Mireuil en pleine expansion. Ils s'affrontent entre bandes rivales dans un dédale de matériaux servant à la construction de tours et de barres d'immeubles.
Dans cette mixité sociale et colorée, tous les ouvriers travaillent pour recevoir cette zone à urbanisation prioritaire.
Toutes les grandes vacances d'été, il les passe sur Ré, terre d'accueil des banlieusards rochelais, sur une propriété privée, un terrain familial qui jouxte le bord de mer.
Cette île l'a vu grandir d'année en année, elle l'a séduit, elle l'a forgé. Devenue sa muse, il sera son féal.
À chaque rentrée scolaire, c'est pour lui un déchirement de la quitter.
Par le biais d'une loi décrétant la protection du littoral et de l'environnement, une décennie plus tard, on l'en a chassé.
Il avait cette terre en cathéter, on la lui a débranchée ! C'est maintenant un exilé, un déraciné !
En mélangeant le passé et le présent, la nostalgie de l'auteur ravive des souvenirs de jeunesse, en célébrant sa passion du terroir et les saveurs de l'enfance, tout en éveillant les consciences.
Et puis un jour, une plume blanche atterrit sur mon coeur.
Je ne saurais vous expliquer comment elle est arrivée là, mais elle est arrivée.
Elle m'invita à faire silence et à regarder en moi.
Je n'ai pas tout de suite compris la grandeur de ce silence et encore moins son mode d'emploi.
Elle me parla de rêve humanitaire et de la Terre, elle me parla d'enseignement et de discernement, elle me parla d'Amour et de Lumière.
Ce que je ne savais pas, c'est que lorsqu'une plume blanche se pose sur un coeur, elle ne peut plus s'en détacher.
Même si le vent parvenait à l'emporter, son empreinte resterait à tout jamais imprégnée.
Libre arbitre ou pas, je ne pouvais tout simplement plus faire marche arrière.
Ma conscience m'en aurait empêchée, de toute manière...
Diplômée en Sciences Humanitaires et Sociales de la Manchester Metropolitan University, Katline JACQUEMIN travaille pour les institutions européennes à Bruxelles et à Helsinki depuis une quinzaine d'années. Également coach de vie en PNL, elle ose espérer partager sa passion pour l'écriture avec des consciences ouvertes et éveillées.
Ce qu'on ne peut pas faire dans la Vie, on le réussit parfois dans la Mort...
Auteur franco-luxembourgeois passionné par la réflexion sur l'Homme et la Nature.
Comme tout jeune africain ayant fraîchement obtenu son bac, je rêvais de poursuivre mes études en Europe. Mais mon père, un homme assez aisé, voyait les choses autrement et m'obligea à émigrer au Mali pour y faire mes études de pharmacie. J'y découvris une société qui, malgré son extrême pauvreté, était très ouverte, généreuse et tolérante. Afin de réaliser mon rêve d'intégrer l'Organisation Mondiale de la Santé, j'immigrai en France. Mais contrairement au Mali, la France me rejeta et me refusa le droit de m'identifier à sa culture, qui faisait malgré tout partie de la mienne. Je décidai alors de quitter la France pour les États-Unis, qui acceptèrent pleinement ma différence et mieux encore, qui m'accueillirent.
Dominique Sighoko est née au Cameroun en 1983, d'un père pharmacien et d'une mère travaillant au ministère de l'urbanisme et de l'habitat. Elle quitte son pays natal à l'âge de 18 ans pour le Mali, où elle effectue des études de pharmacie. C'est en France qu'elle obtient ensuite un master en santé publique et un doctorat (PhD) en épidémiologie du cancer. Elle vit désormais aux États-Unis, où elle travaille en tant que Chercheuse.
Depuis son plus jeune âge, elle se passionne pour l'écriture.
Nous sommes en 2013. Une année d'étude collégiale s'était terminée et une deuxième s'entamait sans plus tarder. J'avais adoré ma première année au sein de cet établissement. Les règles du directeur de l'époque étaient de ne pas séparer les élèves issus de la même école lors de leur passage du CM2 à la 6e afin qu'ils s'habituent aux locaux entre eux et ne se retrouvent pas désemparés dès la première année au collège. La plupart du temps, j'étais avec mes copines et d'autres têtes connues mélangées à d'autres élèves de provenances différentes, dont un groupe que j'appellerai « les suiveuses » dirigées par Feeby, la reine des abeilles. La popularité était leur moteur, et ça se sentait...
Quelques années après un événement tragique, Cindy BROQUET se penche sur son passé pour vous en raconter ses tourments. À seulement 20 ans, elle décide d'écrire son autobiographie qui, elle l'espère, aidera des millions de personnes à faire face à cette réalité et à en récolter les fruits.
Roger Mauger n'était, avant tout, qu'un simple professeur, jeune et énergique. Cependant, sous la menace de plus en plus présente d'une Allemagne dangereuse, la décision de s'enrôler dans l'armée afin de protéger son pays s'impose. D'abord fait prisonnier, puis considéré comme évadé de guerre, ce simple soldat s'impliquera par la suite volontairement et activement dans la Résistance française, allant de mission en mission, toujours plus déterminé à sauver son pays des griffes allemandes.
« À cette période, la guerre n'était pas finie, bien au contraire. Mais je n'acceptais pas cette lamentable défaite de la France et conservais l'espoir de la victoire du général de Gaulle et de la liberté de ma patrie, la liberté de la France. »
Elie Mouawad est un jeune écrivain nantais, de nationalité franco-libanaise. Sa grande passion pour la littérature (principalement de science-fiction et d'aventure) l'a très vite mené à porter un grand intérêt pour l'écriture de romans. Il est également passionné par le dessin.