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Impressions Nouvelles
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Kiss & Cry ; un spectacle de Michèle Anne de Mey et Jaco Van Dormael
Thomas Gunzig
- Impressions Nouvelles
- Traverses
- 19 Août 2012
- 9782874491481
Kiss&Cry réunit le texte poétique de la voix off du spectacle éponyme, écrit par le romancier Thomas Gunzig, et de nombreuses images tirées du spectacle. On peut le lire comme le souvenir ou la promesse d'un spectacle exceptionnel. On peut aussi l'apprécier comme une oeuvre à part entière.
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Trois destins : ayub, chrétien d'un pays musulman condamné à mort au nom de la charia sous l'accusation de blasphème ; henriette, femme de la campagne française, emprisonnée pour avoir tué son mari au terme de décennies d'humiliation et de grossesses infligées ; malik, jeune prostitué appliqué à sa propre perte.
Séparées par le temps, la géographie, les cultures et les religions, soutenues ou tourmentées par les figures des mères, de la tante, du mari, du délateur, du client, de l'évêque, du transparent, et enfin de daniel, ces vies ne sont que trois des innombrables fibres qui composent la tresse universelle de l'oppression - qu'on la subisse de l'autre ou se l'inflige soi-même. entrecroisant les motifs, les époques, les situations, les rôles, les discours, les niveaux de langage, les rythmes..., multipliant les effets de chevauchement et de réverbération, la tresse n'est pas seulement le thème central et le titre de la pièce : elle en constitue la structure même.
"mon dieu c'est infernal, j'ai le cerveau tout entier habité par une corde, une corde épaisse, hideuse, et qui se moque." (la mère d'ayub)
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Sur glane
Christian Rullier
- Impressions Nouvelles
- Theatre Impressions Nouvelles
- 14 Janvier 2003
- 9782906131576
À la fin de la guerre, les Nazis ont détruit un village et massacré ses habitants : les hommes ont été fusillés, les femmes et les enfants brûlés vifs dans l'église... De rares personnes ont cependant réussi à échapper à la mort. Sur Glane se passe de nos jours dans le village reconstruit surplombant ses ruines. C'est une comédie psychologique sur le malheur, lorsque celui-ci n'est plus qu'une attitude, un mode de vie, une série de comportements officiels, complaisants, qui masquent, parfois, des secrets peu avouables...
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Dernieres outrances
Christian Rullier
- Impressions Nouvelles
- Theatre Impressions Nouvelles
- 14 Janvier 2003
- 9782906131583
En 1987, Le Fils, écrivain cyclothymique, débauché et caméléon faisait son apparition dans la pièce éponyme de Christian Rullier.
Avec Dernières Outrances, un nouveau chapitre s'ouvre dans cette aventure littéraire et théâtrale. En effet, des centaines de textes écrits de la main du Fils ont été retrouvés par Christian Rullier. Tous ces textes n'étaient pas publiables et certains étaient illisibles. De ce tas de feuillets anarchiques à la chronologie malmenée, seules 150 pages environ ont pu être sauvées et triées, donnant ce qu'on pourrait appeler les "confessions" du Fils.
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Avec toute mon admiration
Christian Rullier
- Impressions Nouvelles
- Theatre Impressions Nouvelles
- 11 Mai 2003
- 9782906131644
AVEC TOUTE MON ADMIRATION Actrice célèbre de théâtre et de cinéma, Mademoiselle Éléonor Ravel a travaillé dans le passé avec les plus grands metteurs en scène. Aujourd'hui, Éléonor vit dans un très bel appartement du 16ème arrondissement. Un récent regain d'intérêt à son égard la rend plus joyeuse et plus dynamique que jamais.
Un jour, Éléonor accepte de recevoir chez elle un "jeune auteur", Christian Le Fils, la quarantaine, qui lui propose le rôle principal de sa nouvelle pièce. Ce rôle, il l'a écrit pour elle, en rêvant d'elle, en entendant sa voix. Son admiration pour cette femme est énorme, passionnelle. Éléonor est bouleversée par cette intrusion dans sa vie, à un moment où elle ne sait que faire de cette passion ambiguë. L'admiration qui tue, tel est le thème de cette histoire.
ATTENTAT MEURTRIER A PARIS Katharina, la quarantaine, atteinte d'un mal incurable, décide de mourir accompagnée par le plus grand nombre afin que les médias parlent d'elle. A-t-elle réellement déposé une bombe dans un lieu public pour théâtraliser sa fin ou cette bombe n'est-elle que la déposition publique d'un phantasme explosif ? De passage dans la chambre conjugale après l'acte fatal, Kayharina est-elle toujours vivante, ou n'est-elle plus déjà que le rêve de l'homme d'affaires qui dort, son pauvre mari au planning surchargé, qui n'a pu juguler le drame ?
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Ce recueil rassemble quelques dizaines de sonnets et une poignée de rondeaux.
Chaque texte est consacré à une rue de bruxelles, un tram ou un autobus, que l'auteur a un jour empruntés. en somme, il s'agit d'un recueil de promenades : une manière d'herbier urbain où, au rythme des décasyllabes archirimés qui se succèdent de poème en poème, sont consignées telles ou telles observations ou le hasard de faire en traversant des quartiers souvent familiers, parfois insolites. et comme un hasard en appelle toujours un autre, chaque promenade (à l'exception du poème d'amour qui se trouve au centre exact du livre : l'amour est unique, chacun le sait), trouve son écho dans une promenade correspondante.
Bien entendu, un index détaillé des rues promenées clôt ce livre.
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Il faut construire l'hacienda
Jean-Marie Apostolidès
- Impressions Nouvelles
- Theatre Impressions Nouvelles
- 1 Avril 2006
- 9782874490101
Au départ de cette pièce, une anecdote historique, la rencontre en août 1959 entre Pierre Elliott Trudeau, futur homme d'État, et Ivan Chtcheglov, ancien membre de l'Internationale lettriste. Ils sont l'un et l'autre sur une trajectoire opposée, Trudeau à la veille de devenir Premier ministre du Canada, Chtcheglov, familier des hôpitaux français où devait se passer le reste de sa vie.
Si nous ne savons rien de ce que ces deux hommes se sont dit, on peut imaginer leur préoccupations cet été-là; Trudeau, directeur de La revue Cité Libre, songe à entrer au Parti libéral, c'est le début de sa carrière politique. Chtcheglov est encore sous le choc de son départ du mouvement lettriste en 1954. Cinq ans après leur rupture, Debord a souhaité une réconciliation ; il a même invité son ancien compagnon de dérive à participer au groupe situationniste qu'il vient de fonder. Mais Ivan boude et se croit persécuté par le leader situationniste. Malgré la maladie, il tente désespérément de demeurer fidèle à ce qu'il était en 1953-54. La rencontre entre Trudeau et Chtcheglov m'a parti exemplaire, l'un et l'autre incarnant deux conceptions différentes de la vie. Au-delà de l'opposition entre une vision politique du monde et une vision poétique, deux approches du théâtre s'affrontent également au cours de cette nuit d'ivresse. La première, héritée du classicisme, s'appuie sur la fiction et l'illusion théâtrale ; elle est défendue par l'infirmier d'Ivan, un acteur raté. La seconde, dans la lignée du théâtre de la cruauté, cherche à retrouver la dimension sacrée à l'origine du cérémonial théâtral. C'est Ivan Chtcheglov, grand admirateur d'Artaud, qui s'en fait le promoteur.
J. M. A.
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Casa mama desperado
Christian Rullier
- Impressions Nouvelles
- Theatre Impressions Nouvelles
- 5 Novembre 2015
- 9782874493164
Casa Mama Desperado, ce sont 8 rencontres nocturnes improbables entre une mère atteinte de la maladie d'Alzheimer et son fils peut-être déjà mort, entre rêve et cauchemar, entre mémoire et imaginaire, entre un homme qui se souvient de tout mais qui peut-être n'existe plus et une femme qui perd la tête et invente peut-être, ou bien est inventée.Est-ce le Fils écrivain qui imagine ces visites ? Est-ce la Mère qui les revit par bribes et élabore cette mise en scène ? Qu'importe. L'écriture est en marche avec ses variations, jouant des trous et des trop-pleins, déliant la langue de ce qui n'a pu se dire entre deux êtres que tout sépare, perdus l'un à l'autre, mais à jamais réunis dans la fiction de la mémoire et les vertiges du temps.
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Un crépuscule admirable ; rarogne
André Sarcq
- Impressions Nouvelles
- Theatre Impressions Nouvelles
- 22 Février 2008
- 9782874490422
Une cave, la nuit.
Un homme en cagoule y séquestre un autre homme, et lui annonce qu'il y restera six mois. dans la perspective de la mort proche de l'un d'eux, et sous la menace d'un pistolet qui change de mains, la confrontation entre kidnappeur et kidnappé dans toute sa violence remettra au jour un amour ancien, renversant les pôles de la fascination et de la haine, de la culpabilité et du pardon. espace grand ouvert de roche, de vent et de lumière, rarogne est une bourgade des alpes suisses dont l'église médiévale porte à son flanc la tombe de rainer maria rilke.
Ce haut lieu sera celui d'une autre confrontation entre deux êtres, celle-ci tenue, comme en abyme, sous l'éclairage de l'oeuvre majeure du poète allemand : les élégies de duino. et c'est autour d'un chaton de noisetier que graviteront les questionnements ultimes sur le sens, ou l'absence de sens, de la douleur. deux poètes, deux espaces, deux temporalités, deux destins, mais un seul et même drame, contemporain, noué autour d'une question à perpétuité insoluble : détruire est-il encore aimer ?
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La Paix du ménage
Guy De Maupassant
- Impressions Nouvelles
- Theatre Impressions Nouvelles
- 29 Avril 2003
- 9782906131606
La Paix du Ménage, dont l'action est située à Paris en 1890, est un condensé de la comédie de boulevard. Trois personnages : le mari (M. de Sallus), la femme (Mme de Sallus), celui qui n'est pas le mari (M. Jacques de Randol). Le mari volage décide de reconquérir son épouse au moment où celle-ci s'apprête à fuir avec son amant. La pièce se joue en les quelques heures qui séparent cette décision d'un revirement aussi inattendu qu'aigre-doux.
Le portrait de la bourgeoisie que brosse Maupassant est d'abord amusant, mais devient vite ambigu, puis très cruel, et il n'hésite nullement à monter en épingle la lâcheté des hommes.
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Comme le mot neige
André Sarcq
- Impressions Nouvelles
- Theatre Impressions Nouvelles
- 1 Mai 2006
- 9782874490125
Deux immigrés, un peintre en bâtiment arabe condamné par sa seule bienveillance fondamentale, et un mathématicien chinois acculé à la trahison; une femme tout amour et qui, flouée dans cet amour, s'inflige l'humiliation publique; un homosexuel raciste passionné de poésie, et dont la maladie ronge progressivement la beauté; un autochtone modèle d'intégrité désarmée et vaine. Tous protagonistes d'une inextricable mêlée de dégoûts des autres et de dégoûts de soi, d'une battue d'amours sans issue en lisière d'embrasement.
L'allumette, le mot.
Le mot à la croisée des dégoûts, quand il les nomme tous, de sa justesse incendiaire. Le mot qui traque chacun, le traque à mort, mot masqué qui peut être n'importe lequel - aussi bien ballon, dieu, lapin, ou neige.
Dans une cité d'aujourd'hui, sous le ciel justifié d'un contradictoire constat d'innocence .
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Nous nous dirons donc vous
André Sarcq
- Impressions Nouvelles
- Theatre Impressions Nouvelles
- 1 Mai 2006
- 9782874490132
En ce début de XXIe siècle, en France, au coeur d'un juillet que gagne un froid mordant.
Une femme et un homme, dans la trentaine, se croisent dans un parc.
C'est leur première rencontre; ils vont se livrer un combat qui les engage au plus élevé, et au plus trouble, de leurs amours respectifs. Toute la violence s'en concentrera dans celle de l'abandon, infligé ou subi.
Ce combat sans merci n'est pas sans raison, et le hasard n'y tient nul rôle.
Le lieu de l'affrontement: les soixante pages du seul texte publié par leur auteure, Marcelle Sauvageot.
Ce texte, paru pour la première fois sous le titre de "Commentaire" en 1930, a fait l'objet d'une nouvelle publication en 2004 (aux éditions Phébus), sous le titre de "Laissez-moi".
Marcelle Sauvageot est décédée le 6 janvier 1934.
C'était à la tombée du jour, au sanatorium de Davos, en Suisse.
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La ressemblance ; la feintise
Jean Lahougue, Jeff Edmunds
- Impressions Nouvelles
- 27 Mai 2003
- 9782906131613
Quelle surprise pour le célèbre écrivain Vladimir N. lorsqu'il découvre, à la Bibliothèque de B., son parfait sosie. Son projet d'user de cette ressemblance pour disparaître va entraîner une curieuse méprise. Ainsi peut se résumer le premier récit troublant de cet ouvrage.
La seconde histoire, non moins troublante, est signée de Jeff Edmunds, traducteur anglais de La Ressemblance. Elle met en scène un dénommé J. L., lecteur chez le célèbre éditeur G. Dans le double dessein d'acquérir de l'argent et de conquérir une nouvelle liberté, J. L. s'approprie un manuscrit arrivé par la poste : La Ressemblance d'un certain. Jean Lahougue. L'usurpateur use de toutes les ruses pour supplanter l'auteur véritable mais celui-ci va bientôt découvrir la supercherie. Ainsi "Jean Lahougue", poussé aux dernières extrémités, va être aspiré dans un mortel vertige.