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Triartis
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«Ô Mozart, que tu n'es pas digne de toi-même?!?» jetait Salieri à la figure de Mozart, tout en s'enivrant de sa musique. «?Tu es divin, Mozart, et tu ne le sais pas?», ajoutait-il. «?Bien que divin, j'ai faim?», rétorquait Mozart, en pressentant déjà sa mort. Cette pièce d'Alexandre Pouchkine parut à Saint-Pétersbourg dans l'almanach Les Fleurs du Nord de l'année 1832. L'une des quatre Petites Tragédies du poète, elle s'inspirait de la légende du Requiem et de l'assassinat de Mozart par Salieri, jaloux du don et, plus encore, de la légèreté d'être de son confrère. Pouchkine y posait surtout la question du génie et du mal.
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A partir des lettres adaptées par Didier Goupil, Frida dévoile ses sentiments les plus intimes sur l'amour qu'elle porte à Diego Riveira, sur son état de santé si pitoyable et ses souffrances physiques, sur sa création picturale, sur sa volonté d'être libre...
Un portrait magistral et sans concession de cette femme hors du commun.
« Madame Rivera, vous êtes peintre aussi je crois ? » Non, désolée.
Je ne connais pas de Madame Rivera.
Moi, c'est Frida.
Frida Kahlo.
En effet, je suis peintre.
Et même la meilleure, peut-être.
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Bien sûr, il s'agit ici de la formidable actrice Pauline Carton.
Et quand on sait que c'est' Christine Murillo, aux quatre " Molière", qui dit lit et vit les textes de Carton, ses échanges avec Sacha Guitry mais aussi ceux avec son unique amant, qui plus est poète et genevois, quand on sait qu'il n'y a qu'une table et une boîte en carton dessus, quand on sait qu'on parlera de sexe, d'argent, mais aussi de passion pour les moineaux nourris aux croissants, on voit poindre le nez, que dis-je le nez, le cap, la péninsule, de la fantaisie essentielle. -
Anton Tchekhov, voyage à Sakhaline
Gérald Stehr
- Triartis
- Scenes Intempestives
- 30 Juin 2011
- 9782916724294
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Mikhaïl Boulgakov est aujourd'hui, sans conteste, le plus grand écrivain russe de la première moitié du XXee siècle. Cette gloire internationale ne doit pas faire oublier qu'il ne put, de son vivant, presque rien publier de ses oeuvres ni montrer sur scène ses productions théâtrales. Réveillon chez les Boulgakovles Boulgakov nous fait pénétrer dans l'intimité de l'écrivain, de sa femme Elena et de leurs amis qui survivent (mais pour combien de temps encore ?) à la terreur stalinienne. Ce moment, le début de 1939, est décisif dans la carrière de Boulgakov, puisqu'il a entrepris un ouvrage qui, cette fois-ci, devrait recueillir l'assentiment du puissant maître du Kremlin. Mais, est-ce si sûr ? L'irréductible Boulgakov, un des rares hommes libres dans ces temps de servitude, de lâcheté et de flagornerie, saura-t-il courber son génie ? Quelle place un véritable créateur peut-il trouver face à un pouvoir totalitaire ? Olga Medvedkova, faisant revivre ce brillant milieu de l'intelligentsia moscovite, nous propose au-delà d'une plongée dans le temps, un voyage plus profond, au coeur de l'oeuvre de Boulgakov, analysé de manière nouvelle, à la façon de son auteur qui se définissait lui même comme mystique et satirique. Ce texte est un « récit véridique », une fiction où tout est vrai. Les mots sont exhumés des archives : leur diablerie dé-passe même les inventions de l'auteur du Maître et Marguerite Maître Marguerite. Ce récit drôle, . émouvant, effrayant, qui rappelle des faits que certains sont peut-être soucieux d'oublier aujourd'hui, parle du courage du vrai créateur, de l'intransigeance de la création et, plus largement, de la liberté de l'homme face à son temps et son destin.
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Eric Satie à Darius Milhaud
Virginie Berling
- Triartis
- Scenes Intempestives
- 29 Juin 2022
- 9782490198368
Érik Satie aura passé sa vie à lutter, que ce soit pour faire jouer ses oeuvres ou pour se montrer dans une tenue toujours élégante. Il dédaigne les luttes intestines du monde musical. Il se joue de tout, des mots tout faits, des règles absurdes, des bouffis de certitudes et surtout... des veaux ! Son écriture n'épargne qu'une chose, infiniment grave et sérieuse : sa musique, qui nous parvient dans toute sa légèreté.
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Qu’est-il arrivé à Bette Davis et Joan Crawford ?
Jean Marboeuf
- Triartis
- Scenes Intempestives
- 15 Septembre 2008
- 9782967240200
« 1961, Joan Crawford, star vieillissante aux nombreux succès passés, veut relancer sa carrière. Elle a entre les mains un scénario de Lukas Heller écrit pour «deux monstres» Qu'est-il arrivé à Baby Jane ?
Elle veut Robert Aldrich pour la mise en scène et Bette Davis pour partenaire. Un soir Joan va voir Bette dans un théâtre de Broadway. Elle frappe à la porte de sa loge. Le film se fera... dans l'enfer et les vacheries.
Il était stimulant d'imaginer une correspondance épistolaire entre ces deux stars aux langues vipérines. C'est un jeu de rôle sadique, drôle, émouvant. Elles découvriront que, malgré leurs caprices et le succès du film, la solitude est le lot de tout artiste. » Jean Marboeuf
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Masquée sous un pseudo, Marion part à la rencontre d'un homme sur internet. Lola, son alias féminin virtuel, tente d'établir avec elle une stratégie de conquête.
Mais les peurs et contradictions de Marion vont leur compliquer la tâche.
Pour l'une comme pour l'autre, la situation se tend.
Qui est vraiment l'homme caché derrière son double ?
Que veut-il ? La séduction ne serait-elle qu'un jeu de dupes, un art d'illusions où l'on se réinvente à l'infini pour le meilleur et même pour le pire ?
Les improbables réponses à leurs questions installent entre les personnages de cette comédie moderne un crescendo tour à tour cynique et émouvant.
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Les enfants du temple
Dominique Sabourdin-Perrin
- Triartis
- Sur La Scene
- 18 Janvier 2010
- 9782916724157
La Tour du Temple a été démolie en 1809. Les quelques rares vestiges qui subsistent encore dans les maisons environnantes ne permettent pas de se faire une idée de ce lieu qui servit de prison à la famille royale.
Des documents d'archives permettent cependant de retracer les faits, petits et grands, qui ont jalonné, au quotidien, le sinistre séjour du Roi, de la Reine, de Madame Elisabeth, du Dauphin et de Madame Royale.
Ceux qui les ont accompagnés, résidant pour un temps dans la prison, laissèrent des Mémoires, des journaux intimes, des récits et souvenirs, des notes sur leur service et des procès-verbaux?; les périodiques, les almanachs nationaux rapportent avec minutie les événements officiels. Les historiens Antoine, Beauchesne, Eckart et Simien-Despréaux ont interrogé les témoins survivants pendant la Restauration.
La pièce restitue, en s'appuyant sur tous ces documents, l'atmosphère de la Tour du Temple et ce moment de l'Histoire de France.
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C'est ici ; pièce en cinq tableaux
Alain Casabona
- Triartis
- Sur La Scene
- 9 Novembre 2012
- 9782916724423
"C'est ici", au Grenier du 7 rue des Grands-Augustins, que l'enfant Louis XIII fut proclamé roi le 10 mai 1610.
"C'est ici" que Balzac, dans sa nouvelle Le Chef d'oeuvre inconnu, situe la rencontre entre les peintres Pourbus, Poussin et Frenhofer, sous les poutres monumentales du Grenier.
"C'est ici" au Grenier que Jean-Louis Barrault installa sa première compagnie en 1934.
"C'est ici" que Pablo Picasso, occupant du Grenier entre 1936 et 1955, réalisa Guernica.
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Galilée, fort de ses convctions, n'entend pas taire la réalité qu'il a perçue dans sa lunette astronomique?: la Terre tourne autour du Soleil. Hérésie?! Les vérités énoncées par l'Eglise et les Saintes Ecritures sont intouchables. Pourtant, il combattra inlassablement les dogmes et l'obscurantisme affirmant que la Bible nous apprend «?comment on va au Ciel, non comment va le Ciel.?» Sous le masque du grand scientifique transparaît l'Autre Galilée, homme et philosophe, avec sa persévérance, ses ambitions, sa peur de mourir, et, plus que tout, le désir absolu d'être libre dans sa vie comme dans sa pensée. En témoignent les lettres adressées à son disciple, au doge de Venise, à la grande-duchesse de Toscane, à Képler..., retranscrites à la fin du texte dans leur intégralité et en italien moderne.
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Alphonse Allais : le Chat noir et les hydropathes
Judith d' Aleazzo
- Triartis
- Scenes Intempestives A Grignan
- 29 Juin 2022
- 9782490198375
Alphonse Allais, d'une lettre, voire d'un simple « pneumatique », savait distiller la « vie drôle ». Grâce aux correspondances de ce conteur et nouvelliste, nous retrouvons l'atmosphère farfelue, savante, foutraque, pleine de vigueur et de liberté du célèbre Chat noir, ce cabaret montmartrois dont il fut un des artistes et animateurs. Il fut aussi le rédacteur en chef du journal éponyme. Ses échanges avec quelques figures artistiques incontournables (Cros, Bruant...) révèlent un monde érudit, humble et cocasse « à se tordre », en chansons, en vers holorimes, en inventions... « Passant, arrête toi. Cet édifice (...) fut consacré aux Muses et à la joie sous les auspices du Chat noir. Passant, sois moderne ! »
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L'impératrice à Nicolas II ; autopsie d'un Empire
Anne Rotenberg, Gérald Stehr
- Triartis
- Scenes Intempestives
- 12 Juin 2014
- 9782916724539
A Ekaterinbourg, on découvrit un coffret aux initiales d'Alexandra Feodorovna. Il contenait les quelque quatre-cents lettres adressées au Tsar par l'Impératrice. Dans cette volumineuse correspondance, elle exhorte sans cesse son mari à l'absolutisme : « Montre que c'est toi le maître ». Elle raconte aussi les menus faits quotidiens et témoigne de son amour : « Tu es ma vie, mon âme et chaque séparation me cause une douleur immense », écrit-elle à Nicolas II, qui a pris, loin d'elle, le commandement des armées à Moghilev. Profondément religieuse, superstitieuse même, soucieuse de son rang, la souveraine porte une dévotion absolue à Raspoutine, lequel la tient sous influence. Acte politique, décision militaire, économique, tout ce qu'il exprime prévaut. Qui ne partage pas son aveuglement pour Raspoutine est « un ennemi de toute la famille royale ». Cependant dans les voix du tumulte mondial, Nicolas II, sous la double emprise de son épouse et de son intraitable « conseiller », n'entend pas gronder la révolution en marche.
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Mon corps on ne l'a jamais retrouvé. Brûlé sur la plage ? Jeté dans la mer ? Oublié comme un chien ? Un autre à ma place, se lamenterait. Moi non ! J'ai de la chance : ni tombeau, ni dalle funéraire. Pas de commémorations pour moi. Ce serait hypocrite, après avoir été persécuté de mon vivant ! On ne peut pas mettre sens dessus dessous la peinture et vouloir mourir comme le Titien à quatre-vingt-six ans, couvert de lauriers et riche à millions! Non! De mon existence j'ai fait un précipice, une course à l'abîme. Après quelques avant-premières dans les Instituts Culturels Italiens de Paris, Rabat et Marseille, un extraordinaire concours de circonstances a fait que le spectacle Moi, Caravage - Io, Caravaggio soit créé au Festival Off d'Avignon (Théâtre des Amants) exactement le 18 juillet 2010, quatre-cents ans jour par jour après la morte de Michelangelo Merisi, dit Caravage. Présenté à nouveau au Festival Off d'Avignon en 2011 (Théâtre Buffon), Moi, Caravage a dépassé les 430 représentations entre tournée, en France et à l'étranger, outre les passages parisiens (Théâtre Lucernaire, Théâtre de la Gaîté, Théâtre des Mathurins).
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" Cela va vite une séparation. Il suffit d'un mot pour défaire des mois, des années d'amour, c'est comme dynamiter sa maison, on craque une allumette et tout s'effondre. Etrange que ce soit si simple de se quitter. Etrange qu'il n'y ait de procédure que pour les gens mariés. "
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Correspondances intempestives : quand les loups avaient des plumes
Isabelle Cousteil
- Triartis
- Correspondances Intempestives
- 2 Mars 2010
- 9782916724140
La véridique et facétieuse chronique de la mémoire retrouvée.
« J'ai 4 ans et je pousse les portes du monde...
Je n'ai encore rien appris vraiment, mais j'en sais déjà beaucoup.
Quand je dis que je sais, je ne parle pas des déclinaisons latines ou du taux de la TVA sur les produits culturels.
Je sais, par toute la puissance de mon instinct, par toutes les ondes que font courir les émotions sur la peau, la mienne et celle des autres. Je crois de tout mon coeur au pouvoir absolu et divin de l'amour qu'on me porte. Mon instant présent est tout, délicieusement pur.
Mais je sais aussi que le compte à rebours a démarré. La touche « reset » de ma mémoire est enclenchée et mon petit doigt me dit que j'aurai bientôt oublié l'essentiel.
Ce matin, une plume d'ange est tombée en planant doucement sous mon nez. Je l'ai ramassée, je l'ai trempée dans la gouache pour te confier, à toi Adulte, les quelques miettes encore croustillantes de ma première mémoire avant qu'elle ne s'efface »
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Ils désirent beaucoup, les habitants de Corinthe. Ils désirent la Toison d'or de Médée... parce que tous les hommes convoitent les richesses de la Terre.
Et Médée protège son bien. De toutes ses forces. Elle lutte contre Créon, roi de Corinthe, qui veut la dépouiller au profit de son peuple pour être réélu.
Créon tu m'as volée tu m'as volé la Toison vous avez cru être les plus forts mais je suis Médée Médée la magicienne Elle lutte aussi contre Jason, l'homme qu'elle aime à la folie. Parce qu'il la supplie, lui aussi. Et parce que, de lassitude, il la trahit.
Alors, Médée agira. De la plus atroce façon.
Mais comme tu es belle ma vengeance je suis à bout de forces occupe-toi de tout
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Madame de Sévigné va au théâtre
Françoise Hamel
- Triartis
- Scenes Intempestives
- 19 Mai 2010
- 9782916724201
Madame de Sévigné, de Paris ou de son château des Rochers à Vitré, écrit à sa fille, Madame de Grignan qui séjourne en Provence. Elle lui fait partager ses émotions, lui dévoile ses pensées gaies ou nostalgiques, évoque le théâtre : Les Femmes savantes de Molière font beaucoup rire l Epistolière. Mais c est à Corneille que va sa préférence : « Je suis folle de Corneille... Ma fille, gardons-nous bien de lui comparer Racine... Corneille, lui, vient de Rouen, « la fleur des bonnes villes », et n a nul besoin de se coucher au pied du lit du Roi pour lui lire des pièces pendant ses insomnies... Et pourtant, retour en grâce de Racine, car voici venir Phèdre... et voilà qu Esther, par la voix de la merveilleuse Champmeslé, bouleverse Roi, Princes, Ducs et prélats...jusqu à Madame de Sévigné elle-même.
Madame de Sévigné aime évoquer l art du théâtre dans sa vie mondaine : les dîners avec ses amis, les invitations à Versailles, à Fontainebleau, le séjour à Vichy, aux Rochers... En Bretagne, elle voit des spectacles charmants joués par des amateurs, en ses provinces.
De la ville à la Cour, c est un ton piquant, ironique avec des élans bouleversants. La vie...
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Dans la ménagerie de Sarah Bernhardt, parmi les chiens, les chats, les caméléons, les oiseaux, le guépard - baptisé gay-pard?-, un lion fidèle et généreux comme il se doit, originaire d'Angleterre, veille jalousement sur sa maîtresse. Il aime sa Belmaîtresse. Dans son langage imagé de lion avec quelques inventions de son cru, et parfois avec des réminiscences d'alexandrins, il dit tout. Et comme il n'a pas sa langue dans sa poche, il commente ses fréquentations, lui sert de rempart contre le Théâtre Français ses directeurs et ses Mesdemoiselles comédiennes, en mangeant quelques pompons moelleux des tentures. Il l'attend, meurtri, quand elle part en tournée, garde sa maison Odéon pendant la guerre, soutient toutes ses luttes et pleure quand elle se meurt.
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Elles ont pour habitude de commémorer l'anniversaire de leur meilleure amie disparue. Ce trio de presque soeurs se retrouvent, chaque année, entre fous rires et émotions au bord des larmes. Au nom de l'amitié, elles affronteront les plus attendus et les plus improbables aléas de la vie.
Spectacle crée au Théâtre de la Boussole à Paris avec Ariane Massenet, Marie Parouty et Alexandra Simon.
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Colette, Moreno : dialogue de joyeuses ogresses
Julie Marboeuf, Séverine Vincent
- Triartis
- Scenes Intempestives A Grignan
- 29 Juin 2022
- 9782490198351
La correspondance entre Colette et Moreno ressemble parfois à un dialogue de joyeuses ogresses qui se pourlèchent les babines et qui ont encore faim. François Mauriac Colette et Marguerite Moreno ! Un demi-siècle d'une amitié sans faille... Les époques se succèdent, les décors changent ; la valse des maris, la ronde des amants, la guerre ou la quiétude d'un havre de paix, le succès ou le doute... Rien n'altèrera la complicité de ces femmes hors normes... Cette correspondance profonde et drôle, ces échanges d'une liberté sauvage, nous voulons les donner à entendre par le biais d'un montage de textes, où la gourmandise rivalise avec l'intelligence, et où la modernité reste intacte. S. V. et J. M.
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Entends-tu, le chant de révolte et de renaissance courir dans leurs veines ? En prison dans ta maison, en prison dans ton corps, en prison dans le regard de l'autre, ô toi, vieille femme, si tu venais nous apprendre la liberté et le désir ardent qui sommeille en ton for intérieur ? Faites place, toutes ces vieilles n'ont pas envie de rire mais de dire : « Que c'est bon, et grave, et dérisoire et urgent de vivre ! »
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Une jeune première invisible ! Pas de cocu, ni d'amant dans le placard, ni de portes qui claquent ! Mais un verrou qui reste obstinément fermé et révèle au grand jour les travers et ridicules, les désirs secrets et les embrouilles d'une famille monstrueuse et tendre, irrésistiblement drôle, émouvante... comme toutes les familles.
Une vraie comédie qui ne laisse pas un instant de répit, et à lire avec un mouchoir pour essuyer les larmes de rire.
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Jean-Louis Barrault, 100 ans (1910-2010)
Pierre Tré-Hardy
- Triartis
- Paroles Immortelles
- 5 Mai 2011
- 9782916724256
Figure emblématique du la vie culturelle française depuis les années 30, Jean-Louis Barrault au fil de ses lettres et de son journal livre sa vision du théâtre conçu comme une discipline, une poésie, une manière poétique d'envisager la vie.