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Mon Petit Editeur
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Ils descendent des étoiles, crèvent les nuages et atterrissent sur les planches d'un théâtre. Ils revivent un instant mémorable et font une rencontre inespérée avec leurs descendants... 11 novembre 1918, 7 h 30 du matin. L'armistice a été signé. Dans le poste « Alizé », six poilus rêvent de l'annonce du cessez-le-feu. Ils étalent leurs sentiments et parlent de leurs projets. Tout est calme autour d'eux, mais ils sont toujours en guerre et ignorent quand le clairon sonnera. Dans le même temps, dans une ferme provençale, la famille de l'un des poilus déjeune dans la pièce à vivre. Quelques femmes dignes et courageuses y tiennent la plus grande place. Le lien historique avec la trame du texte est très présent. Le parler du poilu apporte de l'humour en opposition au côté dramatique. Le but de la démarche de l'auteur : chasser l'oubli en rendant hommage à une génération sacrifiée au nom des valeurs qu'elle a représentées.
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""Les Crocs-niques de Leblanc" est une pièce de théâtre à deux faces. Pile, c'est une chronique de la Liberté ; où se joue la troublante et/ou sanglante quête définitionnelle des hommes et des peuples. Face, c'est une chronique de l'altérité ; où est mise en scène la ritournelle du développement, avec ses débats et/ou ses combats perpétuels. À la fois frappante et hilarante, cette fresque dépeint les acteurs multicolores -à peine caricaturés- qui continuent de faire, de refaire et de défaire notre monde suspendu entre traditions et Mondialisation. Vivement, que cette pièce puisse éclore sur les planches." (Hermann Hokou)
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De quoi s'agit-il ? Amsata est un jeune homme tout ce qu'il y a de plus séduisant, juché au sommet de la réussite sociale. Il aime Oulimata et en est violemment aimé. Mais voilà que les jeunes gens se trouvent coincés entre deux exigences : celle d'une séparation douloureuse mais nécessaire et celle d'une liaison dont le ressort plutôt social, voire mondain, n'a rien à voir avec l'amour, sinon celui ô combien fort d'Oulimata, « l'agneau du sacrifice ». Et le tout de baigner dans une atmosphère sordide, sur le gigantesque plateau d'un piège à... rats. « Le plaisir m'est interdit » est un drame social où parfois le goût de paraître prime sur la morale et les exigences religieuses. Dans ce jeu de fantômes, même l'amour filial se trouve violenté, abâtardi.
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1999 Après une séparation, un couple décide de passer les vacances de la Toussaint dans leur maison familiale en Irlande, à Waterville, dans le comté du Kerry. Fergus O'Malley est irlandais, doté d'un caractère impossible, maniant volontiers un humour sarcastique ou - devrions-nous dire - un cynisme hors pair. Clothilde, sa ravissante épouse française, est née Castel de Saint-Mirant, issue de la bourgeoisie française. Elle semble subir difficilement le caractère ombrageux de son époux. L'arrivée d'une « chief inspector » à la recherche d'un escroc notoire, et celle plus improbable d'un personnage sous les traits d'un homme séduisant, auquel va s'ajouter la cocasse Brenda, vont rendre le séjour quelque peu mouvementé...
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Le balcon de Madame M'Bana - Comédie Imaginons que toutes les personnes qui tombent sur le balcon de Madame M'Bana deviennent meilleures. C'est ce qui arrive dans cette comédie qui ne se prend jamais au sérieux. Les personnages, souvent, forcent le trait car ils sont conscients d'être dans une pièce et l'auteur n'est jamais loin. On peut y ajouter quelques « clins d'oeil » à des pièces ou des films dits « cultes »... Mourir pour Octaff - Tragédie Dans un pays imaginaire (mais dont un discours du Maréchal Pétain fait penser à la France) quelques personnages se retrouvent dans un bistrot au moment où les troupes du tyran Octaff surgissent. Cette pièce montre l'évolution des caractères des personnages dans ce « huis clos » où l'insouciance initiale va laisser la place au drame. Comment vont réagir le patron juif du bistrot, le curé, la prostituée, le militant anarchiste et même les soldats d'Octaff ?
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Cette pièce met en scène Delgrès (1772-1802) lors de sa révolte contre l'esclavage qui s'achève par un suicide collectif. En 1802, le Premier Consul s'apprête à rétablir, aux Antilles, l'esclavage qui avait été aboli huit ans plus tôt par la Convention. Il y envoie toute une escadre commandée par le général Richepance. Comprenant la menace qui pèse sur la liberté des anciens esclaves, Delgrès refuse de se soumettre. L'auteur relate ici les actions, les pensées, bien entendu, fictives (mais basées sur des faits réels et historiques) du héros noir. Tarant, quant à lui, est un personnage fictif ajouté à cette histoire pour permettre une plus grande liberté d'écriture.
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Démocratie, quand je t'ouvre mon coeur
Patrick Mushobekwa
- Mon Petit Editeur
- 21 Décembre 2016
- 9782342059342
À tous ceux qui marchent la tête haute l'air libérés de leur conscience, Allégés du poids de leurs fautes par un système cultuel qui les rend héros d'une histoire montée de toutes pièces, oubliant que loin derrière subsiste le poids de leurs chaînes, prisonniers de leur héritage ancestral. Pourtant, le chemin qui mène au paradis est semé de bonnes intentions... Notre responsabilité commence par la conquête de notre dignité... Vivre est une chose, devenir vivant en est une autre. Le langage a beau être clair, la parole peut être délivrée, mais si l'auditoire est sourd, si l'assemblée est muette, si le lecteur ne saisit pas les mots, s'il ne se transforme pas pour devenir à son tour créateur, acteur, alors notre oeuvre annonciatrice est veine. Voyez-vous, le pouvoir, la liberté, la justice, la paix... sont vides de sens s'il n'existe pas des institutions et des hommes qui les défendent. L'ennemi que nous combattons n'est pas étranger, il n'est pas à l'extérieur de nous, il est en nous... Comprenne qui pourra.
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La Réunion, le phare de Sainte-Suzanne, 7 juillet 2017. Gabriel, comédien, a donné rendez-vous aux sept femmes de sa vie. À chacune d'elle il dira sa douleur. Comme une lame de fond. Lancinante. Déferlante. Entre ciel et mer, la beauté sauvage de l'environnement fait écho à son tumulte intérieur...
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Astrid Montre-moi ce que tu as dessiné. (Elle prend la lanterne et se dirige vers Henri. Il ouvre son carton et Astrid prend la feuille en main) Je ne vois que quelques traits, ce n'est qu'une esquisse. Comment vas-tu pouvoir terminer mon portrait. Et puis comment as-tu fait pour dessiner, tu étais dans le noir, il n'y avait aucune lumière pour éclairer ton papier. Henri Ce que j'ai tracé, Astrid, c'est la partie invisible de toi-même, je n'avais pas besoin de lumière. Ce soir, je t'ai demandé de mettre la lanterne près de toi, en fait elle n'était pas indispensable. Dans l'obscurité, ma main aurait fait ce croquis, celui que tu as sous les yeux. Tu es une femme insaisissable... (Soupçons - Acte II, scène 2)
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DANAE Il y avait sur sa peau Ce goût d'interdit Dans lequel nous nous sommes perdus Sans rien dire Dans le plus grand des silences Comme si c'était La chose la plus naturelle du monde Mes mains glissant dans les cheveux Les siennes dessinant Des formes que je n'avais pas envie de deviner Et que je laissais glisser Le long de mon dos Sans les retenir Elles existaient Tout simplement Sans que quiconque N'ait envie de les arrêter Et deviner Sous la peau Le souffle qui s'accélère Face aux douleurs J'ai choisi de me taire J'ai étouffé mon cri Dans les plis de sa chemise.
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1949. Trois fils se réunissent dans un ancien presbytère situé à Chester dans le Cheshire, « la ville la plus hantée d'Angleterre ». Un jour, ils reçoivent un courrier, un peu lapidaire, de leur père Alfred avec lequel ils sont fâchés depuis de nombreuses années. Ce dernier leur demande qu'ils se réunissent pendant les fêtes de Noël, sans lui, dans un lieu hautement symbolique. À l'issue de cette expérience, il leur promet de leur faire une importante donation. Mais les trois fils se haïssent depuis longtemps. Des secrets inavoués, voire une affaire sordide, vont alimenter les échanges qui s'avéreront violents. Leur intérêt commun pour l'argent et leur cupidité vont les faire se plier au bon vouloir de leur père. À leur grand étonnement, Héliot, Edgar et Brad sont accueillis par une intendante, Céleste, à la personnalité singulière, qui ne prononce pas un mot. Est-elle muette ? Les trois frères sont bien décidés à faire des efforts pour respecter les souhaits de leur père ; des efforts qui seront vite anéantis. À cela s'ajoute bientôt l'arrivée fortuite d'une étrange personne au charme vénéneux, qui va leur faire une déclaration bien stupéfiante...
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Natacha : Votre actrice, j'ai l'impression que c'est moi. L'auteur : Elle ne fait que jouer le rôle que j'ai écrit. Natacha : Ces dialogues semblent parler de ma vie. L'auteur : Nous ne nous connaissons pas. Natacha : Non, bien sûr. Mais je suis troublée, comme si mon passé se jouait de nouveau devant mes yeux. Comme si j'étais le témoin de ma propre vie. Je suis cette observatrice extérieure qui voit se jouer une tranche de vie, et qui prend conscience au fil des répliques que cette vie est la sienne. Natacha vient d'être embauchée dans un théâtre comme régisseur lumières. Un auteur énigmatique y met en scène sa propre pièce. Au fur et à mesure des répétitions, un lien se crée entre les deux protagonistes. Peu à peu, la jeune femme va imposer sa réalité. Son histoire va devenir l'histoire des personnages de la pièce. Elle va donner à l'auteur la force d'exhiber sur la scène les larmes et le sang.
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Sarah est fiancée à Frédéric et va pour la première fois rencontrer ses futurs beaux-parents. Mais très vite l'appréhension cède la place au malaise quand elle découvre son beau-père, Jean. Un malaise qui la glace et la ramène des années plus tôt, un soir d'hiver à Grenoble sous la neige... Et si ces retrouvailles n'étaient pas le fruit du hasard ?
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À la suite d'un accident, le Président d'une République se retrouve prisonnier d'une île enchantée, sans aucun moyen de communiquer avec le continent, si ce n'est par le moyen d'une télévision qui lui retransmet le journal télévisé.
Dans l'île vivent aussi des migrants, chassés de leurs terres par la faim ou la guerre, et qui n'ont qu'un seul désir: passer sur le continent et y commencer une nouvelle vie.
La pièce est la rencontre de ces mondes. À partir de ces thèmes tragiques, la pièce se veut une occasion d'espoir, de poésie et d'images baroques: l'Île est enchantée, l'histoire l'est aussi.
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Le réveil est brutal pour Jack Burn. Attaché à une chaise au côté de Walter, son garde du corps, tout cela, hélas, est bien réel. Face à lui, une caméra et une voix leur annonçant que, dans deux heures, Jack mourra sous les yeux de millions d'internautes. Désemparés, ils vont donc revivre les dernières vingt-quatre heures à travers un immense flash-back. Qui est cette personne, folle pour certains, génie pour d'autres, qui a kidnappé l'icône controversée du rock et son garde du corps et qui diffuse leur séquestration sur Internet? Et surtout, osera-t-il passer à l'acte en offrant à la rock star une mort... légendaire?
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« MAX. - Contre toute attente naturelle, je ne fis pas de cet épisode un symbole ou un totem. Ce n'était pas mon genre de me prosterner devant l'autel de mes souvenirs de jeunesse. Je cherchais avec davantage de ferveur le sel nouveau de la vie que le vieux goût sucré d'une pâtisserie d'enfance. En définitive, je n'envisageai jamais de poursuivre des études en science du vivant, et encore moins d'épouser la carrière de l'entomologiste, pris entre les rhinites allergiques de la poussière des archives, des musées délabrés, ou des antiques bureaux, et de celle du pollen et des graminées des joyeuses prairies. Non, j'ai... tourné cette page, comme j'en ai tourné beaucoup d'autres après. Sans état d'âme. Voilà qui me caractérise toutes époques confondues, le fait d'être sans état d'âme. À douze ans, j'ai rangé au grenier tous les livres, toutes les brochures et illustrations sur les papillons qu'on m'avait immanquablement offerts à chaque fête ; et je n'y suis plus revenu une seule fois. J'ai pris définitivement congé des sphinx à tête de mort, des notodontes porcelaine et dromadaire, des apollons, demi-ducs et soucis, comme du tabac d'Espagne. J'ai également rompu mes fréquentations étroites autant avec l'échancré qu'avec la nonne, et mis fin sans appel à mes désirs secrets pour l'orgye pudibonde.»
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« Charlotte Et pourquoi pas ? Je trouve que ceux qui ont commis des actes de terrorisme dans un pays n'y ont plus leur place comme citoyens. Ils s'excluent d'eux-mêmes du pacte social et du vivre-ensemble. C'est aussi pour cela que je pense que l'idée d'instaurer une vraie perpétuité à l'américaine serait de nature à dissuader d'autres terroristes de franchir le pas. Notre système est trop bienveillant. Brahim Parce que tu penses que c'est cela ou la perspective de perdre la nationalité française qui va retenir un malade, habité par un instinct de mort ? Et tu crois vraiment que l'opinion publique en France serait d'accord pour accueillir un terroriste binational déchu de son autre nationalité ? »
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Moi président : les nouvelles fourberies de Tartuffe
Romy Jean-michel
- Mon Petit Editeur
- 12 Juillet 2017
- 9782342154467
Nous sommes en 2017. L'Amérique vient d'élire son président. Le monde découvre ahuri qu'un retour en arrière est toujours possible. En effet, le nouveau maître du monde veut ériger des murs et interdire l'entrée du territoire à des étrangers, suspectés de terrorisme. En France, les citoyens s'apprêtent à élire leur président. Les candidats affûtent leurs stratégies et présentent leurs projets, agrémentés de promesses grandiloquentes. Dans cette course au fauteuil présidentiel, tous les coups sont permis. Et chaque candidat affirme détenir la solution magique pour sortir le pays de l'impasse. À la vigilance, citoyens ! Tartuffe est de retour. Romy Jean-Michel s'inspire de l'actualité, en marge de l'élection présidentielle, pour planter des personnages fantasques, imbus de leur personne, et profondément malhonnêtes. Moi Président : Les nouvelles fourberies de Tartuffe est une critique sans concessions, mais nimbée d'humour, au sujet des candidats, assoiffés de pouvoir, qui rivalisent de mensonges, et de petites phrases assassines pour espérer l'emporter sur leurs adversaires. Ses dialogues revisitent les discours de ces « imposteurs », pour mieux révéler leur absurdité, et leur incohérence avec les valeurs de la République.