Sept histoires, sept légendes... Ces tours ou leurs souvenirs hantent le pays d'Allevard et les mandements frontaliers, un joyau de verdure en Belledonne. Des légendes leur sont peu ou prou attachées, ici reprises, réécrites, largement romancées, voire partiellement réinventées. Le tout avec une poésie qui rend encore plus vivants les sentiments qui y sont exprimés.
Car dans un monde imaginaire, tout est permis...
Sauf ignorer le sept, le chiffre magique...
Le Dauphiné, ce pays où Annie Servant réside depuis 2003, tient une grande place dans ses romans. Auteure prolixe, si son premier livre a été publié en 2009, de nombreuses autres parutions ont vu le jour depuis.
Née le jour d'Halloween - ce qui explique peut-être son « affection » pour les sorcières - elle écrit des contes ou des petits romans « style club des cinq » pour les enfants, des nouvelles plus ou moins «?fantastiques?» pour les ados et des romans policiers pour les adultes.
Au fil des mois expose ces quelques secondes de vie, ce tout petit moment où tout bascule. L'instant auparavant le bonheur côtoyait notre route, nous étions heureux. C'était avant.
Chacun d'entre nous pourra un jour, peut-être, être confronté à l'une ou l'autre de ces situations.
Sur fond de maladie, de terrorisme, d'addiction sexuelle... Voici quelques chemins de vie, dramatiques pour les uns, plus légers pour d'autres. Un clown poète, un policier reconverti, une nymphomane égarée, un pompier en sursis, une châtelaine et sa bonne, un oncle majestueux ; ou encore ce fabuleux cadeau d'anniversaire, l'offrande quotidienne d'un père, l'attente de la mère.
Chaque histoire soulève des questionnements et révèle des émotions. Ne retenez pas vos larmes, ne cessez pas de sourire, ainsi va la vie.
Des peluches qui parlent, une phobie sociale, des vacances forcées, des lettres cachées... L'auteure présente dans ces courtes nouvelles autant de récits de vies de femmes de tous âges, que d'atmosphères différentes. Peu importent le contexte ou les obstacles de leur parcours, elles iront jusqu'au bout, chacune avec sa personnalité, touchante, drôle, courageuse ou piquante.
Dix histoires courtes.Dix univers.Dix voyages allant de l'enfance à la mort, en passant par l'espoir ou la trahison.Plongez au coeur de ces dix nouvelles, et dévorez-les en quelques minutes seulement, chez vous, dans le bus, dans le métro ou à la pause-café.À vous de choisir votre moment pour vous évader, à travers les histoires de ces personnages aux destins surprenants...Serez-vous d'ailleurs capable d'entrevoir les chutes de chacune des nouvelles ?Pendant longtemps, Sandra Kirchner écrit seulement pour elle et ses proches. Mais à l'âge de 18 ans, elle prend son courage à deux mains et présente l'une de ses nouvelles à un concours (« L'attente »), qu'elle finit par remporter. Cela la conforte dans sa vocation et la pousse à poursuivre sur cette voie. Elle décide à présent de partager ses écrits avec ses lecteurs, et nous livre Temps de vie en nouvelles, son premier ouvrage publié.
« Ne l'oublie jamais, Liam : Dieu a fait l'Homme à son image, Il l'a fait libre. Ne l'oublie jamais. Il n'y a pas de fatalité pour l'Homme. Le monde dans lequel nous vivons est le monde que nous construisons chaque jour, et celui dans lequel vivront nos enfants demain est celui que nous leur construisons aujourd'hui. Nous pouvons choisir de construire la paix ou de nourrir le ferment d'une guerre qui n'en finira jamais. »Durant le conflit irlandais des années soixante-dix, une jeune institutrice voit sa vie bouleversée par le retour d'un ami d'enfance.Né en 1966 en région parisienne, Marc Besnard quitte Paris dans les années quatre-vingt-dix pour s'installer en Normandie. Après plus de quinze ans passés au service de la justice, cet ancien élève de l'École du Louvre a profité d'une pause professionnelle pour écrire sa première nouvelle, centrée sur des thèmes et des questionnements contemporains.
Plonger dans La broderie et autres nouvelles, c'est essayer de retenir le temps qui passe, les histoires oubliées, toutes ces choses qui nous glissent entre les doigts. D'une nouvelle à l'autre, l'auteur se fragmente pour mieux se fondre dans la peau de personnages hétéroclites - kaléidoscope enivrant. Ode au destin singulier de chacun et à la force du hasard, La broderie et autres nouvelles tisse une tapisserie narrative singulière, mêlant imaginaire et récit autobiographique. Un recueil qui parle de la vie, avec ses nuances et sa simplicité.Cornel Paunescu naît en Roumanie, en 1953. Jusqu'au lycée, il suit des cours dans sa ville natale avant d'entrer à la Faculté de Géodésie de Bucarest. Sa carrière de géomètre le pousse à voyager à de nombreuses reprises et lui offre, durant la période communiste, une liberté dont tout le monde n'a pas la chance de jouir. À travers ses récits, il retrace les rencontres qu'il fait sur la route, s'inspire des costumes traditionnels et des lieux qui l'ont marqué. Aujourd'hui professeur à la Faculté de Géologie et Géophysique de Bucarest, il continue à nourrir son écriture au fil de ses rencontres, convaincu que chaque histoire qu'on lui livre est une source d'inspiration.
Nous pouvons jouer un rôle primordial : le changement viendra d'abord de nous, de nos choix et du sens que nous donnons à notre existence, de notre nouveau rapport au monde et à la merveilleuse planète qui nous héberge. ??Dès lors le destin d'une chauve-souris, d'une tourterelle, d'une couleuvre ou d'un hareng prend une valeur symbolique : celle du respect que nous devons à toute forme de vie. Prenons notre place dans le monde et souvenons-nous que, comme le disait le peintre Paul Klee : « La pensée est créatrice ».
« Tassé au fond du trou, j'étais à demi inconscient. Mes pensées allaient de la réalité concrète - la douleur de ma cuisse fracassée, le ballet lumineux qui dansait sur les bords du cratère, l'âcre odeur de la glaise - aux divagations délirantes entremêlées de souvenirs plus ou moins lointains. » Seize nouvelles brèves dans lesquelles l'accent est mis sur la variété des situations encadrant l'action - l'histoire, la guerre, la mer, l'enfance, le jeu, la médecine -, sur les grands mobiles qui guident les hommes - l'esprit du lucre, la soif du pouvoir, la jalousie, mais aussi l'amour, le courage, la solidarité -, et sur la valeur euphorisante de l'humour.
Si cet ouvrage parvient à instruire sans ennuyer, à distraire sans égarer, à émouvoir sans attrister, il aura atteint son but.
Une forfaiture ! Voilà ce qu'est ce livre !
Des textes mis bout à bout. Les chroniques d'un énervé qui se lâche sur sa feuille vierge. Un agglomérat d'images, d'histoires du quotidien, de métaphores, de pastiches de la vie réelle...
Un ensemble hétéroclite qui forme, au final, un point de vue plutôt complet sur la condition humaine, sur le couple, la famille, le boulot, sur nos petits travers qui font les grandes rivières de cancans.
Vous voulez construire une petite philosophie des affres du quotidien ? Très bien, alors ce livre est fait pour vous.
Sinon, passez votre chemin... Mais attention, ne venez pas vous plaindre ! Vous aurez été prévenus !
Après Commissures et ses poésies à couteau tiré, Jean-Michel Comte s'enflamme, s'amourache de petits riens, étale sa plainte comme une confiture pleine de pépins, et nous fait miroiter la lumière obscure de nos vies, certes modestes, mais pleines d'émotions, de contrariétés, de sensations.
C'est avec les petites miettes que l'on fait de belles chapelures !
Celles-ci vont vous gratter, vous piquer, vous donner à manger, et peut-être, qui sait, modifier votre croûte ?...
58 histoires, 60 ans, et un seul homme.
En toile de fond, retrouvez un éclairage sur les moments simples de la vie à la campagne des paysans, sur les enjeux d'un monde industriel en mouvement, et de manière plus générale un témoignage sur les tourments ordinaires de l'existence.
Des situations agréables et des situations difficiles, de la joie et des pleurs... La vie, tout simplement.
Étienne Blanchetière, fraîchement sorti de l'école de gendarmerie, part exercer son métier dans un petit village de Normandie. Un mois après son arrivée, un enfant disparaît... Commence alors une longue chute dans une spirale horrifique et infernale qui l'amènera jusqu'aux portes de la folie.
Plongé dans la littérature dès mon plus jeune âge, j'ai commencé à écrire mes premières histoires à l'école primaire. La collection "Chair de Poule", que je lisais beaucoup, m'inspirait des histoires de vampire et de loup-garou, mais qui n'arrivaient jamais à leur terme.
Et puis il y a deux ans, j'ai découvert Stephen King et Lovecraft, et leur maîtrise unique de l'horreur et du fantastique m'a tout de suite séduit. Au fil de leurs récits, ce sont les miens qu'ils ont inspirés.
"L'affaire Timothé Bardin" est ma première histoire achevée à ce jour.
Devant les épreuves certains préfèrent passer à l'ennemi ou simplement déserter. Laura a choisi de lutter, et le piège s'est refermé sur elle, l'emprisonnant.
Comment est-ce arrivé ? Elle a voulu défendre mon honneur, celui du père de ses enfants, exclu du monde de l'entreprise au moment-même où ses possibilités de carrière étaient plus que jamais assurées. En cause, une persécution sournoise... Pour la pénétrer, nous devrons, nous lecteurs, nous déguiser tour à tour en enquêteurs, en espions, tendre nos filets.
Qui a le pouvoir de travestir durablement l'image d'un couple sans histoire ? Juges, experts, psychiatres hospitaliers s'y sont amusés... à leurs dépens.
Et si les maux de ce monde n'existaient pas ? Si tout n'était que pure illusion ? Si la folie avait raison ?
Engager un discours avec la plus grande naïveté, solution ou problème ? Prétendre à la folie, n'est-ce pas détourner son regard de la vérité ? Oui mais... quelle vérité ?
La folie tente de raisonner...
13 nouvelles, 13 chemins, 13 parcours.
Un voyage, que chacun choisira d'entreprendre à son rythme, en Afrique, dans le golfe du Morbihan, au Japon, sur les terrains de squash mais aussi dans les couloirs des palais de justice de France de Navarre.
Des textes qui surprennent, un remède contre l'ennui !
Les asticots ne sont pas forcément les larves que nous connaissons... ils sont parfois ces êtres rampants qui gangrènent notre société. Ces malfaisants, ces cancrelats.
Dans ces nouvelles, tout un voyage... Un voyage de la Provence à la Drôme, en passant par l'Afrique. Un voyage dans les faits divers, la violence, et souvent du sang entre les lignes pour exprimer la vie dans sa vérité.
À travers le passé, les sentiments et les émotions, ici les garçons racontent leurs interdits et leurs cicatrices. Ils découvrent le tourment et la douleur d'être deux dans un monde hostile. Ils découvrent aussi l'espoir et la foi en un monde meilleur. Un monde où la liberté, l'innocence et la faiblesse auraient leur place. Mais aujourd'hui, les garçons ne se battent pas, aujourd'hui ils sont libres de s'aimer, même si cela veut dire s'aimer cachés. Tout le monde à besoin de repos entre les grandes batailles à mener.
De l'histoire d'un ours cruel qui s'éprend d'amour pour un petit oiseau, à cette vieille dame qui recueille un nouveau-né, en passant par cet oiseau en cage obsédé par l'idée de retrouver ses congénères, l'auteur nous livre une oeuvre variée et décalée.
Tel un photographe, il capte des moments de vies. Le lecteur va de surprise en surprise, vogue au gré de récits attachants qui surprennent tant dans leur style, leur couleur, leur univers.
D'une plume légère et lucide, l'auteur séduit le lecteur dès les premières pages, en l'entraînant dans des aventures avec des personnages touchants.
Au fil de ces trente-cinq nouvelles, un extrait de la comédie humaine, mêlant le plaisant, le tragique, l'aventure, et le fantastique.
Des personnages qui se meuvent dans des sillons bourbeux, dans des situations rocambolesques, mais aussi de l'humour, du suspense, de la tension, et d'exquises émotions.
Un recueil de curiosité, illustré, pour une promenade durant laquelle on sort du temps...
Au bonheur des loyaux lecteurs des Métamorphoses d'Ovide, ce livre traite somme toute d'un sujet semblable à savoir les monstres.
À la différence près que cet ouvrage ne se situe pas à l'époque de la mythologie antique mais dans l'avenir. À cette époque certains monstres n'ont plus vraiment forme humaine, tandis que d'autres sont capables de respirer sous l'eau.
Continuant le périple d'El Niño, le cerveau électronique parmi les meilleurs se trouvant être caduc, ce dernier cède de nouveau la place aux hommes, et tout particulièrement à des chrononautes explorant le temps.
L'Humanité est supposée devenir ce qu'elle est, mais c'est une véritable pagaille quand on mélange la parapsychologie avec les prouesses technologiques.
Voilà donc deux pilotes allant vers le passé pour finalement se retrouver seuls dans un futur incertain de leur propre présent.
Dès lors que ce couple isolé tente de sortir les êtres humains de cette divine comédie, il se trouve face à une menace qui s'acharne sur eux avec une rage indicible
« Mais à quoi peuvent penser tous ces Humains à la tête baissée?? Ont-ils seulement compris que le monde appartient à celui qui regarde le ciel???» Vous les avez déjà croisés.
Dans un train, sur une place ou dans l'ascenseur de votre immeuble.
Eux, ce sont vos voisins, vos amis ou simplement le reflet de vous-même.
Au coin de la rue ou au-delà des mers, suivez les espérances, les travers et les petites manies d'hommes et de femmes qui, au final, ne sont JUSTE que des HUMAINS.
« Quand on lit ce livre écrit avec désinvolture et courage, on apprend à voir autrement le monde qui nous entoure et le juger sans pitié, au-delà de toutes ses apparences. Les références métatextuelles mentionnées dans ce livre prennent une dimension culturelle qui doit être saluée de manière appropriée. Grâce à son style alerte, son humour, son inventivité épique, sa volupté contagieuse de la narration, ses portraits inoubliables, sa tendresse envers les malheureux, son ironie subtile, l'auteure condamne tous ceux qui empêchent leurs semblables d'être heureux. » Ion Rosioru
La solitude ressemble le plus souvent à une grotte inquiétante et raconter les solitudes est un exercice narratif laborieux. Il s'agit en effet ici d'êtres seuls/esseulés dont le tourment rend coupable et impuissant. Certes, il existe les solitaires de vocation pour qui la solitude se convertit en unicité féconde. Il existe aussi la solitude des âmes stériles et, à ses antipodes, celle ressentie devant une civilisation déshumanisante qui pousse l'âme au bord des larmes. La solitude à « odeur de destin » ressemble à un orphelin devant l'océan et ceux qui ont un supplément de coeur la reconnaissent. C'est elle qui nous incite à polémiquer avec « la raison des choses » et avec « le mauvais démiurge ».
À force d'avoir longtemps exploré le goût des sentiments et des saisons du coeur, je suis un témoin inconfortable condamné à regarder, avec peine ou sarcasme, la solitude tramée par la cruelle logique du hasard. Et comment raconter cette solitude sans l'illusion qu'elle pourrait exprimer une forme de liberté ?
En osant ce que certains n'aiment pas lire, j'invoque les mots d'Ismail Kadaré : « Ce n'est pas la liberté qui permet la littérature, c'est la littérature qui permet la liberté ». Mais où commence la liberté sinon dans une solitude vécue comme projet ? Et où finit-elle, lorsque la solitude qui tue est l'image de l'indifférence des autres ?
Beatrice Franco (pseudonyme de Smaranda Klotz, née en 1956) est auteure et traductrice de nationalité roumaine résidant en France depuis 2011. Son activité compte, entre autres, des traductions de Montaigne, Charles Perrault, Diderot, Jules Verne, Dino Buzzati, Marguerite Yourcenar.
Éduquée et formée à la culture française, elle reste également attachée aux valeurs profondes et aux souvenirs tragiques de l'Europe de l'Est. Dans la plupart de ses textes, elle se définit comme ennemie du « politiquement correct » d'où sa citation préférée : « Tant que les lapins n'auront pas d'historiens, l'histoire sera racontée par des chasseurs » (Howard Zinn).
À Paris, tout peut arriver. Savions-nous qu'il y existe chaque semaine un jour secret ? Qu'à minuit un petit train remplace le bus et vous emporte bien loin ? Qu'on fête des fiançailles dans une gare désaffectée ? Qu'une alouette monte le matin d'un jardin au Marais ? Vous ignoriez sans doute que le toit de la Grande Arche est un point de rencontre pour toutes sortes de naufragés et que l'île Saint-Louis peut dériver en pleine mer... Dans la Ville Lumière, vous pourrez rencontrer la nuit un voleur de sourires, un cosmonaute tombé en panne, un marin échoué, des somnambules écoeurés, une ombre révoltée... Comme nos rêves, ces histoires extraordinaires révèlent des vérités autrement cachées. Racontées avec gravité, poésie ou humour, elles montrent que l'espoir est toujours possible.
Elles s'appellent Indah, Analiza, Verpaal, Aye Aye...
Elles viennent d'Indonésie, des Philippines, d'Inde et du Myanmar.
Elles ont quitté leur pays natal et leur famille pour venir travailler à Singapour.
Elles travaillent et vivent chez leurs employeurs dans des maisons, des appartements, et s'occupent des tâches ménagères, de la cuisine, des enfants ou des personnes âgées.
Ce sont des domestic workers, des femmes migrantes, et les abus dont elles font l'objet sont souvent méconnus.
Ce sont des femmes de l'ombre, cachées derrière les portes closes des logements de leurs employeurs.
Ce sont leurs histoires.