À propos

Rien ne grise comme le vin du malheur. Ferdinand est un tire-au-flanc, un planqué qui simule une infirmité pour échapper à la guerre et éviter de se retrouver en première ligne, dans les tranchées face aux Allemands. Profiteur sans scrupules, il a fait fortune dans le commerce d'un pinard douteux et frelaté qu'il vend à l'armée, allant même jusqu'à nuire à la concurrence pour être le seul fournisseur des poilus.
Alors qu'il écoule son vin près de la ligne de front, Ferdinand se retrouve malgré lui engagé dans le conflit et devient, avec ses compagnons d'infortune, prisonnier d'une tranchée prise entre deux feux. Inclus : les recherches des auteurs sur le commerce de vin frelaté pendant la 1ère Guerre Mondiale.


Rayons : Bandes dessinées / Comics / Mangas > Bandes dessinées > Ados / Adultes > Histoire


  • Auteur(s)

    Philippe Pelaez, Francis Porcel

  • Éditeur

    Bamboo

  • Distributeur

    Hachette

  • Date de parution

    01/09/2021

  • Collection

    Grand Angle

  • EAN

    9782818979136

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    64 Pages

  • Longueur

    32 cm

  • Largeur

    24.2 cm

  • Épaisseur

    1.1 cm

  • Poids

    666 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Relié  

Philippe Pelaez

  • Naissance : 22-1-1970
  • Age : 54 ans
  • Pays : France
  • Langue : Francais

Francis Porcel

Aussi loin qu'il se souvienne, Francis Porcel (il est né en 1977) a toujours aimé le jeu.
Le dessin est devenu rapidement de la bande dessinée. Les premiers essais se présentaient sous la forme d'histoires courtes inspirées de Bruguera, Mortadel et Philemon. Par ailleurs le jeune Francis Porcel se sentait fasciné par l'art d'Albert Uderzo et d'un autre grand pro, espagnol celui-là, Gimenez. C'est en découvrant « L'Etoile noire » de ce dernier que la décision tomba : Francis Porcel deviendrait dessinateur de bandes dessinées.
Il venait d'avoir 16 ans. A 19 ans, il entra à l'école des Beaux-Arts de Barcelone dont il suivit les cours pendant trois ans. Il y prit conscience de ses propres limites et tenta de les surmonter. Il y rencontra de jeunes étudiants, tels que Sergio Garcia, qui devinrent des amis et sont considérés aujourd'hui comme l'avenir de la b.d. ibérique. A 22 ans, il publiait chez Magemultimedia (Espagne) la b.d. qu'il considère comme son premier effort de quelque valeur : « La Cité des Morts ».

Remarqué pour sa virtuosité, Francis Porcel entra en contact avec Dargaud, qui lui présenta Jean-David Morvan. De cette rencontre devait naître « REALITY SHOW ».

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