Robert a passé une très mauvaise journée. Il n'est pas de bonne humeur et en plus, son papa l'a envoyé dans sa chambre. Alors Robert sent tout à coup monter une chose terrible : la colère...
Il était une fois trois vilains brigands. dont la vie changea totalement le jour où ils rencontrèrent Tiffany, la petite orpheline. De trois méchants elle en fit ...des bienfaiteurs de l'humanité.
Quand il était petit, Pierre ne voulait pas manger sa soupe. «Tu sais ce qui arrive aux petits garçons qui ne veulent pas manger leur soupeoe» lui disait son père, «Eh bien, à minuit, la sorcière Cornebidouille vient les voir dans leur chambre, et elle leur fait tellement peur que le lendemain, non seulement ils mangent leur soupe, mais ils avalent la soupière avec.» Pierre s'en fichait. Il ne croyait pas aux sorcières. Mais il faut admettre que son père avait raison sur un point: une nuit, à minuit, dans la chambre de Pierre, la porte de l'armoire s'entrouvrit avec un grincement terrible et Cornebidouille fit son apparition. Allait-elle parvenir à faire peur à Pierreoe Ca, c'était beaucoup moins sûr.
Ses parents l'ont envoyé au lit pour avoir renâclé devant sa soupe de légumes. Mais Pierre est décidé à ruser et à trouver un moyen imparable pour éliminer non seulement Cornebidouille, la sorcière coincée dans les cabinets, mais aussi l'horrible potage de sa propre mère !
Dans La vengeance de Cornebidouille, Pierre avait réussi à faire manger sa propre soupe à l'abominable Cornebidouille, ce qui l'avait illico transformée en potiron. Mais une sorcière se résigne-t-elle à sortir de la vie de ses victimes ? Non ! Plus tard, quand sa maman coupe en deux un poti ron pour le dîner et qu'aussitôt une odeur épouvantable se répand, Pierre a une intuition : Cornebidouille est de retour. Il ne se trompe que sur un détail. À présent, elles sont deux et elles veulent se venger. Il va encore falloir ruser !
Après "La Grande École" et "Le Secret des parents", Nicolas Mathieu signe un nouvel album empli de sensibilité, de nostalgie et de tendresse sur ce qui se joue là de l'enfance et de la paternité. Un dialogue malicieux et touchant, sur la complicité entre un fils et son père qui le regarde grandir, inexorablement.
Dans un épisode précédent, Cornebidouille et son double Cornebidouille avaient échoué dans la poubelle, comme de vieux déchets vaincus. Décidées à se venger, elles se réunissent, forment un grain de poussière et hop ! grimpent sur la tête du petit Pierre...puis dans son gosier. Le malheureux enfant ensorcelé se met à parler très bizarrement. Il traite le docteur venu le soigner de " Prout de chamois "...
Oh là là, au secours, danger ! Heureusement, petit Pierre a plus d'un tour dans son sac. Ce n'est pas encore cette fois que Cornebidouille gagnera !
- Dis, maman, est-ce que tu m'aimeras toute la vie ? demande Archibald, un soir avant de s'endormir - Hum, eh bien, je vais te dire un secret., répond sa maman.
Ainsi commence le tendre inventaire des moments de vies partagés entre une mère et son enfant, où tout devient prétexte à s'aimer.
Sur chaque double page, Astrid Desbordes a choisi d'opposer en vis-à-vis des situations contraires, qui jouent avec aisance sur les registres du quotidien et de l'imaginaire, de la poésie et de l'humour. Le message de cet irrésistible album est simple et limpide : l'amour est constant et sans condition. Mais c'est dans la toute dernière phrase que se cache le véritable secret : « Je t'aime parce que tu es mon enfant / mais que tu ne seras jamais à moi. » Les illustrations de Pauline Martin, subtiles dans le trait comme dans la couleur, soulignent avec force la délicatesse de cette formidable déclaration d'amour.
« Pondre, toujours pondre ! Il n'y a pas que çà dans la vie ! Moi je veux voir la mer ! » s'écrie Carméla, la petite poule blanche. Son père, le coq, n'a jamais rien entendu d'aussi fou. « File au lit », ordonne-t-il à la poulette. Mais Carméla n'arrive pas à s'endormir...
L'autre jour, un truc terrible est arrivé à mes doudous. Ça s'est passé quand j'étais à l'école, c'est Berk mon canard qui me l'a raconté. Une espèce de patate molle est entrée dans la chambre. Personne n'y a fait attention. Et puis. GLOUP ! elle a avalé Lapinot ! Et elle a pris la forme de Lapinot ! Tous mes doudous l'ont observée et ils ont compris: c'était un Mange-doudous! À partir de ce moment-là, ça a été l'affolement général.
Voici l'histoire de Cécité Malaga, jeune artiste funambule aveugle, adulée du public. Qui est-elle ? D'où vient sa cécité ? Quelle destinée légendaire porte>t-elle ?
Benjamin Lacombe écrit et illustre une histoire concise et mystérieuse, parée des lumières du spectacle. En proposant un astucieux montage de pages de calques, il joue avec des zones sombres, de flous, des éclaircissements, des dévoilements, et nous donne à voir le trouble dans lequel vit Cécité.
Des vernis posés avec parcimonie nous invitent à toucher et ressentir sans voir, faisant de cet album unique une réflexion sensible sur les sens, sur la puissance des souvenirs.
Une atmosphère atemporelle, un personnage féminin aveugle au passé énigmatique, une palette « matièrée », émeraude et opalescente, s'élargissant au fur et à mesure de la narration et de la résilience, une dramaturgie et un séquençage poignants, des effets visuels : chacun, chacune, pourra se délecter de cet album unique, conçu par le créateur et concepteur accompli qu'est Benjamin Lacombe.
« Un jour, mes parents m'ont dit que j'allais avoir une petite soeur.
C'est drôle, je ne me souvenais pas leur avoir demandé. » C'est Archibald qui nous fait cet aveu en introduction du nouvel album de Pauline Martin et Astrid Desbordes, qui reprennent ici le personnage de Mon Amour dans le rôle d'un grand frère curieux mais dubitatif face à l'arrivée d'une petite soeur avec laquelle il va désormais devoir compter.
Au fil des pages, la petite soeur grandit, trouve sa place dans les jeux, dans le coeur, mais aussi dans les inquiétudes d'un grand frère parfois jaloux, souvent tendre et finalement très fier de ce rôle nouveau. Car, nous dit Archibald, « ce que je préfère avec ma petite soeur, c'est être son grand frère ».
Astrid Desbordes nous surprend une nouvelle fois par la subtilité et l'humour de son propos, remarquablement soutenu par les illustrations de Pauline Martin.
La vie s'épanouit autour de nous, sur la terre. Mais quels univers se cachent au-dessus de nos têtes, dans les arbres, sur les toits, les monts enneigés, dans l'espace ?
Un livre animé original pour découvrir ce qui se passe de plus en plus haut !
Une nuit, les habitants du poulailler sont tirés de leur sommeil par des bruits inquiétants en provenance du grenier. « Des voleurs de poules ! » s'écrient les enfants terrifiés. Carmélito et sa soeur Carmen décident d'affronter les intrus. Les P'tites Poules vont découvrir ce que c'est que d'avoir des voisins pénibles...
Approcher les étoiles ! Depuis qu'il est sorti de son oeuf, Carmélito, le petit poulet, ne rêve que de ça. Oui, mais comment faire quand on n'est qu'un minuscule poussin face à l'Universoe A coeur de poulet, rien d'impossible !
La rivière qui serpente près du poulailler des P'tites Poules a pris une teinte pas très ragoûtante. Carmen, Carmélito, Bélino et tous leurs copains hésitent à s'y baigner. Pire ! De ces eaux hier encore si claires monte une odeur infecte...
Vous rêvez de savoir à quoi ressemblent les extraterrestres ? Eh bien moi, je sais, et je vais vous raconter. Tout a commencé le jour où j'ai gagné le concours de dessins de la boîte de céréales. Premier prix ? Le droit de monter à bord du vaisseau de la planète Gluk, tombé à l'eau et repêché l'an dernier. En croyant allumer les toilettes, j'ai déclenché le décollage et je suis partie visiter la mystérieuse planète ...
Mais où s'arrêtera-t-elle ? Rébecca Dautremer n'a pas fini de nous conter sous mille facettes la vie de son lapin Jacominus Gainsborough. Après ses Riches Heures, puis la belle attente de son rendez-vous à Midi pile, elle a décidé de suspendre le temps : voici tout ce qui se trame autour de Jacominus à cette toute petite seconde qui verra son destin basculer, lorsqu'il fait sa méchante chute dans l'escalier qui lui vaudra une patte folle. Si le temps se resserre, le décor lui, s'élargit. Il prend même une envergure spectaculaire. Dans un dépliant de plus de 2 mètres, l'artiste déploie une fresque à la Brueghel où le lecteur captivé pourra se plonger durant de « riches heures ».
Il y découvrira 100 micro-fictions savoureuses, contées dans un livret glissé dans une pochette, en ouverture. L'autrice a en effet imaginé ce que vivent, à cette même seconde, pas moins de 100 personnages ! Moments étranges ou joyeux, graves ou drôles, qui conjugués les uns aux autres aboutiront par un effet papillon à la fameuse petite chute.
À chaque micro-fiction correspond un numéro ; on pourra retrouver ces 100 chiffres au verso du dépliant, disséminés sans ordre apparent dans le dessin au trait de la fresque principale.
Petite aide ludique, s'il en faut, pour relier les 100 histoires de vie du livret à cette peinture monumentale !
Au recto : la grande fresque en couleur.
Dans le livret : les 100 micro-fictions, avec portrait dessiné de chacun des 100 personnages.
Au verso : le dessin au trait, avec les numéros pour jouer à repérer les 100 personnages et situations.
Les petites poules ont le gésier dans les talons. Au poulailler, plus le moindre grain de blé à picorer ! Pire, une rumeur court dans la basse-cour : une horrible bestiole venue du fond des âges serait la cause de cette famine ! Carmen, Carmélito et Bélino réussiront-ils à s'en débarrasser ?
Un jour de tempête, les chiens pirates découvrent un mystérieux parchemin signé Barbechat, le plus redoutable et le plus sanguinaire de tous les flibustiers. Quiconque viendra à son secours remportera gloire et fortune. Bravant tous les dangers, les chiens pirates partent à l'aventure et rien ne pourra les arrêter, pas même les mises en garde du cachalot, de la Bigoudène sympa et des sirènes qui croiseront leur chemin. Après, tout, n'est-ce pas eux les meilleurs, la terreur des cinq océans, la pire canaille ayant jamais navigué ? Alors en avant, mes gaillards, en route pour la victoire !
Une aventure en sept chapitres à lire chaque soir de la semaine.
Il était une fois un petit lapin qui ne savait dire qu'une chose : CACA BOUDIN ! Du matin au soir et du soir au matin : CACA BOUDIN ! À l'heure de la soupe et à l'heure du bain : CACA BOUDIN ! Il manque un loup à cette histoire, le voilà, tiens : CACA BOUDIN !
Classe de mer pour les petites poules ! Carmélito, Carmen, Bélino et leurs amis ont débarqué sur une île merveilleuse. Dans ce pays béni des dieux, friandises et douceurs vous tombent généreusement dans le bec. Sans parler des collines de pop-corn et des rivières de menthe à l'eau glacée. Et ici, tout est gratuit ! Un vrai paradis. Mmouais. Peut-être trop beau ?
Une petite souris se promène dans la grande forêt. Sur son chemin, elle croise le renard, le hibou et le serpent qui la trouvent bien appétissante et l'invitent à déjeuner chez eux. Mais la petite souris, très maligne, refuse leur invitation car elle a rendez-vous avec un... gruffalo ! C'est bien mystérieux, un gruffalo...
Une histoire pleine d'humour qui amusera tous les enfants.
C'était l'été, Laurent s'ennuyait. Il demanda la permission d'aller jouer dehors. « Après tout, tu es grand, maintenant, dit sa maman. Joue dehors, mais ne dépasse pas la barrière.» Laurent alla jusqu'à la barrière... et un tout petit peu plus loin. Et le lendemain, il dépassa le châtaignier. Quand on commence à grandir, c'est pour de bon.