L'auteure a créé pour vous le ludomètre, qui permet de comprendre et de prendre soin de l'équilibre et de l'évolution psychologiques et émotionnels de votre enfant. Comment ? En le regardant jouer.
Ce qu'on appelle la sublimation et qu'on a longtemps cru réservée aux "grands hommes", artistes ou créateurs, est à la base d'une de nos activités les plus quotidiennes : le travail, et plus particulièrement le travail de qualité. C'est cette intelligence-là qui fait que nous avons plaisir à oeuvrer, elle qui donne un sens à nos actes et nos pensées, elle qui nous rend créatifs. Sans elle, nous souffrons au travail. Son ennemi a un nom : l'organisation néolibérale du travail, qui nous plonge dans la servitude et nous déshumanise. Après "Souffrance en France", Christophe Dejours explore, avec "Ce qu'il y a de meilleur en nous", la force qui nous permet de ne pas subir le travail.
« La contention mécanique n'est pas un soin, elle n'a pas de dimension thérapeutique. Elle est une mesure de contrôle, une pratique d'entrave et d'immobilisation. Son abolition est une première pierre pour une psychiatrie partant des droits effectifs, de l'autodétermination, de la dignité pour toutes et tous. » La contention mécanique est un traumatisme. Chaque année, 10 000 personnes sont attachées dans les hôpitaux psychiatriques français. Le phénomène est massif dans les Ehpad, aux urgences, dans les foyers. Le système contentionnaire - qui nous attache physiquement, psychiquement et collectivement - croît sur fond d'une « culture de l'entrave ». Se défaire d'un tel univers nécessite d'entendre le vécu des concerné·es, d'instituer d'autres façons de se tenir ensemble pour développer des alternatives dans les pratiques et un autre imaginaire de société.
L'emprise est aujourd'hui évoquée dès que l'environnement conjugal ou intrafamilial est le cadre de violences psychologiques. Sollicité au quart de tour, souvent avec excès, cette notion suggère une intention de nuire en recourant à la violence, à de la maltraitance et au mépris de la dignité humaine.
Pour mieux comprendre la relation d'emprise, Anne-Laure Buffet propose, au carrefour de la psychanalyse, de la psychologie, de la sociologie et de la philosophie, d'en définir les acteurs principaux, d'observer comment se construit une telle relation, les raisons pour lesquelles elle s'instaure et les différents contextes dans lesquels elle peut se développer plus favorablement. Quelles spécificités et quelles conséquences pour l'ensemble des protagonistes de cette violence singulière ?
Où l'on verra que l'emprise n'est ni une fatalité ni une condamnation. Une démarche existe pour y mettre un terme qui, après avoir fait cesser cette entreprise d'appropriation, permet de se réparer et de se reconstruire.
Tout est langage reprend et précise le contenu d'une conférence adressée à des psychologues, des médecins et des travailleurs sociaux dont l'intitulé était : «Le dire et le faire. Tout est langage. L'importance des paroles dites aux enfants et devant eux.» À travers ses réponses, Françoise Dolto tisse la trame d'une compréhension analytique de ce qui est déterminant pour la subjectivité humaine. Elle affirme la nécessité en toutes circonstances - le divorce, la mort, la circoncision, l'adolescence, l'adoption, etc. - du parler à l'enfant. Elle montre que c'est souvent jusque dans et par son corps que l'enfant exprime ce qu'il ne peut parfois signifier autrement.
La musique peut nous émouvoir, nous inciter à danser, ou nous rendre tristes et nostalgiques. Quand on est un neurologue aussi compétent qu'Oliver Sacks, et surtout mélomane de longue date, comment peut-on comprendre et décrire ce pouvoir ?
Plus d'aires cérébrales sont affectées au traitement de la musique qu'à celui du langage : l'homme est donc véritablement une espèce musicale. Et c'est en déployant une galerie de portraits - du chirurgien devenu pianiste après avoir été frappé par la foudre au frère manchot de Wittgenstein, en passant par les handicapés mentaux mélomanes - que l'auteur questionne les rapports du cerveau et de la musique.
Notre dimension musicale est ici décrite dans son étendue et sa profondeur, d'un point de vue scientifique, philosophique, et spirituel.
« À cause de la guerre, du fracas de mon enfance, j'ai été, très jeune, atteint par la rage de comprendre. J'ai cru que la psychiatrie, science de l'âme, pouvait expliquer la folie du nazisme.
J'ai pensé que le diable était un ange devenu fou et qu'il fallait le soigner pour ramener la paix. Cette idée enfantine m'a engagé dans un voyage de cinquante ans, passionnant, logique et insensé à la fois.
Ce livre en est le journal de bord.
Pour maîtriser ce monde et ne pas y mourir, il fallait comprendre ; c'était ma seule liberté. La nécessité de rendre cohérent ce chaos affectif, social et intellectuel m'a rendu complètement psychiatre dès mon enfance.
Cinquante ans d'aventure psychiatrique m'ont donné des moments de bonheur, quelques épreuves difficiles, le sentiment d'avoir été utile et le bilan de quelques méprises. Mon goût pour cette spécialité est un aveu autobiographique.
L'histoire de ces cinquante années raconte aussi comment j'ai traversé la naissance de la psychiatrie moderne, depuis la criminelle lobotomie, l'humiliante paille dans les hôpitaux, Lacan le précieux, la noble psychanalyse malgré ses dérives dogmatiques, l'utile pharmacologie devenue abusive quand elle a prétendu expliquer tout le psychisme, et l'apaisement que m'a apporté la théorie de l'attachement, dont la résilience, mon chapitre préféré, étudie une nouvelle manière de comprendre et de soulager les souffrances psychiques.
Ce long chemin m'a conduit à tenter d'expliquer, de soulager et parfois de guérir les souffrances psychiques. Il m'a donné le plaisir de comprendre et le bonheur de soigner les âmes blessées. » B. C.
La culture occidentale est en crise. Le Narcisse moderne, terrifié par l'avenir, méprise la nostalgie et vit dans le culte de l'instant ; dans son refus proclamé de toutes les formes d'autorité, il se soumet à l'aliénation consumériste et aux conseils infantilisants des experts en tout genre.Aujourd'hui plus que jamais, l'essai majeur de Christopher Lasch frappe par son actualité.Décortiquant la personnalité typique de l'individu moderne, Lasch met en lumière ce paradoxe essentiel qui veut que le culte narcissique du moi en vienne, in fine, à détruire l'authentique individualité.Christopher Lasch déroule le fil d'une analyse souvent subtile, nourrie de psychanalyse et de sociologie ; sa critique du mode de vie contemporain et d'une pensée de gauche complice du capitalisme est radicale, mais non sans espoir, car elle est pénétrée de la conviction que la conscience de l'histoire peut redonner du sens à un monde qui n'en a plus.
Ouvrez les yeux, nous dit Alice Miller de livre en livre. Ouvrez les yeux sur ce que vous avez subi étant enfant. Nous bâtissons de hautes murailles pour nous protéger de la douloureuse histoire de notre propre enfance.«Il n'est pas vrai, écrit Alice Miller, que le mal, la destruction, la perversion fassent nécessairement partie de l'existence humaine, même si on le répète sans arrêt. Mais il est vrai que le mal se reproduit sans cesse, et qu'il engendre pour des millions d'êtres humains un océan de souffrance qui pourrait être évité. Lorsque sera levée l'ignorance résultant des refoulements de l'enfance, et que l'humanité sera réveillée, cette production du mal pourra prendre fin.»
Rassurant, précis, efficace : ce livre est pour les femmes qui ne se sentent pas épanouies dans leur vie sexuelle. Elles ont mal, ou peur, leur libido est en berne, ça les ennuie. Souvent, elles finissent par se passer de sexe et se réfugient dans la tendresse. S'appuyant sur de nombreux témoignages et sur leur expérience de sexologues, Heidi Beroud-Poyet et Laura Beltran racontent la vie secrète du sexe féminin, ses entraves et les manières de se libérer. Leur message est clair : parler des difficultés permet de dédramatiser et de trouver des solutions. Car nommer les galères sexuelles, c'est aussi une chance : l'occasion d'aller à la découverte de soi, de son plaisir, de son rythme - bref, de s'ouvrir à son potentiel érotique et de choisir une façon personnelle, à soi, d'aimer la sexualité.
« On a longtemps dit que j'étais réservée, voire "muette comme une tombe". En fait, il ne s'agissait ni de froideur ni d'indifférence. J'étais en deuil. Et je ressentais comme une nécessité d'habiter un monde lisse, impersonnel et protecteur vis-à-vis, non pas de la mort, mais de la séparation qu'elle inflige avec la disparition de l'autre. » Ginette Raimbault a consacré sa vie aux questions du deuil et de la mort. Ce n'est pas un hasard. Dans ce livre limpide, émouvant, probablement l'un des plus personnels qu'elle ait écrits, elle donne la parole aux endeuillés et explore le « cataclysme intérieur » provoqué par la mort de l'être aimé.
En 1918, Aby Warburg est frappé d'une crise de psychose aiguë : il croit être responsable de la défaite de l'Allemagne et menace sa famille avec un revolver. En 1921, il arrive à la clinique Bellevue où exerce Ludwig Binswanger. Il en sortira en 1924, guéri, après avoir prononcé, la célèbre conférence sur «Le rituel du serpent» devant les patients de la clinique. Pour la première fois sont réunis ici le dossier clinique rédigé par Binswanger, les lettres et les fragments autobiographiques de Warburg, la correspondance des deux hommes. Ces textes offrent un témoignage poignant de l'hospitalisation de Warburg dans cette étrange institution. Leur portée dépasse l'histoire, car ils permettent de poser une question fondamentale : qu'est-ce que guérir ?
Il existe de nombreuses autobiographies d'autistes dits de « haut niveau ». Il existe également des récits témoignant de l'expérience d'un parent face à un enfant autiste. Mais il n'y a pas, à l'heure actuelle, d'ouvrage rassemblant le témoignage de toute une famille, de psychanalystes, de psychologues, d'une orthophoniste, à propos du parcours singulier d'un autiste depuis sa petite enfance.
Dans ce livre, Deborah Allio, qui a tissé un lien de confiance avec un jeune autiste, Briac, évoque d'abord les relations avec un premier psychanalyste, lorsque le garçon a deux ans. Elle montre la façon dont la famille et les professionnels l'ont suivi jusqu'à son adolescence dans ses curiosités, ses trouvailles, sa difficile scolarisation, sans que lui soit imposé un savoir a priori.
L'appréhension de ses affects à travers des personnages de dessins animés et des objets techniques, ainsi que l'acquisition de compétences - notamment par l'informatique - ont permis à Briac de conjurer sa peur exprimée vers l'âge de trois ans : « Attention, a peur ! » Accompagné de ses parents et de ses soeurs, mais aussi de partenaires fiables et sécurisants, Briac a peu à peu appris à mieux saisir le monde effrayant qui l'entoure. Grâce aux doux forçages initiés à partir de ses propres choix, il est aujourd'hui, à l'âge de quinze ans, un individu sociable et vivant.
L'École de Palo Alto (du nom d'une petite ville de Californie) désigne un groupe de chercheurs réuni dans les années 1950 autour de la personnalité exceptionnelle de Gregory Bateson. Elle a révolutionné le champ des sciences humaines en plaçant la communication et la notion de système au centre de sa théorisation. Ne pas séparer l'individu du contexte culturel et relationnel dans lequel il évolue devient le fondement d'un nouveau modèle qui s'applique aussi bien à la famille qu'à la psychiatrie ou au monde du travail.
Cet ouvrage présente l'émergence, l'histoire et le rayonnement de l'École de Palo Alto. Il en explicite les principaux apports théoriques (double contrainte, niveaux de changement...) et pratiques (thérapies familiales et systémiques, analyse des organisations...). La grande force de ce courant de pensée a été en effet de concilier les exigences d'une pensée globale novatrice avec celles de l'action singulière.
Climatique, économique, politique, thérapeutique : le réfugié est l'une des principales figures du XXIe siècle. Or les Etats présupposent que la majorité des demandeurs d'asile mentent pour obtenir la qualité de réfugiés. Ils exigent donc des preuves, qui ne peuvent passer que par le témoignage. Mais comment témoigner quand on ne parle pas la même langue ? Qu'implique le fait de se remémorer dans l'urgence une série d'événements traumatiques ? Un essai crucial sur la nécessité d'un refuge territorial et psychique, sur des pathologies qui seraient spécifiques aux réfugiés, et donc sur l'émergence d'une nouvelle "clinique de l'asile" dans notre monde globalisé.
La violence sexuelle vise la négation d'autrui et son asservissement sexuel. Elle est aujourd'hui au coeur des débats contemporains. La récente libération de la parole des victimes - facilitée par l'émergence de mouvements tels que Metoo, Metoogay, Metooinceste - engage une politisation de la sexualité. Dans cette perspective, l'intime « est » politique et devient, dans les sociétés démocratiques, un objet de revendication.
Cet ouvrage aborde en 11 fiches différentes formes de violences sexuelles et leurs répercussions subjectives : viol et agressions sexuelles, harcèlement sexuel en ligne, violences sexuelles entre partenaires intimes, mutilations sexuelles féminines et la question du genre.
Il expose des pistes d'accompagnement psychologique des victimes et des auteurs de violences sexuelles et présente aussi des dispositifs judiciaires. Ce livre offre ainsi aux psychologues et aux professionnels du champ médico-psycho-social des outils théorico-pratiques pour comprendre les défis que pose cette clinique
Certaines personnes ressentent une véritable angoisse à l'idée d'être seules. Pour y remédier, elles déploient inconsciemment des stratégies addictives: alcool, drogues, mais aussi sport, amour, sexe... Dans cet essai étonnant qui bouscule nos certitudes et éclaire, avec l'addiction et la solitude, deux des principaux maux dont souffre notre société, Catherine Audibert révèle aussi pourquoi une "bonne" solitude, une solitude sereine, est absolument nécessaire à notre équilibre psychique.
Lise Bourbeau vous invite à découvrir cette nouvelle édition, révisée et augmentée, en l'honneur du 25ème anniversaire de ce best-seller ! Elle contient une mise à jour complète de l'enseignement d'Ecoute ton Corps qu'elle ne cesse d'améliorer et de simplifier. Elle a écrit un 22ème chapitre sur l'Acceptation. Avec cet ouvrage, depuis 25 ans, Lise Bourbeau vous invite à faire l'expérience consciente de ce qui se passe en vous aux niveaux physique, émotionnel, mental et spirituel. En fin de chapitre, les exercices pratiques vous aident à devenir conscient de la façon de vous aimer et d'aimer les autres. L'auteur a écrit 22 livres vendus à plus de 3 millions d'exemplaires dont celui-ci à 775 000 ex dans le monde. Depuis la fondation de son école en 1982, son enseignement a aidé un grand nombre de personnes à améliorer leur qualité de vie et à effectuer des changements concrets au quotidien. Ecoute Ton Corps, la plus grande école de développement personnel au Québec, dispense des ateliers dans plus de 20 pays en 10 langues.
Pour comprendre les perversions, la souffrance et les manières de la vivre, l'aide de Ferenczi est indispensable. On trouvera ici la plupart des réflexions que ce psychanalyste génial a consacrées au "maudit problème du masochisme", et notamment "Du principe masculin et féminin dans la nature", "Sur l'orgasme masochiste", "Réflexions sur le plaisir de la passivité", ou encore "Du terrorisme de la souffrance". Avec à la clé cette idée : pour ne plus souffrir, ne faut-il pas d'abord accepter le déplaisir ?
La langue secrète du corps, ce n'est pas un geste qui nous trahirait, ni un mensonge qu'il s'agirait de décrypter, c'est un signal inconscient, de souffrance parfois, de joie parfois, que le corps émet et dont il faut immédiatement se saisir pour rendre la vie plus facile. La couleur d'un vêtement, une position dans l'espace, un cou dénudé ou couvert, un tripotement d'oreille ou de bijou attire soudain notre regard et le fruit de cette observation fine prend au dépourvu les défenses habituelles, suscitant chez l'autre une surprise qui permet de mettre à nu l'essentiel. Pendant des décennies, cette communication non verbale, ainsi que les idées et théories qui la sous-tendent, ont été au coeur du travail d'Anne Ancelin Schützenberger ; ce livre est le premier qu'elle lui consacre.
Les hommes ne le savent peut-être pas, mais ce dont la plupart des femmes préfèrent parler entre elles, ce n'est pas d'eux : c'est de leur mère.
En effet, si les femmes ne deviennent pas toutes mères, si les mères n'ont pas toutes des filles, toutes ont une mère. S'interroger sur la relation mère-fille est donc leur lot commun. C'est aussi celui des hommes, impliqués, qu'ils le veuillent ou non, dans cette relation.
A partir de cas empruntés à la fiction (romans et films), Caroline Eliacheff et Nathalie Heinich reconstituent l'éventail de toutes les relations possibles, montrant comment s'opèrent la transmission des rôles et la construction des identités, de génération en génération. Ainsi se dessinent les conditions d'une bonne relation. Car, dans l'expérience délicate qui consiste à être une fille pour sa mère et éventuellement une mère pour sa fille, il est sans doute des voies plus praticables que d'autres.
Nous aimons la politique autant que nous détestons ceux qui l'incarnent. Ils ne nous semblent jamais à la hauteur de nos espérances et des circonstances. Humains, trop humains... ou trop peu, parfois. Mais à trop noircir le trait, c'est la démocratie que l'on rature. Et les torts sont partagés. Car après tout, quel est le pire : gouverner ou voter comme des cons ? Ce livre collectif ne se veut ni un bêtisier ni une énième entreprise de dénigrement systématique de la politique, mais un ensemble de réflexions sur la responsabilité des gouvernants, des électeurs et des médias dans les crises de confiance à l'égard du pouvoir qui jalonnent notre histoire et culminent à notre époque.
Avec les contributions de : Cécile Alduy, Laurent Auzoult, Michael C. Berhent, Dominique Bourg, Philippe Braud, Sophie Coignard, Tania Crasnianski, Christian Delporte, Pascal Froissart, Alain Garrigou, Jean Garrigues, Didier Georgakakis, Charles Haroche, Jean-Vincent Holeindre, François-Bernard Huyghe, Annie Jourdan, Karim Lebhour, Patrick Lemoine, Alexis Lévrier, George E. Marcus, Janine Mossuz-Lavau, Anne Muxel, Cédric Passard, Pascal Perrineau, Emmanuel Pinto, Didier Pourquery, Myriam Revault d'Allonnes, Romina Rinaldi, Brice Teinturier.
« On s'aime tous très fort et pourtant, ça crie dans tous les sens à la maison... » Lorsque l'on est un parent aimant, que l'on a à coeur de mettre en place les conditions nécessaires à une vie de famille épanouie, que nos enfants sont chouettes et plutôt communicants, que nous savons n'être ni pathologiquement atteints ni maltraitants... Qu'est-ce qui fait que tout déraille quand même, parfois ?
Bienvenue dans l'explosivité !
Vivre ensemble n'est pas chose aisée. La simple cohabitation quotidienne est un tour de force de chaque instant ! Mais si les explosions sont normales, cela n'est pas une raison pour les subir et souffrir de rapports familiaux dégradés...
Lee-Ann d'Alexandry vous propose de regarder votre tribu sous le prisme de la systémie familiale et à travers un concept tout neuf, l'explosivité, qui vous permettra d'appréhender différemment vos rapports - de couple, avec vos enfants et même entre vos enfants.
Une mine d'outils et d'exercices pour arrêter de culpabiliser, apaiser les rapports et grandir tous ensemble !
De nouvelles découvertes sur le développement du cerveau et de l'intelligence ont modifié en profondeur nos connaissances sur la psychologie de l'enfant. À partir d'expériences simples que chacun peut réaliser à la maison ou à l'école, mais aussi en faisant le point sur les apports des sciences cognitives à propos du bébé, de l'enfant et de l'adulte, cet ouvrage explique avec clarté comment se construit la cognition humaine.
Tout en rendant hommage à l'oeuvre de Jean Piaget, le plus grand psychologue de l'enfant au XX siècle, Olivier Houdé réexamine sa théorie et propose ici une conception nouvelle du développement de l'intelligence.