The renowned World Press Photo Foundation ("Connecting the world to the stories that matter") publishes a compilation of prizewinning press photographs each year. Carefully selected from thousands of entries, they present the most celebrated, powerful, moving, and often disturbing images from around the world, often putting a face on conflicts in far-flung places and reminding us of our shared humanity. The 2022 Yearbook, bringing together the best press photographs from 2021, will reflect the joy, anguish, and upheaval of this incredible year.
Henk van Rensbergen is a Boeing 787 pilot who flies around the globe. While his crew rests at the swimming pool, he goes out to explore abandoned places in our world. From the breakaway state of Abkhazia, a floating warship cemetery in France, a forgotten love hotel in Japan to an abandoned rail depot in Detroit, van Rensbergen searches for the beauty of their desolation and pinpoints the richness of their decay. Van Rensbergen is a pioneering urban explorer. His Abandoned Places photo books (1, 2, 3 and The Photographer's Selection) have been highly successful. This complete revised edition shows his most iconic photos of the past 25 years, including new unpublished material and anecdotes.
Depuis 1955, le concours annuel World Press Photo est le rendez-vous mondial du journalisme visuel. Ce livre présente les gagnants du World Press Photo 2020, à travers les images les plus marquantes et les reportages les plus convaincants qui ont été retenus parmi les 73 966 photos prises par 4282 photographes de 125 pays. Sélectionnés par un jury indépendant de professionnels, les gagnants des prix sont mis à l'honneur dans ce document empreint d'émotions et représentatif du meilleur journalisme visuel de l'année 2019.
Tour à tour décrite comme artiste conceptuelle, photographe, vidéaste et même détective, Sophie Calle a développé une pratique immédiatement reconnaissable, alliant le texte à la photographie pour nourrir une narration qui lui est propre. Elle fait désormais partie des plus grandes artistes du XXIe siècle.
Surtout connue pour ses travaux en architecture, en urbanisme et en design de mobilier, Charlotte Perriand a pourtant développé, au cours de son oeuvre, une « parenthèse photographique » durant l'entre-deux-guerres. Pratiquée à titre personnel et dans le cadre de ses recherches, la photographie de Charlotte Perriand s'avère prolixe : clichés documentaires, photos brutes, photomontages militants ancrés dans les luttes politiques et sociales de son époque.
Aborder son oeuvre du point de vue de la photographie revisite l'histoire du médium en soi : Charlotte Perriand est de ces « non-photographes » qui annoncent l'avènement de l'image comme langage hégémonique et transversal de communication. Pionnière de la modernité, la photographie est pour Charlotte Perriand une machine à créer, à communiquer, économique, rapide, capable de traduire le regard de « l'homme nouveau », d'appréhender le monde et de l'exprimer ; pour elle, c'est une machine à révéler, à noter et à émouvoir.
Cinéaste et cinéphile, Bertrand Tavernier est l'auteur d'une filmographie riche et éclectique. À travers quinze témoignages inédits d'artistes et de proches du réalisateur, enrichis d'images et d'extraits de films, Laurent Delmas présente les grands thèmes qui traversent son oeuvre:les pères, les héroïnes, la guerre, la musique et les chansons, les faits divers, l'Histoire, les adaptations, l'engagement et la cinéphilie. Dans le prolongement de la série documentaire «Tavernier, le cinéma et rien d'autre» sur France Inter, on découvre un cinéaste à la fois ancré dans son époque et imprégné d'une tradition cinématographique française qui fait la part belle aux histoires, aux scénarios, aux dialogues et aux acteurs.Avec Stéphane Audoin-Rouzeau, Nathalie Baye, Luc Béraud, Christophe Blain, Thierry Frémaux, Julie Gayet, Xavier Giannoli, Marie Gillain, Laurent Heynemann, Isabelle Huppert, Stéphane Lerouge, Raphaël Personnaz, Philippe Sarde, Mélanie Thierry et Philippe Torreton.
« Dès que je rentre, je me mets à écrire. La dernière chose que je pensais faire dans ma vie était d'écrire un livre. Mais j'ai eu besoin de raconter cette histoire folle. L'histoire de ma famille, une famille heureuse et aimante dont la vie a basculé. J'ose espérer que le récit de ces événements permettra de mieux les comprendre. Je suis la femme de Roman Polanski. Il est, selon qui vous êtes, l'incarnation d'une génération, un survivant, un mythe, un génie, un salaud. À une époque où l'on préfère ce qui est vraisemblable à ce qui est vrai, j'ai voulu allumer un contre-feu. » Une vie incendiée est le récit inédit, poignant et intime d'Emmanuelle Seigner. Une prise de parole qui fait la lumière sur une histoire hautement médiatisée, une affaire sensible, complexe, aux répercussions dévastatrices pour de nombreuses personnes, à commencer par elle-même. L'actrice prend courageusement la parole pour la première fois et livre enfin sa vérité.
Dans le sillage du manga dont les ventes explosent, l'animation japonaise a le vent en poupe.La batterie d'épisodes de Dragon Ball, Naruto ou One Piece agrège des millions de fans, pour qui chaque nouvelle déclinaison - films, specials, spin-off - est attendue avec ferveur. Ces héros arpentent des univers foisonnants, où l'aventure échevelée se double de rites initiatiques. Toutefois, le rayonnement de la japanimation n'a pas jailli comme par magie. Il a fallu que s'installent des canons mal connus des spectateurs. Akira, l'oeuvre culte de Katsuhiro Ôtomo, n'a pas spontanément infusé l'imaginaire occidental. De même pour les chefs-d'oeuvre du studio Ghibli. Si Hayao Miyazaki s'est imposé comme le sensei de l'animation depuis Princesse Mononoké et Le Voyage de Chihiro, il a aussi ouvert la voie à de nouveaux talents. Preuve en est le carton de Your Name de Makoto Shinkai. Transgénérationnel, phénomène de société, l'anime radiographie la comédie humaine, du cauchemar apocalyptique aux fables peuplées d'esprits fantastiques, des dystopies futuristes aux bluettes sentimentales, des métamorphoses du Japon à la poésie d'une nature millénaire.Bienvenue dans des mondes imaginaires qui ont bouleversé le dessin animé et - osons le dire - le cinéma tout entier.
De l'Asie à l'Amérique, de l'Europe au continent Africain, Raymond Depardon a passé sa vie à sillonner le monde. L' « Entre-temps » est pour lui cet espace dans lequel le temps se dissout, un endroit où il retrouve ses habitudes. C'est donc entre deux moments forts, entre deux voyages, qu'il va s'attarder à photographier les petites choses, à l'opposé de ce qu'il voit à l'étranger : des rues parisiennes connues, des cafés, des scènes de vie en famille, des détails de la ville, une forme de solitude urbaine qui le caractérise bien.
Chaque image devient alors un récit unique. Au contraire de certaines séries dans lesquelles les photographies s'enchainent pour créer une narration, les images d'Entre-temps fonctionnent en miroir : l'une répond à l'autre sur la double page du livre, par opposition ou par complémentarité. L'histoire est fragmentée, plus libre, prompt à être réinventée. L'espace-temps est perdu de manière volontaire et devient presque inutile.
L'ouvrage Entre-temps célèbre cette force qu'a l'artiste de projeter des détails de sa propre vie pour les faire résonner dans la nôtre.
Une fabuleuse somme collective, un livre manifeste, un ouvrage de référence : telle est l'ambition de cet ouvrage co-construit par 160 autrices du monde entier qui présentent 300 femmes photographes, de l'invention du médium aux années 2000. Ainsi les portraits de chaque photographe ont été rédigés par des femmes de toute nationalité pour se prémunir de l'écueil d'un regard "occidentalo-centré". Les séquences de portraits alternent avec des portfolios qui font dialoguer les oeuvres entre elles.
C'est en 1954 que l'agent de Marilyn, Charles Feldman, contacte Ben Hecht pour lui demander d'aider l'actrice à écrire ses mémoires. À 28 ans, elle a déjà tourné une vingtaine de films, dont ses premiers succès - Niagara et Les hommes préfèrent les blondes - et elle est lasse des inventions et potins des feuilles à scandales. Elle lui dicte les mots qu'il couche sur papier. Pour des raisons personnelles, elle ne poursuit pas ces séances de travail, mais confie le texte inachevé au photographe Milton Greene, son ami de toujours.
Publiés aux États-Unis et en France en 1974, ces textes de jeunesse, intimes et bouleversants, politiques et féministes, sont une révélation.
Qui était Marilyn Monroe ? Qui se cache derrière la pétillante blonde qui va mettre fin à ses jours à 36 ans, en pleine gloire ? Lire cette Confession inachevée, c'est se rapprocher d'elle, entendre sa voix bien reconnaissable dévoiler les deux faces de sa personnalité, les étapes de sa brève existence. D'abord Norma Jean, l'enfant dont la mère est internée, ballottée entre différentes familles d'accueil. La jeune fille crie son manque d'amour et son besoin constant d'attirer l'attention. Puis Marilyn, le sex-symbol qui côtoie et déteste Hollywood, avec ses ratés, ses dragueurs et ses escrocs, qui se heurte à la jalousie des femmes, mais reste lucide sur la tragédie de son milieu d'adoption.
« Nous décampâmes. Nous partîmes vers les horizons, avec une fièvre dont nous pensions que l'accumulation de kilomètres serait l'antidote alors qu'elle s'en révéla l'excitant. Mais le mouvement apaisait quand même quelque chose. Il atténuait notre mélancolie de n'avoir rien fait de nos vies, d'être né trop tard et d'avoir tout raté. Nous n'étions pas des lansquenets, nous avions manqué l'embarquement sur les galions pirates, nous ne rejoindrions jamais la forêt de Sherwood. Que restait-il ? Les mobs, mon pote. Nous avons alors roulé sur la Terre. En Inde, en Russie, en Finlande, au Bhoutan, en Mongolie et en Sibérie, en Chine, en Serbie, au Chili, en Asie centrale et au Népal, à Madagascar et en Asie du sud-est. » L'aventure comme art de vivre. Embarquez avec Sylvain Tesson et Thomas Goisque pour vingt-cinq ans de chevauchées autour du monde : une rafale d'oxygène et de liberté !
L'un de plus grands photographes de mode du 20e siècle ; fort de son expérience dadaïste, Erwin Blumenfeld a mené une approche singulière et audacieuse, radicale et pionnière de la photographie de mode. Le style moderniste d'Erwin Blumenfeld, à la jonction de la mode et de l'art, a radicalement transformé la photographie de mode depuis presque cent ans. Pourtant, éprouvé par la sombre histoire européenne du début du XXe siècle, Erwin Blumenfeld n'investit véritablement la photographie qu'à partir de l'âge de quarante ans. Des portraits réalisés dans son arrière-boutique aux couvertures des plus grands magazines de mode en passant par ses photomontages dada, son parcours atypique, fait d'incessantes expérimentations techniques, produit des images avant-gardistes et remarquablement actuelles.
Sous la direction de Christophe Ernault et Laurence Rémila.
Si vous aussi, vous ressentez l'envie d'échapper à l'hystérie de l'époque en faisant un pas de côté et en tournant poliment le dos au jeunisme ambiant, cette revue est faite pour vous. Elle vous fera replonger dans des oeuvres parfois oubliées, rencontrer des personnages hauts en couleur, mémoires encore vivaces de notre patrimoine culturel, vous permettant ainsi de satisfaire vos goûts de jeune (ou vieux) schnock. Ni rétrograde, ni passéiste. Schnock, donc... Tout bonnement. Alors rejoignez-nous ! Après vous...
Qu'est-ce qu'une contre-culture a? l'heure de l'image sur Internet ? Depuis une génération, quantité de photographes prennent le contre-pied des standards technologiques. Ces alternatives sont si nombreuses et passionnantes que l'idée d'un livre pour les rassembler s'est imposée. Éthique et écologie irriguent une création photographique en complète réinvention et rematérialisation.
Andrew Birkin s'est passionné très tôt pour la photographie, documentant d'abord la vie de sa petite soeur Jane (ils ont un an d'écart), puis celle de son couple avec Serge Gainsbourg, dont il fut l'intime jusqu'à leur séparation en 1980, date à laquelle il abandonne son appareil photo pour la caméra. Il constitua ainsi un album de famille unique en son genre, donnant un point de vue inédit sur la vie de ce couple mythique et de leurs enfants Kate et Charlotte. Dans cet ouvrage il dévoile plus de 900 images soigneusement choisies et pour la plupart inédites... où l'on croise également, au détour de ses nombreuses vies de scénariste, réalisateur et écrivain, Stanley Kubrick dont il fut l'assistant sur 2001, l'odyssée de l'espace ou encore les Beatles avec qui il travailla pour leur premier film.Un voyage à travers les années pop en compagnie de Jane & Serge.
Des années 1960 jusqu'au début des années 2000, Alain Dister a documenté la contre-culture américaine, en tant que rock critic, écrivain et photographe.Des coulisses de concerts aux communautés, des vastes paysages aux interstices urbains, il s'est intéressé à tout ce qui échappait à la lumière des projecteurs officiels.Son regard, graphique et singulier, a été celui d'un homme curieux de son époque, en quête de partage, celui d'un « passeur culturel », entre pays et entre générations. Libre et lucide. Toujours en éveil sur les émergences. Attentif à l'horizon sur lequel apparaissent ses rencontres. Toujours fraternel, un oeil sur les marges.Cette plongée dans les archives d'Alain Dister, en grande partie inédite, déploie le cheminement stylistique de son oeuvre documentaire pour offrir un portrait saisissant de la société américaine et de sa jeunesse sur près d'un demi-siècle.
« Il n'est pas plus exotique que l'Angleterre. », Henri Cartier- Bresson.
En 1962, Henri-Cartier Bresson accepte une commande photographique de la télévision britannique ITV/ABC afin de réaliser un documentaire sur le nord de l'Angleterre. Exhumé par la cinémathèque française quelque soixante ans plus tard, celui-ci n'avait été diffusé qu'une seule fois à l'époque. On y découvre des photographies inédites, brossant un portrait amusé de ces Anglais au travail et de leurs loisirs. En 1989, Martin Parr, photographe déjà reconnu bien que controversé pour ses photographies en couleur de la middle class britannique, notamment sur les plages du nord de l'Angleterre, présente sa candidature à l'agence coopérative Magnum, à laquelle Henri Cartier-Bresson s'oppose fermement. À plus de vingt ans d'écart, les visions de ces Anglais, capturées par les deux photographes, résonnent pourtant de façon troublante.
François Hébel revient dans un texte inédit sur cette « réconciliation » avec Henri Cartier-Bresson permise par l'image, ainsi que sur cette région géographique tant arpentée. Une nouveauté qui trouve pleinement sa place dans la collection Delpire Classiques.
Brassaï, c'est le nom que s'est choisi à Paris le Hongrois Gyula Halász pour signer ses premiers tirages, en hommage à son village natal de Brassó, dans les Carpates.
Celui que rien ne destinait à la photographie y arrive sur le tard, d'abord pour illustrer ses articles - il écrit pour des journaux hongrois et allemands -, puis pour immortaliser les nuits parisiennes qui le fascinent. Dans les ruelles sombres, les cafés, les bals, les maisons closes, Brassaï, « l'oeil vivant » de la photographie comme l'a si bien qualifié son ami l'écrivain Henry Miller, traque la beauté partout. À l'aise dans les soirées mondaines comme dans les bals populaires, fréquentant les artistes de Montparnasse et les canailles du quartier Italie, il a fixé pour l'éternité le Paris fiévreux des années trente.
Pour autant, Brassaï ne saurait être réduit à ces instantanés du Paname interlope. Comme on le sait, son objectif se braque aussi sur les travailleurs qui exercent, comme il le dit lui-même, des « petits métiers », sur les graffitis qui dévorent les murs de la capitale et qu'il élève au rang d'oeuvres d'art, ou sur ses amis peintres, poètes, sculpteurs et écrivains.
Enfin, des photographies choisies parmi les archives familiales présentent une facette moins connue de Brassaï, qui a voyagé pour la presse internationale aux États-Unis, au Maroc, en Espagne... Des images rares, dont certaines sont ici rééditées pour la première fois depuis plusieurs décennies.
Ce livre rassemble 76 images inédites de la collection de diapositives de Saul Leiter. En avance sur son temps, l'artiste investit la diapositive comme medium dès les années 1955. Le choix s'est porté ici sur les images de "street photography" parmi les 50 000 retrouvées.
Inside the writing rooms of the greatest authors Where did Connie Palmen write Whatever You Say, Midas Dekkers The Way of All Flesh and Herman Brusselmans Fear of Water During Drowning? Writing rooms provides the answer through text and image, and allows readers a glimpse of the working environments of forty-five of the most illustrious names in Dutch and Flemish literature. Surprising, poetic, bibliophilic and occasionally demystifying... a literary photography book.
When it comes to foreign visitors or artists, North Korea must be the most restrictive country in the world. Nevertheless, Carl De Keyzer managed to cross the entire country in 42 days, divided into three journeys. In his latest book, Magnum photographer Carl De Keyzer points his lens at North Korea, officially the Democratic People's Republic of Korea, the last communist state in the world from an ideological, political and cultural perspective.
De Keyzer is one of very few photographers who get almost-unlimited access to the country. He photographed more than 200 different locations, many of which had never been captured on camera before. The 250 photos that form his 'Grand Tour' - taken on marches, at the shooting range, in the subway and in family homes - are a testament to this country's uniqueness.
Instagram est plus populaire que jamais. Chaque jour, la moitié du monde poste en moyenne 80 millions de nouvelles photos sur ce réseau social. Insta Grammar en fait une sélection.
Dans City, vous découvrirez les photos et les panoramas les plus originaux capturés dans les villes du monde entier. Le tout réuni dans un sympathique petit livre. Un vrai bijou !
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Nordic vous emmène dans le Grand Nord à travers de magnifiques photos. Le tout réuni dans un sympathique petit livre. Un vrai bijou !