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Table Ronde
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Nouvelle édition en 2016
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Julien : colombe, mon chéri, je n'ai que toi au monde.
Tu sais que je vais crever de te quitter, mais tu sais aussi que tu ne pourrais plus m'aimer si je faisais quelque chose de laid pour te garder.
Colombe : quelle idée, mon chéri ! je pourrais très bien t'aimer quand même, moi.
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Nouvelle édition en 2018
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Ce volume contient :
L'Alouette.
Becket ou L'honneur de Dieu.
La foire d'empoigne.
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«L'Antigone de Sophocle, lue et relue et que je connaissais par coeur depuis toujours, a été un choc pour moi pendant la guerre, le jour des petites affiches rouges. Je l'ai réécrite à ma façon, avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de vivre.
Oedipe roi, relu il y a quelques temps par hasard comme tous les classiques, quand je passe devant mes rayons de livres et que j'en cueille un, m'a ébloui une fois de plus - moi qui n'ai jamais pu lire un roman policier jusqu'au bout. Ce qui était beau du temps des Grecs et qui est beau encore, c'est de connaître d'avance le dénouement. C'est ça, le vrai "suspense"...
Et je me suis glissé dans la tragédie de Sophocle comme un voleur - mais un voleur scrupuleux et amoureux de son butin».
Jean Anouilh.
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Nouvelles pièces grinçantes
Jean Anouilh
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 19 Avril 2018
- 9782710386865
Ce volume contient : L'Hurluberlu ou le Réactionnaire amoureux (1956), La Grotte (1960), L'Orchestre (1957), Le Boulanger, la Boulangère et le Petit Mitron (1966) et Les Poissons rouges ou Mon père, ce héros (1968).
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Ce volume contient:
Tu étais si gentil quand tu étais petit.
L'Arrestation.
Le Scénario.
Tu étais si gentil quand tu étais petit, L'Arrestation, Le Scénario : les intrigues, les lieux, les époques diffèrent. Chacune de ces pièces reflète l'auteur comme un miroir renvoie, selon les heures et les saisons, les images changeantes d'un même visage. C'est pourquoi elles sont secrètes. Jean Anouilh se révèle ici presque dépouillé des masques comiques ou tragiques derrière lesquels il tente de protéger sa vérité. Ces Pièces secrètes doivent être déchiffrées dans le silence et la solitude. C'est peut-être pourquoi Jean Anouilh, parlant d'elles, a dit, dans un rire gentil : Mes fours...
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L'Hermine. La sauvage. Le voyageur sans bagage. Eurydice.
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Corneille contre Racine. Le premier, tenant du titre, célèbre tragédien. Le second, jeune espoir aux dents longues. Ils vont s'opposer autour des amours impossibles d'une reine d'Orient et d'un empereur romain : un sujet qui, aux yeux du XVIIe siècle, n'a pas tout à fait la dignité d'une tragédie. Un vrai défi ! Chacun esquive à sa manière : Corneille donne une "comédie historique", Racine invente la "tristesse majestueuse" pour draper d'un voile acceptable les grands principes aristotéliciens.
D'un côté, une pièce sans illusions, tout en hésitations, où l'on choisit la gloire contre l'amour : Tite et Bérénice. De l'autre, une grande cérémonie des adieux où il faut redire l'amour pour accepter d'y renoncer : Bérénice. Il y aura un vainqueur et un vaincu. Aux lecteurs d'aujourd'hui de compter les points.
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Ce volume contient : Chers Zoiseaux (1976), La Culotte (1978), Épisode de la vie d'un auteur (1948) et Le Nombril (1981).
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Ce volume contient : L'Invitation au château (1947), Colombe (1951), La Répétition ou l'Amour puni (1950) et Cécile ou l'École des pères (1949).
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Août 1939, autrement dit, à la veille de la guerre.
Dans une petite auberge de la forêt de fontainebleau, deux cinéastes sont en train de travailler à un scénario, tandis qu'hitler vocifère à la radio. l'un d'eux, le metteur en scène d'anthac, ne sait pas qu'il va mourir bientôt. car, à ce moment, le seul scénario prêt à être tourné, c'est la guerre.
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Dans le hall désert du vieux palace d'une petite ville d'eaux de province, débarquent un soir un homme déjà usé par la vie, et un jeune homme qu'il a rencontré à la gare, distante de quelques kilomètres, et qui l'a invité à partager avec lui l'unique taxi qui attendait le train du soir.
Il y a aussi, dans cet hôtel, un petit garçon à demi somnambule qui vient s'endormir chaque soir, dans des fauteuils du hall, pour ne pas rester seul dans la chambre que sa mère, une musicienne de l'orchestre, déserte chaque nuit pour aller retrouver son amant.
Et si ce petit garçon, le jeune homme et cet homme vieilli n'étaient qu'un seul et même personnage, dont l'homme agonisant dans un fossé, après une embardée de sa voiture, poursuivie par celle de la police, revoit la pauvre vie, dans les quelques secondes qui précèdent sa mort ?.
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Date-t-il ? Seul dans son appartement londonien, un homme en proie à l'insomnie explore sa mémoire. A moins qu'il n'invente ?
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Le boulanger, la boulangère et le petit mitron
Jean Anouilh
- Table Ronde
- 15 Janvier 1969
- 9782710322313
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" Vive Henri IV ! Vive notre bon roi ", chantaient les Français en digérant leur poule au pot, tandis que leur souverain contemplait fièrement l'or de ses champs de blé et les flots de soie de ses bombyx.
La Ligue s'était tue. Tout baignait dans le royaume. Le Diable alors, alléché par cette belle paix à mettre à mal, se glissa dans les bagages de Marie de Médicis, partie de Florence pour ses noces royales, en la personne sans grâce ni beauté, mais dangereusement intelligente, de sa suivante Léonora Galigaï, un ange très, très noir. L'ambition de cette fille, décuplée par celle de son amant et complice l'aventurier Concini, fit qu'elle manipula admirablement la reine et, à travers elle, le roi.
Les maquereaux du pouvoir s'affairaient. L'opinion publique à l'âme de midinette voua bientôt un culte à sa nouvelle idole, Concino Concini, devenu amant de la reine et promu maréchal de France ; et, si un certain marquis de Lugnes n'avait pas si bien organisé son assassinat, le sieur Concini, alias maréchal d'Ancre, prenait le pouvoir. La Galigaï arrêtée et condamnée finit décapitée, ses restes brûlés sur un bûcher.
La France avait eu chaud. Cette crise de notre histoire passionna Anouilh ; et il nous la raconte en faisant revivre ses personnages et leurs passions, sur scène, dans un nouveau style à ellipses bousculant le réalisme chronologique, et dans une nouvelle écriture théâtrale, qu'heureux et enthousiaste il expérimentait pour la première fois à l'occasion de ce grand polar historique.
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Apologie d'un mathématicien ; a disappearing number
Complicite
- Table Ronde
- 1 Juin 2017
- 9782710376408
A Disappearing Number prend comme point de départ l'histoire de la collaboration entre le mathématicien anglais G. H. Hardy et le génie autodidacte indien Srinivasa Ramanujan, une collaboration empreinte de mystère et de romantisme.
Superposant plusieurs lieux et époques, les lignes du récit se recoupent à la manière dont deux droites finissent toujours par se rejoindre à l'infini.
La pièce a été créée au Théâtre Royal de Plymouth le 28 mars 2007 avant sa reprise à Londres au Barbican Theatre. Elle a remporté le Standard Theatre Award du meilleur spectacle (2007), le Critic's Circle Theatre Award du meilleur spectacle de création (2008) et le Laurence Olivier Award pour la meilleure pièce de création (2008). En France, elle s'est jouée au Théâtre de Nanterre-Amandiers en 2008.
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"Quelques mois avant sa mort, Anouilh décida de publier Thomas More, comme un post-scriptum. Dans ce texte admirable, à mi-chemin entre le théâtre et le cinéma, il met en scène l'un de ces héros solitaires, cousins d'Antigone et de Becket, qui lui tenaient à coeur, parce qu'ils ont trouvé le bonheur au-delà du désespoir. Thomas More, chancelier, père de famille, ami du roi Henri VII, refuse de signer l'acte de fondation de l'Église anglicane, qui permet au roi de divorcer tranquille. Autant par idéal religieux que par réaction contre la servilité ambiante, trop sérieux dans ses sentiments ou trop léger pour se faire une raison, Thomas ne sait pas mettre son honneur au service de son intérêt, et envisage son sacrifice avec désinvolture puisqu'il a connu la trahison. La pureté intransigeante des petits stimule la corruption des grands, lorsqu'ils se rencontrent. Mais Henri VIII éprouve pour Thomas une amitié réelle qui fera leur malheur à tous deux, chacun respectant trop l'autre pour s'estimer en droit de lui céder. Ils s'enferrent dans leur conflit, et, tandis que le roi, en arrêtant Thomas, a l'impression de se jeter lui-même en prison, Thomas court à sa perte en toute sérénité, sans rancune, dans une solitude têtue aggravée par la bonne humeur, car lorsqu'on a décidé d'aller jusqu'au bout, le chemin paraît moins long, et l'injustice donne des ailes. Thomas perdra sa tête pour n'avoir pas voulu la courber, et Henri VIII en fera tomber bien d'autres, pour racheter celle de son ami. "Il ne faudrait jamais grandir", l'une des phrases-clés d'Anouilh, s'adapte au gâchis de l'âge adulte comme aux revers du pouvoir absolu. De cet affrontement absurde entre deux amis, il restera un éclair de sincérité, de fidélité à soi-même et aux défis de l'enfance, dans la vie sans bonheur d'un roi seul. Avec Thomas More, Jean Anouilh, en sortant, a laissé sa clé sur la porte." Didier van Cauwelaert.
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Le manoir enchanté ; quatre autres oeuvres inédites
Alfred Jarry
- Table Ronde
- 13 Septembre 1974
- 9782710314295