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Éditeurs
L'Echoppe
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Je Ne Sais Ce que Je Vois Qu'En Travaillant
Alberto Giacometti
- L'Echoppe
- 1 Novembre 1993
- 9782840680253
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Est-ce que je me sens en exil ? Oui, c'est le cas. Mais cela remonte à très loin, cela a duré si longtemps que c'est devenu ma nature, et je ne peux pas dire que j'en ai souffert trop souvent. Il y a même des moments où j'en suis heureuse. Un poète est, avant tout, la nature humaine à son état le plus pur. C'est pourquoi un poète est aussi humain qu'un chat est un chat, ou un cerisier est un cerisier. Tout le reste vient « après ». Tout le reste compte, mais aussi parfois ne compte pour rien. Les poètes sont profondément enracinés dans la langue et ils transcendent la langue.
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Une fois à Paris, j'achetai les Mémoires d'Hadrien et m'y plongeai. Je fus sidérée. Il 's'y trouvait la Méditerranée que je connaissais, que je portais en moi et avec moi, avec laquelle je partageais des secrets,. des complicités, des mythologies personnelles. Et je voyais là une femme qui l'aimait de la même façon, avec le même type de passion physique totale qué le mien. Comme tant de ses lecteurs, je l'ai découvert plus tard, je l'avais quasiment identifiée avec Hadrien et je lui attribuais la vie de l'empereur.
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Retrouvées dans les années 1960, à Giverny, chez ma grand-mère Germaine Saleron, fille cadette d'Alice et Ernest Hoschedé, ces trois lettres d'Edouard Manet me sont longtemps restées comme une énigme. Alors que je me décide aujourd'hui à les publier, rien n'est moins sûr que celle-ci soit résolue. Fort de toutes sortes d'informations que j'ai pu recueillir depuis leur découverte, leur mystère s'est toutefois en partie dissipé.
Peut-être un jour viendra où les quelques traces qu'elles en gardent encore disparaîtront définitivement. En cette attente, il m'a paru opportun de les rendre publiques de sorte qu'elles soient livrées à la connaissance et à la curiosité de ceux qui pourraient contribuer à la révélation complète de leur secret.
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Giorgio de Chirico et l'invention du mannequin abstrait
Giovanni Lista
- L'Echoppe
- 5 Juin 2020
- 9782840683131
Loin d'avoir une origine purement littéraire, comme on l'a trop souvent prétendu, le mannequin "métaphysique" est issu d'une recherche autonome et purement formelle du peintre Giorgio De Chirico (1888-1978). Né en opposition au "mannequin réaliste" des vitrines parisiennes et à l'homme-machine théorisé par l'avant-garde futuriste, le mannequin métaphysique résulte également d'une approche répétée des simulacres de la figure humaine, à savoir la statue, l'ombre, le double et la marionnette, qui incarnent les différentes possibilités de représenter l'être humain en le saisissant dans sa forme matérielle, entre le vivant et l'inanimé.
Une étude minutieuse et très argumentée de la question du mannequin dans l'oeuvre de De Chirico, à l'occasion de l'exposition consacrée à l'artiste par l'Orangerie des Tuileries à Paris du 1er avril au 13 juillet 2020.
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Henri Cartier-Bresson : Rencontres a Paris,1987
Michael Peppiatt
- L'Echoppe
- 12 Juin 2014
- 9782840682585
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Où l'on croise, aux côtés de Samuel Beckett, James Joyce, Bram van Velde, Alberto Giacometti et Robert Ryman.
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La sculpture au defi - surrealisme et materialisme
Didier Ottinger
- L'Echoppe
- 11 Octobre 2013
- 9782840682530
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Plûtot misérable que plagiaire : deux interviews à L'Echo de Paris
Paul Gauguin
- L'Echoppe
- Envois
- 13 Octobre 2017
- 9782840682912
« Manet est un maître, Delacroix est un maître. On a crié à l'abomination à leur début ; on se tordait devant le cheval violet de Delacroix ; je l'ai cherché vainement dans son oeuvre ce cheval violet. Mais le public est ainsi fait. Je suis parfaitement résigné à demeurer longtemps incompris. En faisant ce qui a déjà été fait, je serais un plagiaire et me considérerais comme indigne ; en faisant autre chose, on me traite de misérable. J'aime mieux être un misérable qu'un plagiaire ! »
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"Durant l'été 1992, une importante rétrospective Raoul Ubac s'est tenue au Musée Jenischn, de Vevey. Remarquablement organisée par M. Bernard Blatter, présentée avec beaucoup de soin, cette exposition m'a donné une vive émotion, rendu Ubac à nouveau présent, remis en mémoire cet entretien que j'avais enregistré avec lui une dizaine d'années plus tôt. Rédecouvrant cette oeuvre, il m'avait paru nécessaire que ces mots dormants reprennent vie, puissent être à nouveau offerts à ceux qui pourraient avoir envie de les revevoir. Je les ai donc retranscrits et les voici publiés. [...] J'ai rencontré Ubac une dizaine de fois, et ces rencontres se sont échelonnées de 1966 à 1982. [...] De quoi parlions-nous ? Essentiellement de son travail, de poésie, des problèmes posés par la création, et lorsque nous passions un moment dans son atelier, des oeuvres qui nous entouraient".
(Charles Juliet)
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